Scientifique, humaniste, ardent défenseur de la nature, il a été et est resté jusqu'à sa mort l'arpenteur des déserts et l'une des figures emblématiques de la sagesse d'aujourd'hui. Le désert représente le lieu de vie de Théodore Monod comme l'océan celui de Florence Arthaud. Il y mène des explorations durant 76 ans. Lorsqu'il débarque sur les côtes de Mauritanie en 1922, le jeune Théodore n'a que 20 ans.
Très vite, il pressent que ce désert sera sa vocation. Devenu méhariste confirmé, il participe à de grandes missions et multiplie les reconnaissances. Du Hoggar au Soudan, de l'Adrar mauritanien aux montagnes du Tibesti en passant par le Tanezrouft, il sillonne le désert en tous sens, récoltant des milliers d'échantillons, de plantes, d'insectes ou de roches, relevant d'innombrables gravures rupestres et établissant la topologie de multiples régions encore inconnues.
La vie de Théodore Monod est hors du commun, vouée à la science, à l'exploration et à la défense de la nature. Il s'agit d'une icône incontestable de notre temps.
Sous la forme d'un abécédaire, la navigatrice livre ses émotions face à l'immensité et à la beauté de l'océan, elle raconte la vie à bord d'un bateau comme une métaphore de l'existence. Ses confidences sont émaillées d'anecdotes, de souvenirs, de chansons et de dictons recueillis au fil de ses voyages.
Les années 80 sont mythiques ! Elles sont si proches et cependant elles dégagent une nostalgie sans précédent. Partout en France, un public passionné se délecte en écoutant les tubes qui en ont fait la gloire. Caroline Loeb les a vécues, elle a fait l'ouverture des Bains Douches où se pressaient Philippe Stark et Philippe Léotard, elle a vécu la fermeture du Palace et la fête vénitienne de Karl Lagerfeld.
Elle a regardé "La croisière s'amuse" et "Dallas", les lendemains de fête, elle a écouté les albums de Gainsbourg et de Baschung en boucle, croisé Madonna à New-York et tremblé pour le jeune homme, main tendue devant les chars de Tian'anmen. Elle s'est pâmée au défilé Haute couture de Christian Lacroix et Jean-Paul Gauthier. Elle a flashé sur Valerie Lemercier à ses débuts dans "Palace", la série Jean-Michel Ribes.
Les années 80, c'est La boum, Benny Hill, les Nuls, c'est aussi France Gall et Jane Birkin... Jean-louis Foulquier, Coluche.... s'achèvent avec la chute du mur de Berlin, qui marque, on s'en souvient, les débuts d'une formidable espérance d'un côté et de l'autre... l'amorce d'une crise sans précédent.
Le génie était d'hier, il est aussi d'aujourd'hui. Le grand photographe LOUIS MONIER suit depuis cinquante ans à la trace les plus grands créateurs de notre époque. lui qu'on surnomme le "Pickpocket" de l'âme n'a jamais cessé de saisir les expressions des plus grands artistes et créateurs de notre époque. Il est riche d'un patrimoine d'un million de négatifs attrapant au vol les plus grandes figures de nos cinquante dernières années.
Ce livre nous raconte les plus grands créateurs de notre temps, les grands évènements culturels qui émaillent le demi-siècle et dont ils sont les acteurs principaux, les lieux qu'ils ont aimés, qui les ont inspirés. En 50 ans, Louis Monier a réalisé des portraits uniques de ces personnages qui font la vraie gloire de notre temps : Samuel Beckett, Louis Aragon, André Malraux, Marguerite Yourcenar, Nina Berberova, Romain Gary, Marguerite Duras, Dino Buzatti, Michel Tournier, Robert Pinget, Louis Calaferte...Le portrait mythique des trois Roumains : Cioran Eliade Ionesco.
Ce livre nous propose une radioscopie de notre temps à travers ceux qui l'ont fait. Olivier Bosc accompagne cette merveilleuse galerie de photos d'un texte percutant et évocateur qui nous montre à quel point ces personnages sont fondateurs pour aujourd'hui.
