S'approcher d'une vache, c'est entrer dans un univers de cornes, de cloches, de lait, de bouse, et parfois aussi de craintes. Ce grand corps en impose.
Bien sûr vous l'aimez, mais pas de trop près. Pourtant la vache ne cherche noise à personne. Indifférente aux tumultes humains, elle va toujours de son pas tranquille brouter l'herbe fraiche, secret du lait onctueux qui donne des joues rondes aux petits enfants.
Les arachnophobes, qui pullulent aux quatre coins du monde, avaient jusqu'à présent peu d'armes aisément accessibles pour vaincre leur terreur des araignées. Les fameux stages « anti-phobie » sont efficaces, mais il manquait - à l'appui ou non de ceux-ci - le livre adapté.
Le voici enfin, sous la plume allègre et cultivée de Dominique Jacobs, qui poursuit au fond sa série de « chroniques » (Chroniques Franc-Comtoises et recettes de chez nous, 2008), car ces Splendeurs de l'araignée racontent un double cheminement : celui de l'auteure, qui passe de l'épouvante à l'émerveillement apaisé envers les « octopattes », et celui de l'araignée elle-même, à travers son histoire, sa description scientifique, jusqu'à sa splendeur de rêve, illustrée par les écrivains, poètes ou naturalistes (l'ornement suprême), sélectionnés par l'auteure avec un bonheur tout particulier.
L'ouvrage, qui caresse souvent le ton de la fable pour toucher au fabuleux des êtres soi-disant répugnants, repose sur une morale de la plus haute importance : la curiosité alliée à la connaissance profonde de l'autre (l'araignée ici) est l'unique antidote contre les terreurs idiotes.
Ouvrage ayant un objectif concret : permettre avec un simple essai indiciel, une modélisation et une identification simplifiée d'un système, pour aboutir à un réglage rapide et satisfaisant et vérifier les performances souhaitées.
Toutes ces anecdotes sont vraies, datées et localisées. Révélatrices de notre société, elles montrent que personne n'est infaillible à l'oral. C'est aussi une réflexion sur le langage avec ses ambiguïtés et ses équivoques. Les curés ont aussi le sens de l'humour et de l'autodérision, il n'est pas inutile de le rappeler. Le thème est éternel.
Conforme aux programmes des dut et bts des secteurs du génie électrique, l'ouvrage propose, à travers quelques exemples, des études et dimensionnements de convertisseurs d'énergie.
Sans s'attarder sur les semi-conducteurs de puissance, dont seul l'aspect fonctionnel est étudié, il s'attache principalement à répondre au problème récurrent pour les utilisateurs du choix des composants magnétiques non standards. il met ainsi l'accent sur le calcul des inductances et des transformateurs, calcul exposé sans faire appel à des logiciels spécialisés. l'ouvrage s'appuie essentiellement sur trois exemples qui répondent à des demandes fréquentes des étudiants.
Le premier est un onduleur de faible puissance permettant d'obtenir une tension alternative à partir d'une batterie d'automobile. le deuxième est un convertisseur continu-continu élévateur de tension et auto-oscillant qui évite l'emploi de circuits intégrés. le dernier est un onduleur pour tube fluorescent analogue à ceux des lampes à économie d'énergie. ces études font l'objet, non seulement de simulations, mais de réalisations concrètes et elles sont illustrées par des résultats expérimentaux commentés.
Méconnu de son vivant, Charles Baudelaire aimait glacer, choquer, invectiver.
Ce recueil de citations est l'occasion de le découvrir sous un jour nouveau. On retrouve l'écorché vif, l'aigri, qui vilipende tout : l'argent, les femmes, les journalistes, la politique, Dieu, la bêtise humaine, sa mère... Mais l'on discerne aussi grâce à sa correspondance un Baudelaire de tous les jours, tantôt pince-sans-rire, tantôt fantaisiste, toujours passionné. La vigueur et la puissance de sa plume ont fait de lui un poète résolument moderne.
Etourderie postprandiale, nécessité d'une cheville poétique, moment de distraction passagère, paresse de correction ou fatigue de relecture, aveuglement dû à l'esprit de parti, volonté inconsciente de ridiculiser, jubilation d'écriture, désinvolture de l'auteur payé à la ligne, mémoire défaillante du feuilletoniste ... On pourrait facilement allonger la liste des raisons qui ont conduit les écrivains - et certains fort illustres - à commettre de telles bévues.
"C'est ce que je demande, s'écria-t-elle en se levant debout." Stendhal "Il mourut mort." Honoré de Balzac "Pouvez-vous dormir jusqu'à demain, demanda-t-il mentalement." Joséphin Peladan
Jacob, ex-député à la Convention nationale, à ses anciens collègues du Corps législatif . En réponse à une diatribe présentée sous le nom d'adresse au Conseil des Cinq-Cents, par Leclerc-Saint-Aubin Date de l'édition originale : 1795 Sujet de l'ouvrage : France -- 1795-1799 (Directoire) Ce livre est la reproduction fidèle d'une oeuvre publiée avant 1920 et fait partie d'une collection de livres réimprimés à la demande éditée par Hachette Livre, dans le cadre d'un partenariat avec la Bibliothèque nationale de France, offrant l'opportunité d'accéder à des ouvrages anciens et souvent rares issus des fonds patrimoniaux de la BnF.
Les oeuvres faisant partie de cette collection ont été numérisées par la BnF et sont présentes sur Gallica, sa bibliothèque numérique.
En entreprenant de redonner vie à ces ouvrages au travers d'une collection de livres réimprimés à la demande, nous leur donnons la possibilité de rencontrer un public élargi et participons à la transmission de connaissances et de savoirs parfois difficilement accessibles.
Nous avons cherché à concilier la reproduction fidèle d'un livre ancien à partir de sa version numérisée avec le souci d'un confort de lecture optimal. Nous espérons que les ouvrages de cette nouvelle collection vous apporteront entière satisfaction.
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Dans la nacre d'une oeuvre littéraire, un grain d'étourderie, une goutte d'inadvertance donnent naissance à une perle.
Ou plutôt des sottises résultant de lapsus calami, bévues, pataquès, anachronismes, catachrèses, et autres tournures fautives. On en découvre dans tous les ouvrages, sous la signature des écrivains les plus célèbres, des plus féconds, (les Feuilletonistes) aux plus rigoureux (Flaubert lui-même n'en est pas exempt).