Gustave Flaubert (1821-1880)
Le langage du corps
Découvrez nos livres sur le thème de l'eau, une sélection qui vous rafraîchira !
Illustrée de plus de 100 cartes et schémas mis à jour, ce atlas dresse le panorama de toutes les problématiques liées à l'eau :
- Ressource vitale, abondante mais mal répartie, qui révèle des inégalités sociales et de genre.
- Bien commun menacé par la surexploitation, par les pollutions agricoles, industrielles et urbaines.
- Défi sanitaire et social, économique et environnemental, mais aussi choix politique pour sa préservation et sa qualité L'auteur expose les défis auxquels le monde est aujourd'hui confronté en matière de gestion de sa ressource la plus précieuse.
Avec beaucoup de finesse et de pudeur, AJ Dungo, immortalise les instants de grâce de sa relation avec Kristen. La légèreté et l'émotion des premières rencontres, la violence du combat contre la maladie, la noblesse de la jeune femme qui se bat avec calme. Il évoque en parallèle leur passion commune pour le surf, l'océan. Et évite très justement l'écueil du pathos en intercalant dans son récit personnel, un petit précis d'histoire du surf.
D'où vient l'eau sur la Terre ? Vers où coule la rivière ? Pour quoi utilisons-nous de l'eau ? Où va l'eau sale ? Pouvons-nous vivre sans eau ? Comment prendre soin de l'eau ?
Pour répondre à ces questions, Anne-Sophie Baumann a longtemps échangé avec le géologue Arnaud Lemaistre, médiateur scientifique, responsable de l'unité Géosciences du Palais de la découverte. Elle a interrogé de nombreux spécialistes : géologues, hydrologues, océanographes, médecins, agronomes, ingénieurs... Les illustrations détaillées et précises de Vanessa Robidou montrent toutes les facettes de l'eau, pour aider à voir plus loin que le bout de son robinet !
Plus de 60 animations et pop-ups pour faire surgir les montagnes enneigées du cycle de l'eau, découvrir la richesse de la vie dans les océans, comprendre d'où vient l'eau potable, observer l'évaporation de l'eau des arbres...
La ressource en eau est souvent comparée au pétrole dont la pénurie conduirait à une « crise de l'eau » imminente, permanente, locale et globale. De ce constat alarmiste aux guerres de l'eau prédites par certains, il n'y a qu'un pas. Pourtant, la place de l'eau dans les conflits est débattue. Si elle les aggrave, elle en est rarement la cause première, et peut même être un bon terrain de coopération lorsque l'on veut faire la paix. Plus qu'une « crise de l'eau » liée à une pénurie naturelle, la géopolitique de l'eau est gouvernée par des politiques de l'eau déficientes, et par la difficulté à garantir la sécurité hydrique, le tout aggravé par le réchauffement climatique. Mais des solutions pour une « nouvelle culture de l'eau » existent, encore faut-il réussir à les mettre en place.
Au travers de cette analyse précise, David Blanchon détaille les trois grands défis pour la gestion de l'eau au XXIe siècle : préserver l'écosystème, fournir à tous une eau potable et procurer suffisamment d'eau pour l'agriculture. Car sa place centrale dans la satisfaction de besoins humains fondamentaux fait de l'eau, au même titre que le climat, un enjeu global.
Dans La Terre a soif, Erik Orsenna raconte son tour du monde des grands fleuves.
En faisant le portrait de trente-trois d'entre eux, il nous donne à voir de près les causes de leurs maux : la pénurie mondiale d'eau, la pollution, la multiplication de barrages entraînant la destruction des ressources et des paysages. Un constat : aujourd'hui, les violences viennent de l'eau elle-même. Violences nées de sa rareté tout autant que de sa répartition.
« La Terre a soif. Et la soif est un appel. Le plus bouleversant, car le plus vital de tous les appels.
À cet appel, les rivières et les fleuves ont su répondre. En offrant l'eau réclamée, bien plus que les puits. Cette mission, essentielle entre toutes, combien de temps pourront-ils la remplir ?
Après L'Avenir de l'eau (2008), voici un grand voyage aux royaumes des fleuves. Trente-trois fleuves du monde, de l'Amazone à mon tout petit Trieux (Bretagne Nord).