Présentation de 80 cocktails autour du monde, à New York, Cuba, Paris, etc., sur les traces de personnages fictifs ou réels comme Carrie Bradshaw avec son Cosmopolitan, Ernest Hemingway et son Mojito ou encore Serge Gainsbourg et son Bloody Mary.
Comme une fenêtre ouverte sur le « Grand Dehors », ce livre est une invitation au voyage, dans l'espace et en esprit, une chevauchée contemplative dans une dimension et un temps différents qui pourtant sont aussi les nôtres.
Un livre à ouvrir doucement, comme on franchit le seuil d'un royaume inconnu.
Livre-clé pour comprendre l'univers mythique de la steppe, en se laissant d'abord emporter par le tourbillon des images : cavaliers soudés à leur monture, troupeaux dévalant les montagnes en nuages de laine et de poussière, yourtes noyées dans l'océan moutonnant des collines, monde visible cohabitant avec l'autre, peuplé d'esprits et de symboles, héritage chamaniste rescapé de temps immémoriaux. Livre-compagnon dont les mots, qui s'attachent à sonder l'ancrage mystérieux des nomades dans l'infini des herbes, sauront ajouter encore au plaisir du voyage pour susciter, comme disait Mangeclou, « grand bouillonnement de cervelle et ferveur de coeur ». Que commence la traversée, dans la présence des montagnes inondées de lumière, dans le galop des chevaux couleur de terre brûlée, lointain écho de l'Empire des Steppes, « dans la Force du Ciel Eternel ».
« Va, fils de la cavale !... Dans le puissant hennissement de ta libre existence ! »
Enfin réclamée, parfois atteinte puis à nouveau (provisoirement) perdue, exacerbée dans tous ses aspects, la liberté jaillit sur les murs du Caire comme le leitmotiv suprême du printemps arabe égyptien. De nombreux artistes aux talents aussi multiples que variés pratiquent la métaphore entre l'éphémère du graffito vite effacé et l'éternel d'un patrimoine antique ineffaçable. Quoi de plus symbolique que cet art de rue, fugitif et transgressif, pour transmettre la chronique instantanée et picturale d'une révolution en quête de liberté ?
L'Institut Néerlandais, fondé en 1957, est l'un des plus anciens centres culturels étrangers à Paris.
Il organise de multiples manifestations culturelles : expositions, concerts, projections de films, colloques, conférences, débats et cours de néerlandais. Plate-forme pour la culture néerlandaise en France, lieu de rencontres pour le dialogue franco-néerlandais, l'Institut Néerlandais joue un rôle d'intermédiaire entre les institutions et artistes français et néerlandais. L'Institut Néerlandais ne se veut pas uniquement un carrefour pour les derniers développements de la culture et de la société en France et aux Pays-Bas, il est également un véritable acteur dans la vie culturelle internationale, en initiant des manifestations et des projets uniques, spécialement conçus pour l'Institut.
Ainsi, ses expositions sur le design et la photographie ont acquis une renommée internationale et ont été reprises par nombre d'autres institutions. Le programme d'activités de l'Institut offre également une place de choix aux initiatives françaises et participe à nombre d'autres, telles que Le Mois de la photo, Le Salon du livre, Lire en fête, La Fête de la musique, Forum des langues et Forum des instituts culturels à Paris.
L'Institut Néerlandais passe régulièrement des commandes aux artistes néerlandais et français et publie des catalogues d'artistes. Entre autres : Magie et Réalisme, Tendances réalistes dans la peinture néerlandaise de 1925 à 1945 (2000), L'oeil du Nord (Mois de la photo 2000), Auke de Vries Paris, Sculptures et Grands Projets (2002).
Journal de voyages écrit à plusieurs mains par des journalistes, des chercheurs et des photographes « fous d'Afrique ».
La collection Fous d'Afrique / Autre Regard est née du désir de dévoiler l'Afrique sous un jour différent, plus positif. Elle ne prétend pas montrer toute l'Afrique, mais une Afrique réelle, profonde, loin des clichés, encore vibrante de son histoire ancestrale au milieu de notre monde en perpétuel changement.
Mosaïque de livres et d'instants choisis, rencontres authentiques et moments intenses, cette collection mêlant les grands événements et le quotidien tente de faire apparaître la part essentielle et universelle d'un continent encore trop méconnu à l'aube de ce troisième millénaire.