P. Marie-Antoine, pourquoi saint Antoine de Padou est-il si populaire ?
« Lisez ces mots écrits en lettres d'or dans la chapelle de son tombeau : « Venez à moi, vous tous qui travaillez et qui souffrez, venez, je vous soulagerai. » Depuis sept siècles, ce cri se fait entendre jusqu'aux extrémités de la terre. Tous les travailleurs, tous les malheureux qui l'ont imploré, ont été soulagés et consolés. Jamais on ne le prie en vain. Quand la grâce temporelle demandée n'a pas été obtenue, c'est toujours pour en recevoir une bien plus grande d'ordre spirituel. Tous vont à lui parce qu'il est l'ami de tous, dans les grandes détresses comme dans les plus petits malheurs. »
L'hymne à l'amour du P. Marie-Antoine, l'amour clef de toutes ses méditations, ses prières. Illustré par Raphaël, La Sainte Famille.
Saint Joseph et la Sainte Famille inspirent au missionnaire neuf thèmes, tout naturellement la proposition d'une neuvaine riche en invocations et oraisons originales, riche de tout ce que représente saint Joseph de vertus et de puissance d'intervention auprès de la Trinité du ciel, lui qui fut le protecteur sage et humble de cette trinité de la terre au coeur du mystère du salut des hommes, au coeur de la miséricorde divine. Jusqu'à la fin des temps, le protecteur de l'Église après avoir été celui de Jésus, ce fils né de Dieu dans le sein de Marie, son épouse immaculée. Il est encore, attentif aux appels du coeur, le protecteur bienveillant des familles.
Ils ont prié avec les Trois Ave Maria, de saint Bonaventure au Curé d'Ars, en passant par Alphonse de Liguori, Jeanne d'Arc, Louis Grignon de Montfort, Antoine-Marie Claret, Jean Bosco. Et le soutien constant de nombreux papes et des Franciscains.
La dévotion des Trois Ave Maria remonte au XIIIème siècle et sainte Mechtilde à qui la sainte Vierge l'a confiée. Cette pratique est à l'origine de l'Angélus comme de l'introduction au chapelet. La Basilique Notre-Dame de la Trinité à Blois, bâtie par les Capucins, considérée comme l'édifice majeur de l'art sacré dans l'entre-deux guerres, en est le centre. Trois Ave Maria pour célébrer les dons conférés à Marie par la Trinité, don de puissance par le Père, don de sagesse par le Fils, don de miséricorde par le Saint-Esprit. Avec le P. Marie- Antoine, les Trois Ave Maria ouvrent à l'oraison et à la mission.
Le livret proposé est illustré par quelques-uns des 56 vitraux de la Basilique et, en particulier, les trois vitraux dédiés au P. Marie-Antoine.
Ils illustrent le Père entouré d'une foule de Sétois saluant du port la Vierge qu'on hisse au-dessus du clocher de l'église Saint-Louis, illustration de la puissance et de la protection de Marie, don du Père : instituant la procession aux flambeaux à Lourdes, illustration de la sagesse, don de lumière du Fils à sa Mère ; guérissant une aveugle mère de trois enfants, illustration de la Miséricorde de Marie, don d'amour du Saint-Esprit.
Les Trois Ave Maria, en effet, célèbrent ces dons, conférés à Marie par chacune des personnes de la Sainte Trinité.
La dévotion, revisitée par le P. Marie-Antoine, ouvrent à l'oraison et à la mission. Deux précieux chapitres à méditer, au long d'une neuvaine qui peut précéder toute fête mariale.
"Au moyen de cette méthode, on récite le chapelet sans distraction et on y goûte de célestes consolations"
Les trois chemins de Croix du Père Marie-Antoine : Avec Marie, en cheminant de station en station, ou dans sa chambre devant son crucifix.