Voici une géographie intimement mêlée d'histoire. Une musique venue du ciel, une pluie fatiguée de tomber qui continue son parcours dans un lit jusqu'à la mer. Un récit toujours semblable et chaque fois singulier : le théâtre de la Vie.
À Louang Prabang (Laos), un lever du jour sur le Mékong ; à Bâton-Rouge (Louisiane), un pianiste chante le blues pour prier le Mississippi de bien vouloir calmer sa crue.
Mille émerveillements nous attendent. De plus en plus souvent accompagnés d'effroi. ».
Erik Orsenna
Il y a quarante ans, le petit Jan Kosta, trois ans, a été l'un des rares survivants de la terrible catastrophe de Zavoï. Lors d'un gigantesque glissement de terrain, ce village des Balkans a été littéralement englouti sous des torrents de boue. Sauvé par son chien qui l'a traîné, inconscient, hors de l'eau fangeuse, Jan a perdu toute sa famille. Devenu hydrogéologue, Jan reçoit un coup de fil alarmé d'un ami ingénieur. Il se passe des choses étranges dans et autour de la centrale construite sur les flancs de la montagne de son enfance. Les gens ont des comportements imprévisibles, parfois violents. Les moines du monastère voisin ont tous disparu, et les bâtiments délaissés accueillent désormais un institut psychiatrique. Vladimir demande à Jan de venir étudier les faits. Que le mal vienne de la centrale, de la montagne ou des hommes, si un nouveau drame est sur le point de se produire, seul un survivant de Zavoï aura une chance de pouvoir tout arrêter.
Une étude du conflit dit des « bassines ». Plongez dans des eaux troubles, celles de l'eau devenue rare, de l'eau devenue chère et par conséquent, de l'eau devenue guerre.
Fonte de la banquise, disparition des glaciers, recul de l'enneigement, montée des eaux, salinisation des nappes, assèchements des sols, le réchauffement climatique bouleverse le vivant et le non-vivant.
Même le bon vieux cycle de l'eau qui paraissait totalement indolore lorsqu'on le schématisait sur les bancs de l'école, nous apparait désormais bien plus menaçant alors que son rythme s'accélère et que ses conséquences sur la fréquence des incendies, des tempêtes, des inondations, des sécheresses ne cessent de s'imposer à nous.
Le projet des retenues de substitution qui embrase en ce moment les campagnes françaises s'inscrit dans la longue histoire de la quête de hauts rendements et de fortes valeurs ajoutées des productions agricoles au détriment de notre bien commun et vital : l'eau.
La Forêt de l'Oubli, le village des Parfumeurs, l'Île Inexistante... C'est un voyage fabuleux qui va entraîner Tomek et Hannah, deux jeunes orphelins, jusqu'au bout du monde. Trouveront-ils cette rivière qui coule à l'envers et dont l'eau empêche de mourir ? Ou bien autre chose qu'ils ne cherchaient pas ?
Étalement urbain, sols de plus en plus artificialisés et réchauffement climatique :
Les étés dans nos villes sont déjà devenus insupportables. Grâce à ce livre, faites de votre jardin un allié contre la chaleur :des solutions faciles pour récupérer l'eau et prendre soin de votre soldes choix de plantes rafraîchissantes et adaptées aux épisodes de fortes chaleurs (îlots de verdure, végétalisation des murs, toits verts)des idées d'agencements et de matériaux (dallage qui renvoient la chaleur, clôture, pièces d'eau...).
Chaque nouvelle oasis de verdure apporte sa contribution à la protection du climat.
Des sources en Forêt-Noire à son delta en mer Noire, Claudio Magris descend le fleuve. En touriste : il visite les paysages et les maisons, s'arrête, à Vienne, devant un simple escalier de bois. En érudit : il découvre les sites majeurs, les rites de la Mitteleuropa ; il croise, semble-t-il, Kafka, Canetti, Lukacs, Joseph Roth..., de passage, eux aussi. En homme : il s'émeut, s'émerveille, s'interroge. Sous la plume d'un grand écrivain, le voyage au gré du fleuve devient aussi une grande fresque des siècles passés.
