Patrick Cauvin E=MC2, mon amour « Lui un peu voyou, elle un peu bêcheuse, ces deux bambins qui totalisent moins de vingt-trois printemps vont se rencontrer, se flairer, se reconnaître et vivre dans l'incompréhension générale ce qu'il est légitime d'appeler un grand amour.
J'aime dans le roman de Patrick Cauvin - outre toutes les qualités de fraîcheur, de légèreté, d'invention qu'il faut pour faire l'enfant sans faire la bête - j'aime ce qu'il dit sans avoir l'air d'y toucher et qui va beaucoup plus loin que son joli récit. » François Nourissier.
Un homme, une femme et un enfant surdoué s'installent pour quatre saisons qui s'annoncent merveilleuses dans un vieux manoir, Haute-Pierre.
Après un été splendide, l'automne se referme sur Haute-Pierre où d'étranges phénomènes se produisent soudain. Mais, aujourd'hui, qui peut encore croire aux maisons hantées ?
Vous serez envoûté par ce roman de Patrick Cauvin, qui conjugue romantisme et humour avec un fantastique sens du suspense.
De rebondissement en rebondissement, le lecteur n'a pas le temps de souffler.
Jacques Duquesne, Le Point.
Tendresse, imagination, coup de théâtre final - je ne le révélerai pas -, c'est savamment mené. Le genre de livre que l'on voudrait avoir écrit. Et qui donne envie d'écrire.
Pierre Tchernia, Atouts.
Patrick Cauvin Pythagore, je t'adore Elle écrivait des vers raciniens, il apprenait par coeur des dictionnaires de cinéma. Elle, Américaine, fille d'un patron de multinationale ; lui, vrai titi parisien, fils d'un chauffeur de taxi. Ils avaient onze ans. Ils s'aimaient.
Quatre ans après, Lauren et Daniel, héros du best-seller e=mc2 mon amour, ne se sont pas oubliés. Elle s'ennuie en Californie dans son école pour surdoués. Il s'ennuie en région parisienne dans un institut pour les cas déses-pérés du système scolaire. Sans se concerter, ils partent chacun à la recherche de l'autre.
Et Patrick Cauvin de nous offrir un étourdissant cocktail de rire, de tendresse, d'aventure et d'amour.
Tout est fou dans ce roman, mais le charme Cauvin opère à chaque page.
Denis Jeambar, L'Express.
Franck Lanier avait tout arrangé pour les vacances. Il casait son fils chez son ex-femme et il filait à Bangkok. Mais son petit garçon, Laurent, n'est pas du tout d'accord. Il veut, lui aussi, partir pour Bangkok. Tous les moyens lui seront bons pour parvenir à ses fins, des plus drôles aux plus désespérés, et des aventures peu banales se succèdent dans une vie quotidienne pleine de tendresse entre le père et le fils. Par l'auteur de L'Amour aveugle, ce roman alerte, plein d'humour, est un des grands succès de ces dernières années.
Tout a commencé le soir de sa mort. Elle a attendu le dernier instant pour me révéler son secret et me confier une mission : la venger. J'ai accepté car l'on ne refuse rien à une mère mourante. Et j'ai plongé dans un passé effroyable...
Une enfance, une adolescence à huis clos dans l'ombre étouffante d'une mère rescapée de la déportation et qui ressasse inlassablement ses souvenirs : la dénonciation, l'horreur des camps de concentration, la disparition de son époux... Un suspense surprenant où Patrick Cauvin jongle brillamment avec le pire jusqu'au dénouement... insoupçonnable.
Patrick Cauvin L'Amour aveugle Jacques Bernier, quarante-cinq ans, professeur de français, part plein d'espoir rejoindre sa fille et ses amis en Provence pour les vacances. Mais ils sont jeunes et, très vite, il se sent complètement dépassé, hors circuit. Le miracle survient alors. Il tombe amoureux fou de Laura. Lui n'est pas Clark Gable, elle est aveugle. Ils mettront dans cet amour toute leur énergie et leur volonté de bonheur.
De l'infirmité de son héroïne, l'auteur fait une richesse et nous offre un festival de sensations tactiles, de sons et d'odeurs. Poésie, humour et tendresse, mais aussi gravité et tristesse, tout est réuni dans cette bouleversante histoire d'amour.