«Le chemin royal du Paradis, Jésus y a marché le premier, Marie y a suivi Jésus et tous les saints sont venus à leur suite. L'Église l'a enrichi des plus grandes indulgences plénières : toutes celles de la Terre-Sainte, de Rome, de Saint-Jacques de Compostelle, s'y trouvent réunies. Les grâces du Chemin de Croix ont, comme celles de la Passion de Jésus-Christ, le caractère de l'infini.» L'illustration de couverture présente le Christ souriant, entre Calvaire et Résurrection. Et Marie toujours là, pour nous conduire, nous enseigner, nous parler d'amour, l'amour de son Fils. Crucifix gothique du XIII s.
Le P. Marie-Antoine est bien un missionnaire, c'est-à-dire un entraîneur d'âmes. Comment entraîner les âmes sans prier et faire prier ? Pour lui, le Chemin de Croix est la prière par excellence, à la fois prière et comportement, disposition.
Le Chemin de Croix, il le méditait chaque jour, dans l'église où il se trouvait. Parcourant les stations à l'extérieur quand cela se pouvait. Ou simplement dans sa chambre, tenant avec amour son crucifix devant lui, quand le temps lui manquait.
C'est justement ce qu'il nous propose, avec ce nouveau livret. En fait, pas un Chemin de Croix mais trois. Question de lieu, question de temps.
Apôtre bien connu de l'Immaculée, le P. Marie-Antoine a été le prédicateur par excellence de la Croix.
Une nouvelle neuvaine du P. Marie-Antoine et le 8e livret de la collection et cette même authenticité qui émeut le coeur et le rend plus léger pour le porter jusqu'à Dieu.
Comme chacune des neuvaines du P. Marie-Antoine, cette neuvaine est riche en prières, invocations, méditations qui parlent au coeur. On y trouve, la Consécration au Coeur Eucharistique de Jésus-Hostie que le P.Marie-Antoine célébrait, ou la Litanie du Sacré-Coeur de Jésus dans l'Eucharistie.
N'a-t-on pas tout dit, tout écrit, tout publié sur sainte Bernadette Soubirous ? C'est sans compter avec le Père Marie-Antoine, celui qu'on appelait le «Grand apôtre de Lourdes» qui «aidait la Sainte Vierge à faire ses miracles». Il a connu Bernadette, elle a reçu la communion de ses mains. Il s'en est fait le défenseur confiant quand on parlait de l'enfermer au cachot. Et il a obéi à l'Immaculée en entraînant à Lourdes, lors de ses missions, les premiers pèlerinages et tant d'autres durant trente ans, inventant pour eux processions et chemins de prière et de conversion. On trouvera ici, complétés par une chronologie précise et détaillée jusqu'à sa mort en 1879, année où le livre a paru, les grands moments de la vie de Bernadette comme ceux de sa vie cachée sous le voile des Soeurs de Nevers. On trouvera les sentiments qui ont habité Bernadette qui les vécut intensément, et comment les Apparitions de Lourdes et le personnage de la jeune sainte ont été appréhendés par ses contemporains. Cela, dans une intimité où nous plonge le missionnaire, grand connaisseur du coeur humain confronté un jour ou l'autre à Dieu. Ce texte, qui aurait pu, en son temps, faire l'objet d'un fait divers, est publié pour la première fois sous le nom de son auteur.
Nos plaies sociales...
Le constat est sévère et les choses ne se sont pas arrangées en un siècle et demi. Certes, en France, on ne jette plus les religieux hors de leurs couvents, ceux-ci vendus au plus offrants, et on ne leur interdit plus d'enseigner. Cependant, un rappel du fondement des libertés imprescriptibles n'en est pas moins utile... Surtout si la plume alerte et colorée du père Marie-Antoine se met au service d'analyses où il donne toute sa mesure et contribue, avec une bonne dose d'humour, à mettre proprement de son côté les rieurs pour les amener à mieux réfléchir.
