Robert van gulik est un prodigieux personnage de roman qui a inventé un étonnant personnage de roman, le juge ti.
Le juge ti, c'est la subtilité chinoise appliquée à l'art de l'énigme policière : un sherlock holmes de la dynastie t'ang, vieux sage plein de finesse et d'humour, qui baigne dans le peuple chinois comme une truite sagace dans les eaux du yang tsé.
Robert van gulik, diplomate, sinologue, maître des arts de la peinture chinoise et de l'érotisme extrême-oriental, est mort en 1967 après avoir vécu 57 ans d'après l'état civil.
Il avait vécu mille ans, dirait-on en lisant ses livres, savants traités ou romans policiers.
Sans s'ennuyer une seule minute, ni ses lecteurs.
Claude roy, 1983.
Retrouvez toutes les affaires dbrouilles par le juge Ti chez 12-21, l'diteur numrique ! En poste Lang-fang, non loin de la Mongolie, le juge Ti aimerait clbrer l'anniversaire de l'une de ses pouses autour d'un tranquille tournoi de ma-jong et d'une tasse de th fumant. Mais, dans ce district en activit permanente, les criminels sont bien dcids ne lui laisser aucun rpit. Un corps sans tte, des lingots drobs au Trsor imprial et la dcouverte d'un sanglant message dans un coffret en bne : ces trois affaires en apparence distinctes ont de quoi dconcerter le brillant magistrat. Le juge Ti devra plus que jamais manoeuvrer avec d'infinies prcautions pour dvoiler la face cache du fantme du temple.
En 668, durant un séjour chez son ami le magistrat Lo dans le district de Chin-Houa, le désormais célèbre juge Ti va aider celui-ci à résoudre plusieurs affaires de meurtre : l'assassinat du jeune Song, candidat aux examens littéraires et celui d'une danseuse, Petit Phénix. Il fera également la lumière sur la culpabilité d'une poétesse, Yo la, accusée d'avoir assassiné une servante et mettra à jour une erreur judiciaire.
Comme toujours, l'intrigue policière est pour Robert Van Gulik un formidable prétexte pour recréer l'univers délicieusement dépaysant de la Chine des T'ang.
« Le savant et le dandy se mêlaient en Van Gulik, comme se côtoient dans ses romans Excellences et malabars, déesses de la Miséricorde et statues du roi Dragon, canards mandarins de l'amour fidèle et serpents de la passion meurtrière. On y arpente les égouts avec élégance avant d'aller au palais du gouverneur prendre - évidemment - une tasse de thé. »
Sur le chemin de son district, le hasard conduit le juge Ti jusqu'à l'île du Paradis, lieu de plaisirs et de débauche. Tandis que la Fête des Morts bat son plein, l'atmosphère se fait oppressante : le suicide d'un jeune homme de l'Académie Impériale, la mort de la plus belle courtisane de l'Île jette le trouble. Au Pavillon Rouge, le sang n'a pas fini de couler...
Un nouveau casse-tête chinois pour le sagace juge Ti Jen-Tsie qui enquête tambour battant dans l'Empire Fleuri du VIIe siècle.
Hollandais, robert van gulik (1910-1967) est un fin érudit et un véritable polyglotte (néerlandais, anglais, japonais, malais, javanais, latin, grec mais aussi chinois et russe). après avoir étudié à leyde et à utrecht le droit et la politique, il entre aux affaires étrangères. il s'initie à la poésie et à la calligraphie chinoises, au tibétain et au sanscrit, à la philosophie bouddhiste. après avoir assimilé cette formation de lettré chinois, il publie deux ouvrages, l'un sur le luth chinois, l'autre sur la peinture. il continue son oeuvre au cours de ses pérégrinations de diplomate, au japon, au liban, en malaisie, à washington. l'acquisition d'un album de gravures érotiques de la dynastie ming l'amène à s'intéresser à l'érotisme chinois, et en 1962 il publie la vie sexuelle dans la chine ancienne, traduit en français en 1971. c'est en 1948 au japon qu'il traduit un roman policier chinois, le dee gong an ou affaires résolues par le juge ti, fonctionnaire de l'époque t'ang. en s'inspirant de vieux récits chinois, van gulik écrit alors dix-sept récits policiers fictifs, affaires débrouillées par son juge ti, qui font découvrir au lecteur occidental maints aspects de la vie sociale en chine ancienne.