Adrien décrocha une lourde pertuisane et entreprit de monter l'escalier de pierre sur la pointe des pieds. Il se sentit ridicule.
Il y avait de quoi: être un grand éditeur parisien et se retrouver dans sa vieille demeure ancestrale avec, à la main, une arme du xvie siècle dont il ne savait pas se servir, était risible.
Il ignorait alors que commençait pour lui une histoire qui bouleverserait sa vie. Il allait découvrir le secret de Belange.
P.C.
« J´avais onze ans dans l´été 43. C´était la, guerre. J´en ai donc soixante et onze en cet hiver 2003 et c´est encore la guerre. Pas la même ; la Troisième mondiale. Petit bonhomme en galoches soumis aux restrictions ou vieillard déambulant dans un couloir d´hôpital, c´est quand même toujours moi, Povchéri. Ceci est mon journal de début et de fin. Malgré tout, et dans l´ensemble, ce fut parfois rigolo de vivre. »
Patrick Cauvin Tout ce que Joseph écrivit cette année-là La vie ne va pas toujours comme on voudrait. On n'aime pas voir son menton de profil, on est moins musclé que Mel Gibson, et la belle Yasmine se laisse embrasser par l'odieux Benamou...
Reste l'écriture. Joseph, onze ans, élève de sixième, écrit tout le temps. Un journal intime. Des lettres, à sa correspondante anglaise, à Eugénie Grandet. Ou alors il compose des romans, du théâtre. Une suite de Cyrano. Un scénario de film d'horreur intitulé « Le Secret de la grand-mère ». Il a de l'imagination à revendre, Joseph.
On trouvera ici tout ce qui est sorti de sa plume durant l'année 1993. A l'évidence, Patrick Cauvin s'est énormément amusé en sa compagnie. Nous aussi. On en redemande !
A chacun ses faiblesses : la mienne s'appelle Patrick Cauvin. Tous ceux qui ont savouré E = mc 2 mon amour me comprendront : ce grand escogriffe à lunettes et à tête d'oeuf sait faire parler l'enfance comme personne.
Dominique Mobailly, La Vie.
Tout est fureur et ferveur dans cette Chine du début du XXesiècle où l´horreur côtoie le sublime. Tel un démiurge pour qui le roman est un terrain de jeux, Patrick Cauvin nous entraîne dans un tourbillon d´événements. Tous ses personnages, les pires et les meilleurs, ont une densité humaine peu commune.
Les intrigues des occidentaux craignant l´unité de la Chine, les bandes armées des petits potentats locaux, les triades, les communistes de Mao entrant sur la scène de l´Histoire, tout ici s´embrase et s´enflamme. Une violence d´une beauté inouïe. Mais le coeur du roman est peut-être ailleurs. Du côté du désir de l'amour fou.
Face au tumulte ambiant, seuls comme savent l'être des amants, un homme et une femme sauront, par la force de leur passion amoureuse, s'inventer un autre monde. Ils s'évadent de la planète, corps et sentiments mêlés.
Patrick Cauvin nous offre ici l´un de ses plus grands romans populaires. Un livre que l´on ne peut que relire sitôt achevée la première lecture.
Dans un immeuble de la Plaine Monceau, un oisif richissime s'aperçoit que le vieux locataire qu'il avait pour tâche de déloger a découvert l'immortalité... Et aussi qu'il a une nièce ravissante, Cécilia.
Dans un appartement du passage des Panoramas, André Berthold, " nègre " littéraire de son état, découvre des lettres d'amour oubliées, et part à la recherche de la femme mystérieuse, M., qui les a écrites.
Deux arnaques énormes, monstrueuses. Mais aussi deux histoires d'amour, et deux femmes, de ces " croqueuses de diamants et de coeurs " qui savent emmener les hommes sur de merveilleuses galères...
Depuis vingt-cinq ans, Patrick Cauvin passe tous ses étés dans une bâtisse de tuffeau et d'ardoise, en pays troglodytique, entre Angers et Saumur. Un parc, des grottes, des fantômes : l'achat de l'immense maison fut d'abord un grand moment de panique. Puis, au fil des étés, le lieu a vécu, les amis s'y sont succédé, sont revenus. On y a beaucoup mangé, bu, écouté, chanté, discuté... Patrick Cauvin nous raconte avec plaisir ses balades à vélo à travers le Maine-et-Loire, la douceur des matins, l'amitié des voisins, les vignobles de l'Anjou, les châteaux tout proches.