Notre siècle se rattrape allègrement au chapitre de la décadence morale. Avec sa société plus urbanisée que jamais où règnent le matérialisme et le plaisir qui en est le dieu, il connaît un contrat social mal posé et voit des familles trop souvent se disloquer... Et en filigrane, la main tendue d'une enfant qui en est l'antithèse, cette petite Bernadette qu'a choisie Notre-Dame. Tout à la fois missionnaire et confesseur des âmes, l'auteur, avec un bon sens désarmant, a l'espérance de sa foi et un amour tout divin pour les hommes qu'il connait si bien.
Les défis sont, fmalement, les mêmes aujourd'hui qu'en son temps : " Que va-t-il arriver ? Voilà bien les deux cités selon saint Augustin en présence. Qui triomphera ? D'un côté la puissance apparente, de l'autre la faiblesse apparente, mais ou est la puissance réelle ? "
Depuis Bethléem jusqu'à nos jours, nous voyons Marie travailler au salut du monde par l'enfance, par la faiblesse et par l'innocence, cette force du monde moral, cette toute puissance du monde catholique.
N'a-t-on pas tout dit, tout écrit, tout publié sur sainte Bernadette Soubirous ? C'est sans compter avec le Père Marie-Antoine, celui qu'on appelait le « Grand apôtre de Lourdes », qui «aidait la Sainte Vierge à faire ses miracles». Il a connu Bernadette, elle a reçu la communion de ses mains. Il s'est fait son défenseur confiant quand on parlait de l'enfermer. Et il a obéi à l'Immaculée en entraînant à Lourdes, lors de ses missions, les premiers pèlerinages et tant d'autres durant trente ans, inventant pour eux processions et chemins de prière et de conversion.
On trouvera ici, complétés par une chronologie précise et détaillée jusqu'à sa mort en 1879, année où le livre a paru, les grands moments de la vie de Bernadette comme ceux de sa vie cachée sous le voile des Soeurs de Nevers. On y trouvera les sentiments qui ont habité Bernadette qui les vécut intensément, et comment les Apparitions de Lourdes et le personnage de la jeune sainte ont été appréhendés par ses contemporains. Cela, dans une intimité dans laquelle nous plonge le missionnaire, grand connaisseur du coeur humain confronté un jour ou l'autre à Dieu.
Livret de neuvaine à sainte Marie-Madeleine. "Dieu semble dire à chacun de nous : regarde, écoute et imite. Regarde la pénitente bien-aimée de mon coeur, écoute ses enseignements, imite ses grands exemples."
« En nous attirant vers la solitude, Marie nous ramène vers Dieu en nous ramenant à nous-mêmes, et elle nous fait comprendre que le véritable progrès spirituel se trouve toujours dans le calme intérieur et le recueillement de l'âme. » Dans un monde de bruit, d'agitation, de violence, beaucoup de nos jours, croyants et parfois non croyants, se sentent attirés par ces lieux saints, abbayes, sanctuaires, pour une halte de quelques jours ou de quelques heures. Ils espèrent y retrouver un sens à leur vie, ou au moins la petite étoile à l'intérieur d'eux-mêmes qui les rassurera, en réunifiant leur être comme dispersé, disloqué par les vents contraires d'une société qui tourne trop vite, et parfois à vide.
Au fil des pages, le capucin raconte ses entretiens avec Bernadette, sa rencontre avec le premier miraculé, le départ des premiers pèlerinages organisés, suscités et conduits par lui, la mise en place - dont il fut en grande partie l'artisan - des cérémonies populaires que nous connaissons aujourd'hui à la Grotte et dans son environnement. Un témoignage de la ferveur des premières années. Un écho de la prédication populaire à la fin du XIX è siècle. Un document passionnant rendu au public à l'occasion du 150e anniversaire des Apparition de Massabielle. Un témoignage de la ferveur des premières années. Un écho de la prédication populaire à la fin du XIXe siècle.
