«Quoique les mâchoires de Père Loup se fussent refermées complètement sur le dos de l'enfant, pas une dent n'égratigna la peau lorsqu'il le déposa au milieu de ses petits. - Qu'il est mignon ! Qu'il est nu !... Et qu'il est brave ! dit avec douceur Mère Louve. Le bébé se poussait, entre les petits, contre la chaleur du flanc tiède. - Ah ! Ah ! Il prend son repas avec les autres... Ainsi c'est un petit d'homme. A-t-il jamais existé une louve qui pût se vanter d'un petit d'homme parmi ses enfants ?»
Il était une fois un rhinocéros qui n'avait pas de manières... Et, depuis, les rhinocéros ont la peau plissée ! Il était une fois un enfant d'éléphant trop curieux qui voulait savoir ce que mangeaient les crocodiles... Et, depuis, les éléphants ont une trompe ! Il était une fois un léopard qui n'arrivait plus à chasser... Et, depuis, les léopards ont des taches ! Savez-vous à quoi ressemblait le monde au commencement des temps oe
Dans ce recueil nous avons souhaité réunir, à côté de la sublime et très drôle nouvelle La plus belle histoire du monde, quelques textes témoignant du génie comique et insolent du grand Kipling, paradoxalement trop méconnu des Français. Utilisant le registre du fantastique, il se penche notamment sur les ressorts de l'inspiration littéraire qui trouve souvent ses sources dans les détails les plus prosaïques que l'artiste seul peut transcender : il faut parfois un ensemble de coïncidences et de contingences pour que naisse une oeuvre d'art. Et le recours au merveilleux est parfois nécessaire si l'on veut toucher au sublime. C'est le sens de la première longue nouvelle qui ouvre le livre, un chef-d'oeuvre qui mêle étrangeté, humour et réflexion sur la création, un miracle littéraire en somme.
Le texte bouleversant d'un père à son enfant, considéré comme l'un des poèmes les plus célèbres de la littérature, et suivi des lettres que Rudyard Kipling écrivit à son fils, John, pendant la guerre.
Voici un des poèmes les plus célèbres de la littérature, que Rudyard Kipling dédia à son fils adolescent John, pour lui donner le goût de la liberté et lui transmettre le sens de l'honneur, la droiture, l'autonomie.
Le poème est suivi des lettres que le père et le fils s'échangèrent quand John était sur le front en 1915.
Une lecture d'une portée universelle, précieux témoignage de l'amour parental.
Rudyard Kipling est un jeune et brillant journaliste lorsqu'il écrit en 1888 les Lettres du Japon.
Le pays l'enchante : beauté des paysages, raffinement de l'art, grâce et gaieté des habitants.
Mais la sympathie évidente qu'il ressent pour cette contrée ne retire rien à son humour, qui éclate en un jaillissement ininterrompu d'observations amusées et de plaisantes anecdotes.
Par leur richesse, ces lettres constituent un témoignage précieux sur la vie japonaise au début du siècle, dont Kipling a gardé des impressions inoubliables.
En même temps, c'est l'oeuvre d'un grand écrivain, d'un conteur au talent et à la verve sans égal.
Il fouilla dans l'épaisseur des loques qui entouraient sa taille tordue, retira un sac de crin noir bordé de fil d'argent, et en secoua sur la table la tête desséchée et flétrie de daniel davrot ! le soleil matinal, car depuis longtemps les lampes avaient pâli, frappa la barbe rouge, les yeux aveugles dans les orbites creuses, de même que le lourd cercle d'or incrusté de turquoises brutes que carnehan plaça tendrement sur les tempes blêmies.
- vous contemplez maintenant l'empereur en son appareil ordinaire, comme il vivait - le roi du kafiristan avec la couronne en tête.
Pauvre vieux daniel qui fut monarque une fois !