C'est près de l'eau que j'ai le mieux compris que la rêverie est un univers en émanation, un souffle odorant qui sort des choses par l'intermédiaire d'un rêveur. Si je veux étudier la vie des images de l'eau, il me faut donc rendre leur rôle dominant à la rivière et aux sources de mon pays.
Je suis né dans un pays de ruisseaux et de rivières, dans un coin de la Champagne vallonnée, dans le Vallage, ainsi nommé à cause du grand nombre de ses vallons. La plus belle des demeures serait pour moi au creux d'un vallon, au bord d'une eau vive, dans l'ombre courte des saules et des osières.
G. B.
À l'écoute de l'eau et de ses mystères, Gaston Bachelard entraîne son lecteur dans une superbe méditation. Plongée fascinante depuis les surfaces brillantes et claires, où naissent les images fugitives, jusqu'aux profondeurs obscures, où gisent mythes et fantasmes.Le texte d'un philosophe éruditmétamorphosé en poète.
Il y a peu de grands livres consacrés à la navigation de plaisance. Sur l'eau (1888) relate une croisière de Maupassant en Méditerranée, à bord de son yacht Bel-Ami. Ce n'est pas seulement un récit de voyage, une description des paysages saisis dans leur authenticité de jadis, une peinture de la vie maritime, mais aussi une confession. Maupassant nous parle de la vie littéraire, de ses tourments intimes, de la société, des femmes, de la politique, autant que de la mer et du vent.
"A côté de moi et tout autour de moi, il y a l'eau". Ce sont par ces mots que commence ce livre qui accompagne le tout-petit dans sa découverte du monde, du monde et ses quatre éléments : le ciel, le feu, la terre et l'eau.
Ce tout-carton aux coins arrondis nous entraîne à la découverte de l'eau. Changeant, mouvant, cet élément offre à l'enfant toute une palette de couleurs et de sensations. Partant de l'univers connu et réconfortant du petit, le livre emmène celui-ci à la découverte de l'immensité du monde, de ses beautés, un monde fascinant et parfois effrayant, un monde à explorer puisqu'il s'agit bien de ça : sortir peu à peu du giron de ses parents, de la maison et partir à l'aventure !
Fake or not - Eau L'eau est notre bien commun, indispensable aux humains, à tous les écosystèmes et à l'ensemble du vivant. Naturellement, l'eau chemine à l'intérieur d'un grand cycle fermé et infini. Mais ça, c'était avant que les humains ne mettent à leur service l'eau douce partout sur la planète, l'eau pour boire, l'eau pour irriguer, l'eau pour produire de l'énergie, l'eau pour transformer ou fabriquer...
Alors, pour faire fonctionner notre système économique, on pompe massivement et on rejette là où ça nous arrange, on détourne les cours de l'eau, on endigue les rivières, on construit des barrages et des retenues, on bétonne les zones humides, on déforeste à tour de bras, on pollue, on modifie le climat...
Il est urgent de regarder l'eau douce autrement que comme une ressource à contrôler, éternellement disponible. Enjeu politique, la gestion de l'eau doit devenir collective et démocratique, sous peine de multiplier les conflits d'usage, voire des guerres de l'eau.
Avec le manque d'eau récurrent et les étés caniculaires de plus en plus longs que nous traversons, il devient indispensable de repenser notre façon de concevoir et de planter nos jardins.
Toutefois ne rêvons pas, un jardin réellement zéro arrosage n'existe pas car tout végétal (mis à part certaines cactées et succulentes) a besoin d'un minimum d'eau, ne serait-ce au moment de sa plantation. Mais il est vraiment possible de limiter considérablement sa consommation d'eau. Connaître les différentes plantes sobres en eau et leurs besoins est alors primordiale. C'est le but de cet ouvrage qui vous fera découvrir tous ces merveilleux végétaux, ces « plantes-chameaux », qu'ils soient arbres, arbustes, vivaces fleuries ou pas, grimpantes ou succulentes...
Chouette ! Un pique-nique au bord de l'eau ! Graou découvre la fraîcheur du torrent, le plaisir des courses de bâteaux, les pyramides de galets... Du côté des histoires, c'est Matthias Malingrey qui est invité dans les pages de ce numéro pour une nouvelle aventure créée spécialement pour le magazine Graou ! Côté voyage, nous partons à la découverte du Kenya et côté vocabulaire, il s'agira de trouver des mots commençant par les lettres "h" et "i". Après toutes ces réflexions, il sera temps de jouer avec des cours d'eau à dévier, un labyrinthe maritime, de la peinture au jus de betterave sans oublier de démêler les tuyaux d'arrosage... Allez, on chausse ses bottes et en avant les éclaboussures !