Le P. Marie-Antoine aimait les pèlerinages, qui rejoignaient son amour et sa dévotion pour la Vierge Marie. Il les s'intégrait dans ses missions, et on sait qu'innombrables ont été les foules de pèlerins qu'il entraîna, en particulier, à Lourdes. On trouve ici le récit mouvementé de la fondation du sanctuaire dédié à N.D. de Consolation sur la colline du Pech dans sa ville natale de Lavaur, le rêve de toute sa vie. Achevé en 1901, au moment où les églises, on les fermait plutôt, il fallut encore trois ans pour qu'il soit ouvert à la dévotion publique malgré les difficultés.
«Ces petites pages que nous vous offrons pour accompagner vos pas, chers pèlerins, sont de lecture agréable et facile.
Comme un vrai petit bouquet de fleurs que j'ai mis près de cinquante ans d'apostolat à cueillir. Une petite heure suffit pour les lire. Et, plus on les relit, plus on y trouve de saveur et, une fois dans nos coeurs, une fois mise en pratique, la vie chrétienne devient un charme, la vertu devient comme naturelle et on sent que l'âme se met à la température du ciel.»
Ces lettres, tour à tour élans d'amour pour sa famille, pour Marie Immaculée, pour son Dieu, récits hauts en couleur de ses missions, réflexions, conseils de sagesse, confidences. un chemin de sainteté mis à la portée de chacun, aujourd'hui comme hier. Avec, pour boussole et comme autant de cailloux blancs, cette joie inexplicable qui inonde le coeur dans les pires moments, quand on a prié, quand on a offert, quand on a aimé.
Mine la souris a rendez-vous, sous le grand arbre, avec le loup, juste à la tombée de la nuit, c'est-à-dire quand le soleil et la Terre se touchent... À l'heure rouge !
Le loup arrive en premier, il se tient immobile. Mine arrive à son tour, s'approche du loup. Ils se tiennent face à face, s'observent un instant.
Que vont-ils faire ? Vont-ils se battre en duel ?
Pas du tout ! Ils ont rendez-vous avec les derniers rayons du soleil ! Ensemble, ils vont faire danser leur ombre à tour de rôle : lapin géant, chouette, coq, dauphin et même licorne se dessinent au sol !
Demain, si le temps est clair, Mine retrouvera le loup à l'heure rouge, exactement.
Le terme d'éthologie du cheval, encore méconnu il y a une vingtaine d'années, est aujourd'hui tellement répandu qu'il est de plus en plus utilisé abusivement dans des contextes sans grand rapport avec ce qu'est réellement cette discipline.
Pour tenir compte de ces évolutions, cet ouvrage propose une synthèse aisément accessible, fondée sur les connaissances les plus actuelles, de ce qui constitue réellement aujourd'hui l'éthologie du cheval.
Comprendre le comportement du cheval, quelle est sa vraie nature, comment il est devenu ce qu'il est aujourd'hui au fil des millénaires, quelles sont ses relations naturelles avec ses congénères, de quelles façons il interagit avec son milieu, comment l'individu se développe, quelles sont ses aptitudes, quelles conséquences cela peut avoir pour son bien-être... Les auteurs répondent à toutes ces questions avec des réponses claires, complètes et réellement documentées.
Extrêmement complet et richement illustré, cet ouvrage rend accessible à un large public les connaissances scientifiques les plus récentes sur l'éthologie.
Incontournable pour mieux connaître et comprendre nos compagnons les chevaux.
Il y a huit millions d'années, alors que l'actuel territoire du Coiron (Ardèche) était une large vallée parcourue par une rivière, un volcan a surgi. Le magma expulsé par de nombreuses cheminées a recouvert peu à peu la vallée. L'érosion effaça ensuite les roches les plus tendres. Les sédiments marneux qui composaient les versants de la vallée furent détruits. Au cours des millions d'années qui suivirent, les couches de lave s'accumulèrent. Le plateau s'élevait, il sortait de terre comme une île. Les géologues parlent aujourd'hui de relief inversé. C'est comme si l'ancien fond de vallée avait servi de moule au plateau, ou comme si le plateau était devenu une relique de la vallée disparue.