Patrick Cauvin écrit ici son récit le plus intime... Un livre pour transmettre la joie, les rires, l'amitié, les souvenirs du bonheur, imprégné de la fameuse douceur angevine.
"Lui un peu voyou, elle un peu bêcheuse, ces deux bambins qui totalisent moins de vingt-trois printemps vont se rencontrer, se flairer, se reconnaître et vivre dans l'incompréhension générale ce qui est légitime d'appeler un grand amour.
J'aime dans ce roman de Patrick Cauvin - outre toutes les qualités de fraîcheur, de légèreté, d'invention qu'il faut pour faire l'enfant sans faire la bête - ce qu'il dit sans avoir l'air d'y toucher et qui va beaucoup plus loin que son joli récit." François Nourissier Best-seller des années 80, e=mc2 mon amour, le grand roman de Patrick Cauvin, trouvera de nouveaux lecteurs avec Pythagore, je t'adore qui en est la suite.
Des bébés de moins de trois mois observés à domicile ont fait preuve, dans certaines conditions émotionnelles, d'autonomie et de créativité. Mère et bébé semblaient participer à la genèse de ces événements articulant gestion de l'excitation et capacité des protagonistes à se séparer en présence de l'autre. L'étude après-coup des déterminants de ces situations extraordinaires au sein d'interactions quotidiennes ordinaires a été formalisée dans une thèse de psychologie. La version raccourcie et remaniée présentée ici en suivra les étapes, des premiers questionnements à l'élaboration des outils cliniques : « pare-excitations dyadique observé » et « distance dans la relation mère-bébé ». Les bébés ont été décrits dans leur capacité à s'occuper activement de l'espace laissé vacant dans la relation par les fluctuations de la pensée maternelle à leur égard. Moments magiques saisis dans un contexte de turbulences émotionnelles propres aux interactions précoces. Parler de ces événements en termes de mouvements de proximité / éloignement dans la relation apporte aux parents et aux cliniciens un éclairage nouveau sur les bébés dont ils s'occupent.
Lorsque Mona pousse la porte de l'école de danse du vieux Roméo, elle ne sait pas encore qu'elle vient de pénétrer dans le palais des rêves et des mensonges... Qui sont ces gens qui valsent, virevoltent, tanguent? Ceux qu'ils prétendent être ou d'autres personnes? Sont-ils là pour apprendre rumba et samba ou pour vivre une autre vie?... Et Mona, qu'est-elle venue chercher? Elle-même ou le secret d'Héloïse, qui fut sans doute la compagne de Roméo, le maître de cet étrange lieu? Patrick Cauvin. La pièce Héloïse sera créée au théâtre de l'Atelier (Paris) fin janvier 2008, avec Roger Pierre, dans une mise en scène de Patrice Leconte.
Au fond du parc d´un hôpital, non loin de Paris, se niche un mystérieux théâtre. La jeune Elisa Marin aime s´y réfugier. Là, parmi les ors et les velours, elle rêve d´un avenir que la maladie rend incertain.
Un jour de 1937, le théâtre s´anime. Sur scène, une troupe de comédiens répète. Parmi eux, Sylvain Kaplan. Entre le jeune acteur et Élisa, le coup de foudre est total, absolu. Plus tard, dans la tourmente des années quarante, les amants partageront les dangers avec d´autres clandestins résistant au nazisme. À l´abri du théâtre protecteur, ils vivront prisonniers d´un univers de toiles peintes et de décors en trompe-l´oeil où rien ne semble pouvoir ternir leur amour. Mais le bonheur en ces temps troubles est chose trop précieuse...
Après Villa Vanille, son climat de révolte, de violence et de sentiments exacerbés, Patrick Cauvin nous émerveille avec une passion simple et déchirante, comme sublimée par l´étonnant pouvoir de ce théâtre magique où l´amour, le courage et la sincérité se conjuguent pour nous offrir de l´émotion à l´état pur. Un chef-d´oeuvre de grâce et de simplicité.
Voici l'un des personnages les plus fracassants du XVIIe siècle, en même temps que l'une des plus grandes énigmes de son époque. Destin exceptionnel que celui de cet homme dont il fut décidé qu'il devait sombrer dans le silence le plus total, Francisco Torrentera, aventurier, peintre, séducteur, musicien, justicier, philosophe et poète, sur lequel fut refermée, durant plus de trois siècles, la tombe le l'oubli. une tombe qui s'ouvre aujourd'hui et laisse échapper le portrait mystérieux d'un personnage parmi les plus étonnants de l'histoire de l'humanité.