Entre canicules, sécheresses à répétition et restrictions d'eau, il semble désormais plus que capital d'économiser l'eau au potager...
Jean-Yves Meignen connaît bien cette problématique dans son potager du Sud-Est de la France et partage dans cet ouvrage les solutions qui s'offrent à nous : améliorer la rétention en eau du sol, pailler généreusement les cultures, ombrer le potager à l'aide de voiles ou de plantes grimpantes, densifier les plantations afin de maintenir une certaine humidité, choisir des légumes et des variétés plus résistants, cultiver en cuvette... Il s'agit également de récupérer l'eau de pluie et de mieux arroser en utilisant un goutte-à-goutte ou encore des oyas.
Prenons soin de cet or bleu !
Contrairement à ce que l'on pourrait penser, l'eau est universelle?: on la détecte partout. Sur Terre, bien sûr, mais aussi à travers tout le Système solaire, dans le milieu interstellaire, dans les galaxies les plus éloignées... et même à la surface des étoiles. C'est grâce aux techniques permettant de détecter l'eau dans notre environnement planétaire proche que les astronomes l'ont trouvée à travers tout l'Univers, dans ses phases gazeuse et solide.
Des propriétés physiques et chimiques de l'eau à son apparition sur Terre, des océans hypothétiques cachés sous les glaces des satellites de Jupiter et de Saturne aux disques de matière où naissent des exoplanètes, du passé très reculé de Mars où l'eau liquide semble avoir coulé en abondance au futur lointain de notre planète où toute trace d'eau aura disparu, ce voyage dans l'espace et le temps vous entraînera jusqu'aux confins du cosmos.
L'eau dans l'Univers fait le point sur la présence de cette précieuse substance à travers l'espace, à la lumière des connaissances actuelles et des découvertes les plus récentes... et les plus étonnantes?!
« Rives et dérives » est un parfait sous-titre pour ce nouveau texte de Michèle Lesbre. Elle y emprunte des chemins de traverse afin de rejoindre une rivière, la Furieuse, dont le nom - sans qu'elle la connaisse - a résonné en elle de manière particulière. « Rives et dérives » pourrait également caractériser son beau parcours d'écriture, où petit à petit elle a délaissé la forme romanesque pour vagabonder dans une prose plus libre, plus voyageuse et rêveuse. Ce récit clairement autobiographique se lit comme un art poétique de l'écrivaine.
Voici comment elle évoque, à la première personne, son projet : « J'écris ce texte comme on s'échappe, comme un retour à un monde possible. Et cette échappée me conduit vers la Furieuse, petite rivière du Doubs, affluent de la Loue, où Courbet se baignait enfant, où il s'est baigné jusqu'à la fin de sa vie.
C'est le nom qui m'a séduite d'emblée, la Furieuse. Sans doute contenait-il toutes mes colères, il parlait de moi.
Ce n'est pas un roman, c'est le récit d'un voyage intime traversant aussi les oeuvres d'auteurs aimés qui ont descendu ou remonté fleuves et rivières, ont vécu sur leurs rives parfois (Magris, Esther Kinsky, Paolo Rumiz, Jean-Paul Kaufmann, Jean Rolin, Michèle Desbordes, Julien Gracq...).
C'est un appel au secours à l'enfance, petite patrie lumineuse en laquelle je retrouve un peu de paix. C'est peut-être même elle qui a suscité ce voyage, en réveille d'anciens, me console de ce monde, me rend ma liberté.