Dans ces lettres à ses enfants, émaillées de dessins humoristiques, constellées de jeux de mots, Rudyard Kipling déborde d'amour et d'humour. Dans la plus pure tradition du nonsense anglais, avec un formidable sens de l'exagération et du grotesque, il manie l'absurde et croque avec une délicieuse férocité amis et membres de la famille.
Dans ces lettres à ses enfants, Rudyard Kipling déborde d'amour et d'humour. Émaillées de dessins humoristiques, constellées de jeux de mots, elles mélangent les menus faits du quotidien et les événements officiels les plus importants (dont la remise de son prix Nobel) avec un formidable sens de l'exagération et du grotesque. Dans la plus pure tradition du nonsense anglais, il manie l'absurde et croque avec une délicieuse férocité amis et membres de la famille. Mais ces lettres à l'inventivité affectueuse et joyeuse pourraient n'avoir qu'un intérêt anecdotique, si on ne les savait encadrées par deux drames : la perte prématurée de deux de ses trois enfants.
S'il fallait choisir un livre qui résume toute l'oeuvre de Kipling, son chef-d'oeuvre, ce serait celui-là. Le prix Nobel anglais, dont la stature littéraire a été immense, puis, après l'éclipse liée à la décolonisation, de nouveau importante, y a résumé une expérience, une double culture, un amour. L'expérience nourrie par son enfance en Inde, la double culture anglo-indienne, l'amour de l'enfance sont portés par l'art du récit:roman d'espionnage, roman de formation, roman picaresque. Les figures du grand chemin, l'éducation de Kim grâce à son mentor, le lama, la présence, à l'horizon, des officiers britanniques, qui confieront à Kim une mission avant de l'enrôler définitivement, animent ce livre, qui est bien un roman d'aventures, le seul que l'on puisse opposer à Conrad.L'enfance, la philosophie, l'Inde, le romanesque, dans un style sensible, pittoresque, plein d'humour et de poésie.
Les Indes britanniques sont un monde où la pitié n'est pas de mise. On y croise de séduisants chasseurs de papillon, des Vénus improbables, de faux fakirs, de vrais escrocs, de jeunes militaires anglais naïfs, de vieux soldats bagarreurs, des fonctionnaires trop zélés, des érudits rongés par l'alcoolisme... Avec un goût très prononcé pour les plus fines caricatures et un sens de l'observation jamais pris en défaut, Kipling fait revivre, dans ces quarante nouvelles que Borges qualifiait de "laconiques chefs-d'oeuvre", tout le continent qui lui a offert ses plus heureuses années de jeunesse.
Simples contes des collines est le premier recueil publié par leur auteur, futur Prix Nobel, à l'âge de vingt-deux ans.
Rudyard Kipling parvient à restituer l'atmosphère et les paysages de l'Inde qu'il connaît dans ses moindres recoins, ses particularités sociales comme ses mystères.
«Dans la jungle», nouvelle parue initialement dans le recueil «Many Inventions», voit la première apparition du personnage le plus célèbre de Rudyard Kipling : Mowgli. Un Mowgli non pas enfant, mais adulte, qui a grandi dans la jungle. C'est à partir de cette nouvelle que Kipling entreprendra de raconter l'enfance de Mowgli, à travers le chef-d'oeuvre qui fera sa gloire. Mais «Dans la jungle» montre aussi la confrontation entre le réel le plus prosaïque qu'incarnent l'Office des forêts et Gisborne, et le monde à la fois naturel et surnaturel de la jungle et de Mowgli. Une fois encore, Kipling déploie tous ses talents de conteur dans le décor d'une Inde complexe et mystérieuse.
On dit souvent de son animal domestique qu'il ne lui manque que la parole. Avec «Paroles de chien», Kipling a enfin réparé cette injustice ! Publié initialement en 1930, ce récit est raconté à la première personne par Botte, un aberdeen terrier comme celui que possédait Kipling. Avec une pointe d'ironie innocente, Kipling nous permet de voir le monde à travers les yeux de notre plus fidèle compagnon.
