Il est bien dangereux pour un petit d'homme d'être perdu dans la grande et mystérieuse forêt indienne. Comment Mowgli aurait-il échappé à tous les dangers de la jungle, aux singes ennemis et au tigre Shere Khan, sans l'amour de Mère Louve, sans les ruses de la panthère Bagheera, sans la force et l'amitié de l'ours Baloo et sans l'aide de Kaa, le python ?
Il était une fois un rhinocéros qui n'avait pas de manières... Et, depuis, les rhinocéros ont la peau plissée ! Il était une fois un enfant d'éléphant trop curieux qui voulait savoir ce que mangeaient les crocodiles... Et, depuis, les éléphants ont une trompe ! Il était une fois un léopard qui n'arrivait plus à chasser... Et, depuis, les léopards ont des taches ! Savez-vous à quoi ressemblait le monde au commencement des temps oe
S'il fallait choisir un livre qui résume toute l'oeuvre de Kipling, son chef-d'oeuvre, ce serait celui-là. Le prix Nobel anglais, dont la stature littéraire a été immense, puis, après l'éclipse liée à la décolonisation, de nouveau importante, y a résumé une expérience, une double culture, un amour. L'expérience nourrie par son enfance en Inde, la double culture anglo-indienne, l'amour de l'enfance sont portés par l'art du récit : roman d'espuonnage, roman de formation, roman picaresque. Les figures du grand chemin, l'éducation de Kim grâce à son mentor, le lama, la présence, à l'horizon, des officiers britanniques, qui confieront à Kim une mission avant de l'enrôler définitivement, animent ce livre, qui est bien un roman d'aventures, le seul que l'on puisse opposer à Conrad.
L'enfance, la philosophie, l'Inde, le romanesque, dans un style sensible, pittoresque, plein d'humour et de poésie.
Kipling reste un conteur merveilleux, qui met en scène les mondes les plus divers : la société anglo-indienne de Simla, ses clubs fermés et ses intrigues ; l'armée anglaise et ses hommes de troupe à la prose truculente ; enfin le monde des indigènes. Il y a chez Kipling une soif de réalisme et l'attirance pour les phénomènes étranges et surnaturels ; et aussi un mélange étonnant de brutalité et de tendresse. Il se plaît à décrire les actes les plus violents et les histoires d'amour les plus touchantes. Il lève le voile sur «une grande partie de la véritable vie de l'Inde». Un univers d'action qui n'exclut pas la compassion pour les humbles et les déshérités. L'univers de Kipling est riche d'allusions historiques, géographiques. Sa langue est difficile, volontiers elliptique, argotique, émaillée de vocables indigènes. Une introduction à l'homme et à l'oeuvre, une chronologie, des notices à chacun des textes, un répertoire du vocabulaire et des noms de lieux, des cartes de l'Inde permettent d'appréhender cette oeuvre fascinante qui n'a que l'apparence de la simplicité.
Kipling reste un conteur merveilleux, qui met en scène les mondes les plus divers : la société anglo-indienne de Simla, ses clubs fermés et ses intrigues ; l'armée anglaise et ses hommes de troupe à la prose truculente ; enfin le monde des indigènes. Il y a chez Kipling une soif de réalisme et l'attirance pour les phénomènes étranges et surnaturels ; et aussi un mélange étonnant de brutalité et de tendresse. Il se plaît à décrire les actes les plus violents et les histoires d'amour les plus touchantes. Il lève le voile sur «une grande partie de la véritable vie de l'Inde». Un univers d'action qui n'exclut pas la compassion pour les humbles et les déshérités.L'univers de Kipling est riche d'allusions historiques, géographiques. Sa langue est difficile, volontiers elliptique, argotique, émaillée de vocables indigènes. Une introduction à l'homme et à l'oeuvre, une chronologie, des notices à chacun des textes, un répertoire du vocabulaire et des noms de lieux, des cartes de l'Inde permettent d'appréhender cette oeuvre fascinante qui n'a que l'apparence de la simplicité.
Kipling reste un conteur merveilleux, qui met en scène les mondes les plus divers : la société anglo-indienne de Simla, ses clubs fermés et ses intrigues ; l'armée anglaise et ses hommes de troupe à la prose truculente ; enfin le monde des indigènes. Il y a chez Kipling une soif de réalisme et l'attirance pour les phénomènes étranges et surnaturels ; et aussi un mélange étonnant de brutalité et de tendresse. Il se plaît à décrire les actes les plus violents et les histoires d'amour les plus touchantes. Il lève le voile sur «une grande partie de la véritable vie de l'Inde». Un univers d'action qui n'exclut pas la compassion pour les humbles et les déshérités.
L'univers de Kipling est riche d'allusions historiques, géographiques. Sa langue est difficile, volontiers elliptique, argotique, émaillée de vocables indigènes. Une introduction à l'homme et à l'oeuvre, une chronologie, des notices à chacun des textes, un répertoire du vocabulaire et des noms de lieux, des cartes de l'Inde permettent d'appréhender cette oeuvre fascinante qui n'a que l'apparence de la simplicité.
Kipling reste un conteur merveilleux, qui met en scène les mondes les plus divers : la société anglo-indienne de Simla, ses clubs fermés et ses intrigues ; l'armée anglaise et ses hommes de troupe à la prose truculente ; enfin le monde des indigènes. Il y a chez Kipling une soif de réalisme et l'attirance pour les phénomènes étranges et surnaturels ; et aussi un mélange étonnant de brutalité et de tendresse. Il se plaît à décrire les actes les plus violents et les histoires d'amour les plus touchantes. Il lève le voile sur «une grande partie de la véritable vie de l'Inde». Un univers d'action qui n'exclut pas la compassion pour les humbles et les déshérités.