J'écris depuis plus de trente ans, jamais de livre autobiographique, mais mes romans sont tous écrits à la première personne. J'aime cette phrase de J.-B. Pontalis, à propos du je utilisé dans un de ses livres : «Ce n'est pas un je autobiographique, c'est le je qui s'écrit. »
Remonter à pied la Marne, depuis sa confluence avec la Seine jusqu'à la source, a été pour Jean-Paul Kauffmann une odyssée à travers les paysages d'une France inconnue. L'aventureuse histoire de notre pays lui est apparue à la lumière du présent. Il y a découvert la France des « conjurateurs », ces indociles qui résistent à la maussaderie et chassent les esprits maléfiques d'aujourd'hui. Remonter la Marne, ce n'est pas revenir en arrière et pleurer le passé, mais plutôt se perdre pour mieux renaître. La marche a permis d'entretenir ce rapport profond au temps, au silence, aux rencontres.Un récit vagabond qui tient à la fois de l'inventaire personnel d'un pays qui « possède la grâce », du journal de bord d'un voyageur et de la chronique sociale. Macha Séry, Le Monde des Livres.Un livre d'images, de paysages, de portraits croqués sur le vif, de parfums. Pierre Vavasseur, Le Parisien.
« Au terme de bien des années, je m'étais détachée de la vie que j'avais menée dans la ville, comme nous découpons aux ciseaux une partie de paysage ou d'un portrait de groupe. Navrée du dégât que j'avais ainsi causé à l'image que je laissais derrière moi, et ne sachant trop ce qu'allait devenir le fragment découpé, je m'installai dans le provisoire, en un lieu où je ne connaissais personne dans le voisinage, où les noms de rue, les odeurs, les vues et les visages m'étaient inconnus, dans un appartement sommairement agencé où j'allais poser ma vie pour un temps. »Une femme s'installe en banlieue londonienne près de la rivière Lea, sans trop savoir pourquoi ni pour combien de temps. Elle arpente et explore les franges de la cité tentaculaire, ses marges, les berges des affluents oubliés. Seule, elle observe, se remémore, et, en un dialogue avec le paysage qui l'entoure, décrit ces non-lieux, ces présences, parfois en négatif, de caractères et d'émotions que l'eau traverse. Elle noue parfois des liens avec des personnages singuliers et attachants, évoque son père, un enfant, qui, pas davantage qu'elle, ne seront nommés mais sont tous liés à l'eau vive, à ses enchantements comme à sa mélancolie, à ses secrets comme à sa sauvagerie. Glanant çà et là objets de rebut ou de hasard, attentive aux détails des vies depuis la fenêtre de son appartement ou de celle d'une rame de métro aérien, la narratrice compose en parallèle un univers intime de notations et de symboles. Appareil photo en main, à la première personne, elle entraîne aussi le lecteur au gré des méandres de ses souvenirs, sur les rives des quatre coins du monde. En suivant le cours du Rhin de son enfance, du fleuve Saint-Laurent, du Gange ou d'un ruisseau presque desséché à Tel Aviv, c'est par la finesse d'une langue aussi précise que limpide, ses images poignantes et son regard poétique qu'Esther Kinsky parvient à tisser le fil conducteur de cette envoûtante pérégrination entre rêve et réalité. D'une rare qualité littéraire, ce récit subtil, scandé en brefs chapitres, est pour chacun une invitation au ralentissement et à la contemplation du monde qui nous entoure.
André Breton quelques aspects de l'écrivain Autour des sept collines Un balcon en forêt Un beau ténébreux Carnets du grand chemin Au château d'Argol Les eaux étroites En lisant en écrivant La forme d'une ville Lettrines Lettrines ii Liberté grande La littérature à l'estomac Penthésilée, de kleist, (théâtre) Préférences (critique) La prfsqu'ile Le rivage des Syrtes Le roi pêcheur (théâtre)
Sans l'eau, la vie est impossible. Les humains la boivent, mais ils l'utilisent aussi pour voyager, transporter des marchandises et produire de l'électricité. Comment est-elle apparue sur Terre ? Quelles sont ses propriétés ? Qu'est-ce qui provoque une inondation ou, au contraire, une grande sécheresse ? Pourquoi flotte-t-on à la surface de la mer Morte ?Un documentaire captivant pour découvrir et apprendre à préserver la plus vitale des ressources terrestres.
A la faveur de la construction d'un barrage aux abords d'un village condamné par le nouvel édifice, le destin d'un homme au passé trouble entre en résonance avec celui d'une petite communauté isolée en pleine montagne. Dans des paysages dont la splendeur contraste avec la violence fruste des moeurs, un combat tellurique et intimiste à la fois.