«- Regardez-moi.Ils le regardèrent avec malaise ; puis, comme leurs yeux fuyaient les siens, il les provoqua de la voix, les rappelant et les rappelant encore, jusqu'à ce que sur leur corps tout leur poil se hérissât et qu'ils tremblassent de tous leurs membres, tandis qu'il les fixait de plus en plus tenacement : - Maintenant, dit-il, de nous cinq, qui est le chef ?- Tu es le chef, Petit Frère, dit Frère Gris.Et il lécha le pied de Mowgli.»
Kipling reste un conteur merveilleux, qui met en scène les mondes les plus divers : la société anglo-indienne de Simla, ses clubs fermés et ses intrigues ; l'armée anglaise et ses hommes de troupe à la prose truculente ; enfin le monde des indigènes. Il y a chez Kipling une soif de réalisme et l'attirance pour les phénomènes étranges et surnaturels ; et aussi un mélange étonnant de brutalité et de tendresse. Il se plaît à décrire les actes les plus violents et les histoires d'amour les plus touchantes. Il lève le voile sur «une grande partie de la véritable vie de l'Inde». Un univers d'action qui n'exclut pas la compassion pour les humbles et les déshérités. L'univers de Kipling est riche d'allusions historiques, géographiques. Sa langue est difficile, volontiers elliptique, argotique, émaillée de vocables indigènes. Une introduction à l'homme et à l'oeuvre, une chronologie, des notices à chacun des textes, un répertoire du vocabulaire et des noms de lieux, des cartes de l'Inde permettent d'appréhender cette oeuvre fascinante qui n'a que l'apparence de la simplicité.
Kipling reste un conteur merveilleux, qui met en scène les mondes les plus divers : la société anglo-indienne de Simla, ses clubs fermés et ses intrigues ; l'armée anglaise et ses hommes de troupe à la prose truculente ; enfin le monde des indigènes. Il y a chez Kipling une soif de réalisme et l'attirance pour les phénomènes étranges et surnaturels ; et aussi un mélange étonnant de brutalité et de tendresse. Il se plaît à décrire les actes les plus violents et les histoires d'amour les plus touchantes. Il lève le voile sur «une grande partie de la véritable vie de l'Inde». Un univers d'action qui n'exclut pas la compassion pour les humbles et les déshérités.L'univers de Kipling est riche d'allusions historiques, géographiques. Sa langue est difficile, volontiers elliptique, argotique, émaillée de vocables indigènes. Une introduction à l'homme et à l'oeuvre, une chronologie, des notices à chacun des textes, un répertoire du vocabulaire et des noms de lieux, des cartes de l'Inde permettent d'appréhender cette oeuvre fascinante qui n'a que l'apparence de la simplicité.
Pour avoir profané Hanuman, le Dieu-Singe, avec la cendre de sa cigarette, un colon anglais est frappé par un étrange sortilège qui le transforme en une bête hurlante. Seul un lépreux semble savoir comment le guérir...Bisesa, une jeune veuve indienne, donne à son amant anglais une preuve d'amour tout orientale.Jakin et Lew, deux enfants de troupe aussi drôles qu'héroïques, sonnent la charge au milieu de la débâcle générale et assurent ainsi une victoire inespérée à leur régiment.
Kipling reste un conteur merveilleux, qui met en scène les mondes les plus divers : la société anglo-indienne de Simla, ses clubs fermés et ses intrigues ; l'armée anglaise et ses hommes de troupe à la prose truculente ; enfin le monde des indigènes. Il y a chez Kipling une soif de réalisme et l'attirance pour les phénomènes étranges et surnaturels ; et aussi un mélange étonnant de brutalité et de tendresse. Il se plaît à décrire les actes les plus violents et les histoires d'amour les plus touchantes. Il lève le voile sur «une grande partie de la véritable vie de l'Inde». Un univers d'action qui n'exclut pas la compassion pour les humbles et les déshérités.