« Ensuite il y a le corps du pays. J'appelle paysage le corps des pays, sur le plateau du Coiron et ailleurs. Le corps du pays, volcanique et émacié, est marqué, couturé, jalonné de signes, de traces tangibles. Le pays a aussi une histoire, elle est vieille comme le monde. Géologie et généalogie ne se sépareraient pas. Ici, quelque chose a eu lieu, une histoire d'érosion et d'inversion entre calcaire et basalte, on parle joliment de relief inversé ; je lis aussi que le plateau du Coiron est l'un des bastions ultimes du Massif Central, campé à l'exacte confluence des régimes climatiques méditerranéens et continentaux. Ici donc quelque chose a eu lieu dans la nuit longue des temps ; le relief et les pierres le disent, le racontent à qui veut, et sait, le voir, le toucher, le déchiffrer de l'oeil, de la main et du pied. C'est plus ou moins spectaculaire et manifeste, entre hiéroglyphes infimes, furtifs, graphiques, qu'il faut dénicher, et chicots gris ou bourrelets mafflus, dykes et necks, falaises impérieuses, plis, fentes boisées, chemins opiniâtres, éboulis, drapés qui arrêtent le regard et interrogent. » (M.-H. Lafon) En arpentant ce paysage, le photographe Antoine Picard a observé les falaises, les roches écoulées, les murs de lave enfouis dans les fissures souterraines, les pierres affleurantes. Puis il s'est approché à la rencontre des habitants d'une des fermes du plateau. Florentin, son frère émilien et leur famille vivent là. Leurs ancêtres ont ouvert la terre, taillé les chemins à coups de dynamite, cherché les sources, débroussaillé et monté les murets de pierres noires pour clôturer des prés. Eux, nouvelle génération, habitent cette surface du Plateau et constituent la strate (humaine) la plus actuelle de son histoire.
« Au commencement ils surgissent ; ils, les garçons, les deux ; ce sont des frères, ce sont des fils, des neveux, des petits-fils, des petits-neveux ; ils sont liés, reliés, ils ont une histoire, une famille, une généalogie. Ils ont de jeunes corps, affûtés, véloces, souples et drus. Ils ont des prénoms doux et sonores, chantants, accordés, Florentin et Emilien. » (M.-H. Lafon) Ils ont cherché les pierres du dessous qui remontent à la surface. Ils sont rentrés dans les grottes avec l'impression de rentrer dans la chair du plateau. Ils ont greffé les châtaigniers de leur grand-père. Ces motifs, géologiques ou agricoles racontent comment nous grandissons tous avec une histoire souterraine, enfouie dans notre mémoire. Ils évoquent notre faculté à nous arranger avec ce qui est là pour fabriquer autre chose, à nous nourrir de nos origines tout en assimilant ce qui est autour, à jouer d'une alternance entre le dessus et le dessous, le dissimulé et l'apparent.
Marie-Hélène Lafon est venue plusieurs fois, a séjourné sur le Plateau, a rencontré la famille. Les photographies en tête, elle a écrit ce texte (inédit) en deux parties, mêlant fiction et histoires quotidiennes de famille (celle des ces frères ou la sienne), décrivant son expérience du paysage d'ici tout en revenant, toujours, vers le sien, à l'autre bout, le Cantal.
La Guadeloupe, terre de soleil, n'en reste pas moins une terre nourricière qui offre une palette de plus de 220 fruits, légumes et épices aux qualités exceptionnelles.
Cet ouvrage à la fois documenté et facile d'accès vous permettra de mieux connaître leurs caractéristiques, leurs origines et leurs apports nutritionnels tout en mettant en valeurs les hommes et les femmes qui mettent leurs savoirs aux services de ces produits.
Vous pourrez ainsi concocter et égayer vos repas en découvrant ou redécouvrant des aliments locaux, rares, originaux, parfois en voie de disparition. Il est donc nécessaire aujourd'hui de préserver et développer cette richesse naturelle et consommer local, consommer pays.