L'univers de Kipling est riche d'allusions historiques, géographiques. Sa langue est difficile, volontiers elliptique, argotique, émaillée de vocables indigènes. Une introduction à l'homme et à l'oeuvre, une chronologie, des notices à chacun des textes, un répertoire du vocabulaire et des noms de lieux, des cartes de l'Inde permettent d'appréhender cette oeuvre fascinante qui n'a que l'apparence de la simplicité.
Dans La lumière qui s'éteint, le lecteur trouve matière à émotions fortes:l'amour, la guerre, la mort y sont évoqués sur un fond d'exotisme qui plaît aux amateurs de romans d'aventures. L'imaginaire et le réel y sont habilement mêlés. Le texte a le parfum de l'expérience vécue tout en faisant la part belle aux espérances irréalisées et peut-être irréalisables. Et surtout, au terme d'une existence agitée qui connaît les sommets de la gloire et les abîmes du désespoir, la mort triomphe, qui seule peut apaiser les souffrances du héros, Dick Heldar. Délaissant le monde indien, Kipling situe son action en Angleterre et au Soudan et, de plus, il s'y met en scène. L'affection particulière qu'il garda toujours pour ce roman dit clairement qu'il y mit beaucoup de lui-même.
Si tu peux être en paix alors qu'autour de toi Tous ont perdu la tête et t'en jettent le blâme, Si tu peux t'affirmer quand tous doutent de toi Mais comprendre leur doute au tréfonds de ton âme, Si tu peux patienter sans que pèse l'attente Ou subir le mensonge et ne jamais mentir, Ou supporter la haine et ne jamais haïr, Sans paraître trop bon, sans paroles savantes......
Et, plus que tout, tu seras un homme mon fils !
Le célèbre poème de Rudyard Kipling magnifiquement illustré par nos plus grands illustrateurs, en hommage à Pierre Marchand (disparu le 4 avril 2002), fondateur de Gallimard Jeunesse.
Cette pièce de théâtre est une oeuvre inédite, écrite il y a plus d'un siècle par Rudyard Kipling. Aujourd'hui, en exclusivité, découvrez cette pièce inconnue et rejoignez les premiers pas scéniques de Mowgli, jeune premier déchiré entre ses deux familles, les animaux et les hommes.
At the Pit's Mouth Once upon a time there was a Man and his Wife and a Tertium Quid. AII three were unwise, but the Wife was the unwisest. The Man should have looked after his Wife, who should have avoided the Tertium Quid, who, again, should have married a wife of his orwn, after clean and open flirtations, to which nobody can possibly object, round Jakko or Observatory Hill. When you see a young man with his pony in a white lather and his hat on the back of his head, flying downhill at fifteen miles an hour to meet a girl who will be properly surprised to meet him, you naturally approve of that young man, and wish him Staff appointments, and take an interest in his welfare, and, as the proper time comes, give them sugar-tongs or side-saddles according to your means and generosity. [...]Au bord de la fosse «Il était une fois un Homme, sa Femme et un Troisième Larron. Tous trois manquaient de sagesse, mais c'est l'épouse qui en manquait le plus. L'Homme aurait dû veiller sur sa femme, qui aurait dû éviter le Troisième Larron, qui, de son côté, aurait dû se trouver une épouse pour son propre compte, après quelques flirts honnêtes et publics, que personne ne puisse blâmer, dans les environs de Jakko ou d'Observatory Hill. Quand on voir un jeune homme sur un poney blanc d'écume, le chapeau rejeté sur l'arrière de la tête, dévaler une pente à quinze milles à l'heure pour aller à la rencontre d'une jeune fille qui sera convenablement surprise de le rencontrer, on considère naturellement ce jeune homme d'un oeil approbateur, on lui souhaite d'être nommé au quartier général, on s'intéresse à son bien-être et, le moment venu, on leur offre à tous deux des pinces à sucre ou des selles d'amazone, selon ses moyens et sa générosité.» [...]
En 1878, à l'âge de treize ans, Kipling entre comme interne dans un collège privé du Devonshire, le United Services College, où il passera quatre années et demi. En 1895, il aura l'idée de rédiger «de petits traités ou paraboles sur l'éducation des jeunes». Ce projet se transformera en une suite de récits, Stalky et Cie, où Kipling fait revivre les canulars et les aventures vécus au collège quinze ans plus tôt en compagnie de ses deux meilleurs amis, le trio étant désigné sous les pseudonymes de Beetle, M'Turk et Stalky, le meneur. Les trois récits ici rassemblés, qui témoignent des talents de conteur de Kipling, de son sens de l'humour et de son art des portraits, constituent autant de savoureux tableaux de la vie de collège anglais.
Un couple de loups découvre un Petit d'Homme errant dans la forêt. Mowgli:ainsi va l'appeler Mère Louve qui l'adopte, refusant de le livrer à Shere Kahn, le tigre boîteux. Furieux, celui-ci vient exiger son dû au Conseil du Clan. Heureusement, l'ours Baloo et la panthère Bagheera interviennent en sa faveur. Mowgli va grandir sous leur protection. Mais Shere Kahn rôde dans l'ombre.