Les passionnés d'enquêtes policières sont familiers du personnage du juge Ti, popularisé dans les romans de Robert Van Gulik publiés entre 1951 et 1968.
Si ce héros vécut réellement au VIIe siècle de notre ère, sous la dynastie Tang, Van Gulik s'inspira principalement d'un manuel de jurisprudence postérieur, les Affaires résolues à l'ombre du poirier (Tang Yin Pi Shi). Compilé en 1211, ce recueil de 144 affaires criminelles a constitué l'ouvrage de référence des magistrats chinois jusqu'à la chute de l'Empire céleste sept siècles plus tard.
Les cas les plus étranges s'y succèdent : les plaignants amènent leurs vaches au tribunal, les juges soumettent des objets à la torture, moines libertins, princes du sang et brigands de haut vol se croisent en un étrange ballet criminel. Ces histoires de magistrats perspicaces, d'assassins roués et de criminels endurcis nous font pénétrer au coeur d'un monde sophistiqué et impitoyable, celui de la Chine ancienne, si lointaine et si proche.
« Les types de personnages de Van Gulik sont ceux qu'on retrouve dans les romans policiers chinois : le juge avec son assistant qui lui sert de confident, les fonctionnaires, les prêtres taoïstes et bouddhistes, les lettrés, les brigands, les médecins, les bateleurs, sans oublier les antiquaires, que l'auteur, en tant que collectionneur, devait bien connaître et qu'il ne peut se retenir d'égratigner au passage.
Les situations inventées sont authentiques jusque dans les moindres détails. C'est une véritable création par collages de traits empruntés à la civilisation chinoise. » Jacques Pimpaneau, Libération.
Flanqué de ses fidèles lieutenants et de son sabre légendaire « Dragon de pluie », appelé d'une juridiction et d'une région à l'autre, croisant sur sa route une multitude de personnages envoûtants, mystérieux, cruels ou charmeurs et même quelques fantômes, le juge Ti traque les meurtriers, déjoue les complots, dénoue les fils des intrigues les plus complexes - au moins trois énigmes distinctes et parallèles par roman, selon les canons du roman policier chinois classique.
Une courtisane assassinée, le mystérieux temple du Nuage Blanc, des armateurs, banquiers ou négociants en soieries, des maîtres d'orfèvrerie, des petits voyous, une épouse répondant au joli nom de Lotus d'argent sont quelques-unes des épices subtiles et relevées de ces premières aventures...
Imaginé par Robert Van Gulik à partir des hauts faits d'un authentique magistrat de diverses provinces chinoises du VIIe siècle, le personnage du juge Ti Jen-tsié est devenu l'un des plus célèbres héros de la littérature policière et du roman d'énigmes.
« Van Gulik, qui était sinologue, s'est inspiré pour camper son héros d'un personnage réel, Ti Jen-tsie, lequel a vécu entre 630 et 700 de notre ère. Naturellement, l'histoire ici est inventée de toutes pièces mais Van Gulik a respecté, dans ses moindres détails, le contexte historique. Son juge se présente comme un sage, un philosophe de la détection, comme une sorte de Sherlock Holmes anachronique qui résout les problèmes (les casse-tête) avec finesse et subtilité, tant il connaît bien la nature humaine. » Alexandre Lous, Magazine littéraire
Robert Van Gulik, orientaliste et sinologue éminent, auteur de La vie sexuelle dans la Chine antique, des nombreuses et très célèbres Enquêtes du juge Ti, de publications concernant divers aspects de la civilisation chinoise traditionnelle, diplomate en Orient, a aimé et élevé chez lui, à Kuala Lumpur en Malaisie, plusieurs gibbons. Les études en français sur ces animaux distingués et ravissants restent très rares ; à l'étude zoologique et sympathique Van Gulik joint ce que Borges appelle « la poésie de l'érudition », examinant évocations et figures, dans la littérature et la peinture chinoises classiques, de ces singes gracieux et aimables. On pourra lire ici des textes nulle part ailleurs traduits, et de fins commentaires de tableaux fort peu connus.