Une nouvelle neuvaine du P. Marie-Antoine, le 9 e livret de la collection et cette authenticité des méditations, qui émeut et rend plus léger pour monter vers Dieu. Sa relation au coeur à coeur avec Marie lui permet de nous faire pénétrer dans l'amour de celle que Dieu a préparée de toute éternité pour être la mère Immaculée de son Fils umque et la mère de tous les hommes. Jour après jour, défilent les grandes étapes d une vre toute divine autant qu'humarne : sa naissance, sa présentation au temple, I annonciation, la visitation, sa maternité, sa purification au temple, ses douleurs Jusqu au Calvaire, son assomption. Récits, méditations, prières, Invocations, baignent dans une spiritualité où le surnaturel rejoint cette lumineuse simplicité, auxquels l'auteur nous a habitués. Mais ici, l'objet de tous ses soms est celle qu'il a aimée et servre toute sa vie, Marie l'Immaculée.
Les soins palliatifs renvoient à une somme de pratiques appuyées sur une démarche scientifique en constant dialogue avec l'expertise clinique des différents intervenants en santé : personnel médical, paramédical, psychologues, professionnels du social...
Si ces équipes interdisciplinaires appréhendent différemment le réel des malades, elles convergent vers un objectif commun : la nécessité d'accompagner de façon expérimentée la période particulière de la fin de vie et du mourir.
Cet aide-mémoire rend compte de cette diversité et expose de façon didactique et exhaustive :
- Les repères de base.
- Les pratiques spécifiques.
- Des expériences cliniques.
Il tente d'expliquer les pratiques spécifiques aux soins palliatifs développés par les équipes interdisciplinaires, en s'appuyant sur de nombreux cas cliniques.
En 100 fiches, ce livre propose un résumé pédagogique de tout le droit français en vigueur : droit constitutionnel, droit civil, droit de la famille, droit administratif, droit du travail, droit des affaires, droit pénal, droit communautaire, droit international, droit de la concurrence et droit de la consommation.
« La vie que nous allons écrire n'est qu'une série de merveilles : merveilles dans son enfance, merveilles dans sa jeunesse, merveilles dans son apostolat. Tous les miracles des apôtres, comme une nouvelle Pentecôte. Des extases presque continuelles, des visions célestes, des entretiens sublimes avec Marie, la Reine du ciel qui, elle-même, venait placer dans ses bras son divin Enfant : le ciel entr'ouvert et contemplé par avance ! » Pour écrire, ou lire, une biographie de saint Antoine de Padoue, il ne faut pas avoir peur du surnaturel car sa vie toute entière de saint de tous les miracles, le plus populaire dans le monde, plonge dans le surnaturel. On sait que le P. Marie-Antoine y est lui-même à l'aise, sans le moindre respect humain ni crainte de mettre les points sur les i. En témoigner, pour lui, c'est rendre justice à Dieu de son amour pour les hommes. Et c'est convaincre les hommes de la douce espérance d'être follement aimés, et entendus, de Dieu. C'est être missionnaire. Il est l'ami des pauvres et des enfants, ajoute-t-il. « Ce divin Enfant qu'il tient dans ses bras est à la fois Créateur et Rédempteur. Par sa puissance, Dieu vient au secours des êtres qu'il a créés ; par sa souffrance, il rachète l'homme qui l'a offensé. » D'où son appel aux riches de ce monde. « Dieu, leur dit-il, vous donne la gloire de participer à sa puissance. Vous l'exercez en venant au secours du pauvre. Et il donne aux pauvres et aux éprouvés la gloire, plus grande encore, de participer à ses souffrances ; par elles, ils font la conquête du Paradis dont ils vous ouvrent, si vous faites la charité, les portes éternelles. » C'est par la charité que se cimente l'unité à venir, signe annonciateur du retour du Christ prédit par l'Ancien comme le Nouveau Testament.