L'univers de Kipling est riche d'allusions historiques, géographiques. Sa langue est difficile, volontiers elliptique, argotique, émaillée de vocables indigènes. Une introduction à l'homme et à l'oeuvre, une chronologie, des notices à chacun des textes, un répertoire du vocabulaire et des noms de lieux, des cartes de l'Inde permettent d'appréhender cette oeuvre fascinante qui n'a que l'apparence de la simplicité.
«- Hum, dit l'homme au menton rasé, je ne peux pas dire que nous pensions rien de bien fameux d'un homme, ni même d'un jeune garçon, qui tombe par-dessus bord d'un paquebot comme celui-là par le calme plat, et encore moins s'il donne pour excuse qu'il avait le mal de mer. - Excuse ! s'écria Harvey. Croyez-vous que c'est pour plaisanter que je suis tombé par-dessus bord dans votre sale petit bachot ? - À votre place, je n'insulterais pas le bateau qui, la Providence aidant, a été l'instrument de votre salut. En premier lieu, c'est un sacrilège. En second lieu, cela me gêne dans mes sentiments.»
Kipling reste un conteur merveilleux, qui met en scène les mondes les plus divers : la société anglo-indienne de Simla, ses clubs fermés et ses intrigues ; l'armée anglaise et ses hommes de troupe à la prose truculente ; enfin le monde des indigènes. Il y a chez Kipling une soif de réalisme et l'attirance pour les phénomènes étranges et surnaturels ; et aussi un mélange étonnant de brutalité et de tendresse. Il se plaît à décrire les actes les plus violents et les histoires d'amour les plus touchantes. Il lève le voile sur «une grande partie de la véritable vie de l'Inde». Un univers d'action qui n'exclut pas la compassion pour les humbles et les déshérités.
L'univers de Kipling est riche d'allusions historiques, géographiques. Sa langue est difficile, volontiers elliptique, argotique, émaillée de vocables indigènes. Une introduction à l'homme et à l'oeuvre, une chronologie, des notices à chacun des textes, un répertoire du vocabulaire et des noms de lieux, des cartes de l'Inde permettent d'appréhender cette oeuvre fascinante qui n'a que l'apparence de la simplicité.
Au pied de l'Himalaya, la petite ville de Simla accueille les Anglais civils ou militaires qui fuient la chaleur de l'été indien. Parties de chasse et tournois de tir à l'arc, flirts et histoires d'amour, commérages et intrigues rythment les journées de cette petite société où tout le monde se connaît et où rien n'échappe à personne... Une chronique de l'Inde victorienne pleine de finesse et d'humour par l'auteur du Livre de la jungle.
Dans La lumière qui s'éteint, le lecteur trouve matière à émotions fortes:l'amour, la guerre, la mort y sont évoqués sur un fond d'exotisme qui plaît aux amateurs de romans d'aventures. L'imaginaire et le réel y sont habilement mêlés. Le texte a le parfum de l'expérience vécue tout en faisant la part belle aux espérances irréalisées et peut-être irréalisables. Et surtout, au terme d'une existence agitée qui connaît les sommets de la gloire et les abîmes du désespoir, la mort triomphe, qui seule peut apaiser les souffrances du héros, Dick Heldar. Délaissant le monde indien, Kipling situe son action en Angleterre et au Soudan et, de plus, il s'y met en scène. L'affection particulière qu'il garda toujours pour ce roman dit clairement qu'il y mit beaucoup de lui-même.
On raconte que les éléphants dansent certaines nuits. Mais personne n'a jamais réussi à les voir...
Petit Toomai fera le même métier que son père, Grand Toomai : il sera cornac. Nous sommes en Inde, au xix e siècle. Les cornacs sont ceux qui, avec leurs éléphants, capturent des éléphants sauvages afin de les domestiquer.