« Van Gulik propose une synthèse sur les techniques sexuelles, le sentiment de l'amour, les comportements privilégiés, les aberrations ou singularités, la prostitution, les estampes, etc., à travers les vicissitudes de l'histoire, des origines à 1644, date à laquelle les Mandchous s'installèrent à Pékin pour y imposer un puritanisme plus rigoureux encore que celui des confucéens...
Intéressant au premier chef comme document de sexologie et d'anthropologie, l'essai de Van Gulik (traité de médecine joint à une morale de l'innocence charnelle) peut aussi nous aider à triompher de cette malédiction comme de cet érotisme transgresseur et sanieux dont Bataille serait chez nous le grand prêtre. » Étiemble.
<b>Retrouvez toutes les affaires dbrouilles par le juge Ti chez 12-21, l'diteur numrique !</b> " Qu'est-ce qui fait le grand dtective ? Hercule Poirot par exemple n'a rien d'attirant. S'il a plu, c'est sans nul doute parce que Agatha Christie lui a donn des attributs policiers trs caractristiques ; Hercule Poirot, c'est avant tout une mthode de travail, pour ne pas dire une mthodologie - et la plupart de ses illustres confrres ont prcisment la leur et ont, chacun, une manire propre de conduire une enqute, de penser, d'agir, de poser des questions, de dbrouiller les fils d'un mystre ou d'une nigme. C'est le cas du juge Ti. " Alexandre Lous, Magazine littraire
Van Gulik.
Vous avez dit ? Oui, oui, c'est bien lui, un Hollandais volant qui survole le polar. Les aventures du " Juge Ti " valent leur pesant de série noire. Ou de série jaune... Précipitez-vous sur la collection 10/18, cela sera votre tasse de Ti. Le Guide pratique de l'Obs
pierre angulaire de ce deuxième volume, le monastère hanté est sans doute le plus célèbre des romans de robert van gulik - bien que construit sur le principe, inhabituel dans la série, de l'unité de temps et de lieu.
entre les murs du monastère du nuage matinal, le juge ti, accompagné de ses trois épouses et de ses deux lieutenants, aura fort à faire pour résoudre les trois énigmes qui lui sont proposées, qui mêlent allègrement des prêtres taoïstes, une troupe de théâtre, une veuve, un poète. et quelques fantômes surgis d'un passé sanglant. un monastère aux moines peu recommandables est également le siège de la principale énigme du squelette sous cloche.
pour retrouver le grand air, on n'hésitera pas à passer quelques jours au bord de l'eau dans l'île du paradis, ses maisons de jeux et de joie, sa pègre et ses courtisanes, où se trame l'enquête du pavillon rouge. si vous souhaitez, par ailleurs, comprendre pourquoi un gibbon se trouve remettre au juge ti une précieuse émeraude, l'une des merveilleuses nouvelles du présent volume vous proposera des éléments de réponse relativement rationnels.
Au mitan du VIIe siècle, depuis les montagnes frontalières de la Mongolie jusqu'à la mer de Chine orientale, entre parties de mah-jong et tasses de thé fumant, le vénérable juge Ti officie d'une main ferme mais juste.