En découvrant la double vie de sa femme, un écrivain connu en mal d'inspiration, se retrouve dans une aventure rocambolesque où se mêlent terrorisme et kidnappings en série. Patrick Cauvin entraîne son lecteur dans un jubilatoire jeu de dupes pour son plus grand plaisir !
Ronald Dunand est un écrivain connu, très connu même. Un après-midi, alors qu'il attend un rendez-vous d'affaires dans un grand hôtel parisien, il aperçoit au bar sa propre femme. Un individu étranger lui remet une mallette... Qui se promène cet après-midi-là avec un chapeau haut de forme bleu ? Qui est ce flic ventripotent spécialiste de la lutte antiterroriste ? Quelle est cette bohémienne dans le métro, détentrice d'un secret redoutable ? Quel est cet étranger marchand de valises dont le magasin a deux entrées ?
" Si vous mélangez un ex-acteur spécialiste de feuilletons télé idiots avec une poupée gonflable, l'explosion d'une villa belge avec une secrétaire faussement indienne, si vous ajoutez un garde du corps débile mental, un cascadeur vieillissant et un poivrot marseillais, vous avez des chances d'obtenir une histoire d'amour dans une île hollandaise.
Pour réussir ce cocktail, n'oubliez surtout pas une présidente apparemment glacée... " Délirant, iconoclaste, caustique : Présidente, un roman coup de griffes de Patrick Cauvin. Un talent d'écrivain capable tout autant de faire rire que d'émouvoir avec des accès de tendresse déchirée.
Julien Pétrard entame son journal intime à l'aube de sa 83e année. Que l'on se rassure, s'il se livre à cet exercice, ce n'est pas pour décrire sa vie solitaire enfouie au coeur d'une vieille maison d'un vieux quartier d'une vieille ville provinciale, ce n'est pas davantage pour dresser la liste des 100 000 petites et grandes misères qui accablent les hommes de son âge ni pour revivre les souvenirs de son lointain passé amoureux. Si Pétrard se lance dans cette entreprise, c'est qu'il a une raison majeure : Il y a quelques jours, en pénétrant dans une boutique de son quartier pour acheter des cigarettes, un étrange marchand lui a révélé le nombre de paquets qu'il lui restait à fumer. Très exactement quatorze. Pas un de plus. Il n'y a qu'une explication : cet homme est fou. Lorsque le facteur lui apprendra deux jours plus tard qu'il n'a plus que douze lettres à recevoir, les choses se compliquent. Pétrard a les pieds sur terre, solidement posés dans ses pantoufles. Il ne croit ni au surnaturel, ni au supra normal, ni à Dieu ni à Diable. Une idée lui vient alors : et s'il était la victime dune machination ? Il s'en ouvre à sa vieille et unique copine, une octogénaire très enrobée, veuve d'ambassadeur avec qui il partage certains soirs des surgelés arrosés de grands Bordeaux. La thèse de la machination s'effondre et voilà qu'une jeune vendeuse de centre commercial lui apprend que le caleçon qu'il doit acheter sera son dernier. On a beau avoir de l'humour, ce qui est le cas de Pétrard, cela commence à faire beaucoup et même trop. Pourquoi donne-t-on à Pétrard autant d'indices concernant sa mort à venir ? Nous avons tous un certain nombre de paires de chaussures à porter, de biftecks à avaler, de films à voir, de chansons à fredonner, de femmes à aimer... Nous ignorons ces nombres, c'est ce qui nous permet de vivre... Pétrard, lui, les connaît. Son journal est-il un tissu d'inventions, le produit d'un esprit dérangé ou tout cela repose-t-il sur une éclatante vérité ?
À 84 ans, Julien Pétrard, ancien professeur de mathématiques, mène une vie tranquille et solitaire. Mais un matin, alors qu'il achète des cigarettes, un épicier lui annonce une drôle de nouvelle : il ne lui resterait plus que 14 paquets à fumer. Canular ou machination ? Avec beaucoup d'humour, Patrick Cauvin se glisse dans la peau d'un vieil homme attendrissant.