L'auteur de ces magnifiques contes apporte sa contribution afin de nous reconnecter à la vie réelle et attirer notre attention sur les dangers de notre société.
Nous avons souvent besoin de l'avis d'une tierce personne pour mieux orienter nos décisions et notre destinée, d'une manière ou d'une autre.
C'est en 1983 que l'évangéliste Guy Milon devient chrétien, après avoir été malade pendant plusieurs années et avoir été sous l'emprise de différentes drogues et de l'alcool. Lors d'une prédication de l'Évangile suivie d'une imposition des mains sur les malades, il guérit instantanément, se retrouvant délivré de tous ses maux physiques et psychologiques. Dès ce moment, sa vie va changer ; l'appel de Dieu va le conduire à aller prêcher la bonne nouvelle à travers le monde. Son oeuvre est caractérisée par le salut des âmes, des guérisons miraculeuses et la délivrance des esprits maléfiques. Fondateur de l'Association Missionnaire et Humanitaire (AMH), qui apporte l'aide humanitaire et spirituelle à ceux qui sont dans le besoin, il nous livre dans ce livre-témoignage ses 30 années d'expérience au service de ses contemporains. Ce parcours édifiant peut vous permettre de trouver la solution à vos difficultés.
Matias aime fabriquer ses propres formules et ses potions magiques dans son atelier de chimie. Pimperelle est une petite fille très curieuse. Les deux jeunes enfants font connaissance. Par la suite, ils sont transportés dans un tourbillon de couleur et projetés dans différents mondes aussi magiques que terrifiants. Les enfants doivent faire attention pour ne pas être dévorés tout cru dans ce conte où se mêlent fée et sorcière, dinosaure et licorne. Cette histoire est adaptée à tous les enfants, y compris aux plus petits par le biais des illustrations et leur permet de travailler leur imaginaire.
Esso effectue un retour dans le temps, à Pagala, un petit hameau entouré de collines de toutes parts. Enfant, il y avait appris que le bonheur n'est rien d'autre que la somme des petites joies éparses qui, prises séparément, ne signifieraient rien. Verra-t-il le même village où la parenté commence par le voisinage, où l'univers et les humains semblent se parler et où le bonheur se frôle ? Les vieux murs pentus racontent-ils toujours des histoires et des amours, des jubilations et des peines, des rires et des larmes à profusion ? L'ombre des beaux jours est un récit au ton poétique qui fait rêver d'un ailleurs et fait entrer dans un monde empli de belles singularités.
L'amour et la haine sont condamnés à se rencontrer, et ce n'est pas la passion de quelques jeunes Rwandais qui en sera épargnée. Vivre avec la peur du futur pousse ces coeurs à prendre des décisions qui les mèneront de catastrophe en catastrophe, et de déshonneur en disgrâce.
L'ouvrage que vient de publier Maha Lee Cassy est un cri du coeur pour son pays natal qui va mal.
Loundam, qui ne veut pas sortir le soir d'Halloween pour récolter des friandises avec ses amis, le fera quand même pour ses parents, qui trouvent qu'il a grandi trop vite.
« Une guerre civile sévit dans un pays d'Afrique. Ses massacres sont relatés par trois voix différentes : un témoin rescapé, une radio locale et une radio internationale, éloignée du lieu du conflit. La charge émotionnelle qui accompagne ces récits n'est donc évidemment pas de même nature selon la source, même si le son des kalaches et l'odeur de la mort empestent tous les discours. Aux propos chaotiques et saisis sur le vif du témoin direct du massacre, qui peut reconnaître dans les victimes une femme qu'il a pu désirer, une voisine ou un camarade d'enfance, s'oppose le récit structuré, factuel de la radio internationale soucieuse d'informations, certes, mais également de tas d'autres contingences qui brident son implication. Mais bien que la radio locale, rebaptisée radio-trottoir, cherche à maintenir la distance qui lui permet de faire son travail, son studio n'échappe pas aux balles. » Gilles Boulan