Dans l'affaire du Meurtre sur un bateau-de-fleurs, le perspicace magistrat relie la mort d'une courtisane à un trafic d'armes portant la marque malfaisante du Lotus Blanc. Lors du scandale d'Assassins et poètes, il prend la défense d'une innocente poétesse et élucide les meurtres d'un étudiant et d'une danseuse. Le mystère du Fantôme du temple met à l'épreuve le sang-froid du juge, confronté à un corps sans tête, au vol de lingots appartenant au trésorier impérial et à un sanglant message dans un coffret d'ébène.
Aucune énigme ne résiste au juge Ti, le Sherlock Holmes de la dynastie T'ang, en trois enquêtes emblématiques réunies ici et augmentées d'une préface inédite de la rédaction d'Historia.
Traduit de l'anglais par Roger Guerbet et Anne Krief.
Ce qui rend les romans de robert van gulik si passionnants, c'est le soin qu'il apporte à planter le décor de ses aventures et à brosser le portrait de tous les seconds rôles, qu'ils soient brigands, prostituées, assassins ou honnêtes gens, amoureux transis, propriétaires floués.
Car défenseur de la veuve et de l'orphelin, le juge ti est d'une incroyable popularité. héros positif dans la plus pure tradition du roman policier (et pas seulement chinois), il nous entraîne à bride abattue dans des histoires pleines de rebondissements et nous fait côtoyer les fantômes et autres phénomènes sur naturels couramment observés dans la chine des t'ang.
« Le juge Ti, c'est moi », aurait dit Van Gulik. Dans ce roman écrit en 1964 et qui se déroule à Amsterdam, il nous invite à rencontrer une autre facette de son personnage, à travers la personnalité de son héros Johann Hendricks, un ancien fonctionnaire colonial hollandais rapatrié après la Seconde Guerre mondiale. C'est un roman étrange, à mi-chemin entre Chase et Simenon, où l'on peut humer le parfum du gin hollandais, du tabac et de la sciure, et dont le héros remporte, après bien des péripéties, d'étonnantes batailles psychologiques et mystiques. À la façon du juge Ti, en quelque sorte. C'est le regard d'adieu, le dernier cadeau de Van Gulik l'enchanteur.
Sous la glorieuse dynastie des T'ang, le secrétaire Ti Jen-tsie, las du train-train quotidien des fonctionnaires impériaux, délaisse la bureaucratie de la capitale pour gagner son premier poste de magistrat à Peng-lai, un port de la côte orientale. Poussé par un goût certain pour l'aventure, le juge va être servi. Non seulement ce petit district a la réputation d'être hanté, mais son prédécesseur vient d'y être assassiné. Ne dit-on pas que le fantôme du magistrat défunt erre dans le tribunal et qu'un homme-tigre égorge de malheureuses victimes ? Trafic d'or sous les T'ang marque les débuts du célèbre juge et sa rencontre avec ses deux fidèles lieutenants. Une trentaine d'années, armé de son sens de la déduction et de sa rigueur confucéenne, la légende du juge Ti est en marche.
« «Dieu que ce vieil imbécile est lourd ! » murmura la jeune femme en laissant retomber la tête sanglante sur les dalles de marbre. Comment, après un tel début, résister à l'envie d'en savoir davantage ? Dans la lignée des grands classiques chinois des XVIIe et XVIIIe siècles, avec pour nous, Occidentaux, l'exotisme en prime, Van Gulik entraîne son lecteur dans un monde dont il dépeint avec précision et poésie le décor et les moeurs : les jeunes femmes s'appellent Corail et Blanc-Bleu, les sabres répondent au doux nom de Dragon de Pluie, les canards mandarins symbolisent la fidélité en amour, et l'on croise parfois, l'air de rien, des fantômes. Non sans humour, le juge Ti y consacre le triomphe de la justice et de la sagesse. »
M.P. Les Échos week-end
Ce troisième des quatre volumes des Aventures du juge Ti contient : La Perle de l'Empereur (roman), Le Collier de la princesse (roman), Assassins et poètes (roman), et Le Mystère du labyrinthe (roman). Avec 45 illustrations de l'auteur
la dernière décennie d'activité professionnelle du juge ti, entre les provinces de lan-fang et de peitcheou, n'est pas la moins fertile, loin s'en faut.