À la différence de son père, Petit Toomai ne souhaite pas passer sa vie au campement. Il rêve d'exploration et d'aventures. Suite au passage d'un grand chasseur dans le camp, Petersen Sahib, qui voit en Petit Toomai la promesse d'un grand destin, un nouveau rêve naît dans l'esprit du petit garçon. Petersen Sahib lui a promis de le prendre sous son aile, quand il aura vu les éléphants danser...
Ce qui semble être une blague se révélera l'expérience la plus fabuleuse vécue par Toomai. Entraîné au coeur de la nuit par son éléphant Kala Nag, il bravera les mystères de la forêt et assistera au légendaire bal des éléphants. Petit Toomai deviendra alors « Toomai des éléphants ».
On pouvait craindre, après les derniers écrits sur l'Inde (voir dans ce volume L'Histoire des Gadsby et Les Yeux de l'Asie), que Kipling n'avait plus rien d'original à dire. Puck, lutin de la colline et Retour de Puck montrent qu'il n'a rien perdu de l'art de surprendre et d'émerveiller... Le lutin Puck, par un soir d'été baignant la campagne anglaise, ressuscite toute l'épopée antique traversée par les Celtes, les légions romaines, les Saxons, les Normands. Une succession d'exploits, prodiges et miracles vus avec la fraîcheur des deux enfants que Puck fait voyager dans le temps. Une fraîcheur qu'on retrouve dans les souvenirs de collège de l'auteur, Stalky et Cie, et dans les deux recueils d'histoires de bêtes : Histoires comme ça et Ce chien, ton serviteur. Mais Kipling manie aussi magistralement la douleur, l'émotion dans La Lumière qui s'éteint et dans les textes (souvenirs, poèmes, reportages, discours) qui retracent sa longue histoire d'amour avec la France.
Francis Lacassin.
Ce volume contient : Puck, lutin de la colline - Retour de Puck - La Lumière qui s'éteint - Histoires comme ça - Ce chien, ton serviteur - Stalky et Cie - L'Histoire des Gadsby - Les Yeux de l'Asie - Histoires des mers violettes - Souvenirs. Un peu de moi-même pour mes amis connus et inconnus.
Célèbre pour ses écrits de fiction, Rudyard Kipling, prix Nobel de littérature 1907, fut aussi le héros-narrateur d'un grand nombre de reportages et sûrement le plus excentrique écrivain-voyageur de son temps. Ce volume, composé de plusieurs recueils de reportages et de chroniques destinés aux deux publications indiennes auxquelles il collabora entre 1882 et 1889, révèle une part méconnue de son oeuvre à laquelle il se consacra dès sa jeunesse.
Les Lettres de marque racontent un voyage au Rajputana en 1887. Kipling y déploie sa verve inimitable, celle que connaissent et apprécient les lecteurs des Simples contes des collines, avec, en supplément, une touche de réalisme souvent très cru. Les Lettres du Japon sont issues d'une exploration quasi ethnologique de l'envoyé spécial du Pioneer au pays du Soleil-Levant, lors du long périple qui le ramène en Angleterre à l'automne 1889. Kipling fera aussi étape en Amérique. Dans la série de chroniques baptisées Lettres aux Américains, il rivalise d'impertinence avec le Dickens des Notes américaines, composées un demi-siècle auparavant. Enfin, le recueil publié en France en 1922 sous le titre Lettres de voyage rassemble trois « dossiers » où se mêlent les impressions de l'écrivain relatives aux différents pays qu'il a traversés depuis son départ de l'Inde et au voyage aussi politique que touristique qu'il a effectué avec son épouse en 1913 sous le soleil d'Égypte.
C'est un Kipling affranchi des idées reçues sur le colonialisme qui s'exprime dans ces textes, démentant ainsi la légende du « chantre de l'impérialisme britannique ». Si « l'Est et l'Ouest ne se rencontreront jamais », l'un et l'autre ont pourtant beaucoup à se dire.