elle parachève la grande fresque romanesque de robert van gulik, tissant ou dénouant les destins de personnages que nous suivions, pour certains, depuis les premières enquêtes - tandis que, prenant de l'âge, mais gagnant toujours en expérience autant qu'en efficacité, le juge se verra bientôt offrir une fin de carrière au plus haut des dignités impériales. que vous souhaitiez philosopher au palais avec maître calebasse, goûter le canard fumé ou les pieds de cochon au vinaigre, faire connaissance avec les hôtesses du boudoir de saphir ou découvrir la délicieuse danse des deux hirondelles de printemps, dénouer les intrigues les plus retorses et démasquer les criminel(le)s les plus inattendu(e)s, ce dernier volume tiendra une fois encore toutes ses promesses, avec sa profusion d'éléments surgis de toutes parts, mais agencés avec la plus extraordinaire économie de moyens et un sens de l'épure inspirés des meilleurs calligraphes.
une sorte d'apothéose en forme de feux d'artifice. chinois, forcément chinois. ce quatrième et dernier volume des aventures du juge ti contient, dans l'ordre : le fantôme du temple (roman), les cercueils de l'empereur (nouvelle), meurtre au nouvel an (nouvelle), l'enigme du clou chinois (roman), la nuit du tigre (nouvelle), le motif du saule (roman) et meurtre à canton (roman).
" une intrigue impeccablement ficelée, assaisonnée de tous les condiments que requiert le genre - sang, sexe et mystère ;
Mais la scène est située dans la chine des tang, et les historiens les plus exigeants n'ont pas fini de s'extasier devant la vérité des décors, des situations et des personnages.
" c'est ainsi que simon leys nous recommande la lecture des romans policiers de robert van gulik que 10/18 réédite en ce moment.
<b>Retrouvez toutes les affaires dbrouilles par le juge Ti chez 12-21, l'diteur numrique !</b> Durant le rgne des T'ang, au VIIe de notre re, le clbre juge Ti Jen-tsie prend ses fonctions dans le district de Pei-tcheou, la frontire nord de l'Empire Fleuri. Dans cette plaine inhospitalire battue par les vents et peuple de Tartares qui pratiquent la sorcellerie, le clbre magistrat n'aura gure le temps de se reposer. peine install, il doit enquter sur trois affaires criminelles la fois ! Deux marchands accusent leur beau-frre d'avoir assassin sa femme, un cadavre dcapit est dcouvert et Ti devra faire face la terrible Madame Lo, une adversaire sa mesure... Dans cette atmosphre de violence et de mystre o s'invite le surnaturel, le magistrat, aid de ses trois lieutenants, est l'afft du moindre indice et dploie tout son talent... Traduit de l'anglais par Anne Dechanet, Roger Guerbet et Jos Simons "Grands dtectives" cr par Jean-Claude Zylberstein
Le Juge Ti vient d'être nommé magistrat du district de Lan-Fang, une ville située aux confins nord-ouest de l'Empire. Après avoir rétabli l'autorité du gouvernement impérial, il doit découvrir comment un général à la retraite a pu être assassiné dans sa bibliothèque fermée de l'intérieur et retrouver une jeune fille disparue. Mais l'énigme la plus difficile à résoudre est celle de l'héritage du défunt gouverneur Yu Cheou-tsien, qui fut l'idole du juge Ti du temps qu'il était encore étudiant : le labyrinthe qu'il a fait construire dans les environs de la ville et qui recèle bien des secrets.
Quand un sinologue réputé se met à inventer un juge détective dans la chine pas encore millénaire des mandarins cela donne un " policier " fourmillant de détails et de notations exactes qui vous dépaysent bien plus qu'une longue dissertation.
Et le juge ti, géant débonnaire et sage, grand amateur de dominos, résout aussi bien qu'un rouletabille le mystère des pavillons clos et des forêts hantées.