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jacques cauda
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Essai théorique, traité esthétique, Caméra Greco s'ouvre sur « l'origine du monde », revisitée par Jacques Cauda, des photographies de sexes féminins échangées contre des peintures, puis se poursuit dans les méandres du vertigineux Hitchcock et de ses toiles échos au Greco pour s'achever dans le priapisme bataillien.
L'ouvrage réunit plusieurs textes ébouriffants du plasticien-écrivain Cauda qui déploie ici une large méditation sur la représentation picturale et cinématographique du sexe et de l'Art.
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Maman, maman, j'ai rêvé de l'ours
Angèle Casanova
- Les Editions Du Carnet D'Or
- 2 Juillet 2021
- 9782957632121
Composé par l'écrivaine Angèle Casanova et le dessinateur Jacques Cauda, "Maman, maman, j'ai rêvé de l'ours" est un livre qui suit les traces laissées par un être brusquement arraché à la vie - la mère de l'auteure - dans la mémoire et le corps de celle-ci. Angèle Casanova nous fait parcourir une trajectoire de deuil qui nous emmène tantôt du côté de l'enfance et tantôt vers un plus haut degré de réalisation de l'âge adulte, c'est à dire vers l'amour inconditionnel. "On dira que tu n'es pas morte. On dira que la mort, elle-même, n'existe plus. Que nous coexistons tous, toute l'humanité, morts et vivants, en cet instant. Tous. Ici. Ensemble."
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« Je ne suis pas votre homme. Vous êtes beaucoup trop génial pour moi. Vraiment. Voyez Sollers, je vous l'ai dit cent fois ! Sollers aussi est génial. C'est lui votre interlocuteur. Je vous l'assure. » C'est par ces mots que Gérard Bourgadier refusa ce manuscrit pour L'Arpenteur en 1995. Sollers ne le publia pas non plus... Plus de 20 ans après, voici enfin publié ce roman que l'auteur présente comme son chef-d'oeuvre, en tout cas une oeuvre propre à le faire rentrer dans la catégorie somme toute assez restreinte des « fous littéraires ».
Voici un extrait de la lettre de présentation de l'auteur aux éditions Tinbad en 2015 : « Excentrique, étrange, irréel. [...] structuré comme un solo d'Albert Ayler ou Ornette Coleman. Jazz. Il est écrit sur les harmoniques. Vertical, pointé vers le soleil, à la manière d'un nouage indéfini du langage sur lui-même tournant dans une structure en spirale. [...] L'intrigue (le squelette) y est simple : deux jumeaux foetus dans le ventre de leur mère décident de ne pas sortir par la voie naturelle mais par l'oreille de la parturiente (Rabelais, n'est-ce pas...) Avant leur ascension, ils cousent (nous y voici), ils cousent son vagin, crimen amoris (aidés par le lecteur). Ensuite, ils causent. Ils causent littérature, philosophie, théologie... Comilédie s'inscrit dans la ligne tracée par Raymond Roussel, Artaud, Joyce (cher Tinbad le Tailleur), Jarry, Queneau, ou encore Dubuffet, agitateurs de folies littéraires. Il est à lire comme l'urinoir de Duchamp se regardait : comme une entreprise de démolition de la littérature, un éloge du mauvais goût. »
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Sur un bord de côte normande, le crime fait son métier de boucher. Le sang y est une épiphanie des ténèbres. Les loups seraient-ils entrés dans la ville ? Non. Ils n'en sont jamais sortis. L'humain, tel qu'en lui-même, vu comme il se doit : par le trou d'une fosse septique. ORK, un roman fou de la mort.extrait :Surprise, cette déesse de l'émerveillement, l'attendait sur la scène de crime, le boug n'était pas pendu par le cou mais par les pieds. Sa tête se balançait à une dizaine de centimètres du sol au-dessus d'un tas de cendres. À poil, avec une inscription peinte sur son ventre du bas au dessus des couilles sans couilles puisque elles avaient été arrachées, un trou rouge en guise de balloches. ORK ! Trois lettres peintes en blanc sur son ventre noir, belle volonté de l'artiste. Blanc bavard comme une phrase sur une page naturellement noire.
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« Je est un autre » a écrit Rimbaud dans sa lettre dite du voyant. C'est-à-dire du peintre. Par conséquent, Je est un peintre définit l'espace où je est un jeu avec lequel la peinture joue (avec) l'existence du peintre. Un jeu qui ne regarde que le regard. Et tout le monde autour de lui. Un monde où l'encre figure la couleur en même temps que le trait vient d'un bond sur la page comme sur la toile dire le bonheur de peindre et de l'écrire : l'écriture de Jacques Cauda est une promesse de peinture !
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Paul-Mario vient de fêter ses quarante trois ans. Il est artiste, peint et dessine, cherche à "établir des identités secrètes"... Mais, son pronostic vital est déjà engagé...
Ou bien est-ce celui d'un amour qui se délite, d'une époque qu'il juge maladive ? Minutieusement, Paul-Mario dissèque cette dernière à la manière d'un anatomo-pathologiste (sans jamais se prononcer pour autant sur ses chances de survie ... ! ), en relève les symptômes pour mieux en circonscrire les maux et les mots : ceux d'une ville (Paris!), d'un corps social, politique et culturel selon lui au bord de l'asphyxie... -
La divine mystification : préludes et fugues
Paul Vecchiali
- Douro
- La Bleu-Turquin
- 1 Mai 2023
- 9782384062294
Le lecteur sera sans doute surpris, puisqu'en effet rien ne relie ces deux opuscules, publiés à titre posthume. Bref roman psychologique, La divine mystification narre, année après année, les aventures d'une famille du Sud, sur plus d'un siècle, depuis le premier couple, Gérard et Marie-Claude, jusqu'aux arrière-petits-enfants, de nos jours. Impossible, ici, de résumer l'intrigue, riche en rebondissements, et où se croisent les obsessions mêmes de Paul Vecchiali, ou plutôt les thèmes qui lui sont chers : les liens du sang, le cinéma, l'homosexualité, l'actualité même. Le tout situé en bord de Méditerranée, région d'où il était originaire, où il devait tourner ses derniers films, achever un -riche- parcours terrestre. Légèrement policière (en filigrane, disons), l'histoire ravira les vecchialistes confirmés, qui retrouveront là un univers familier, singulier, comme si, consciemment ou pas, l'auteur avait voulu opérer une sorte de synthèse... Peut-on parler de synthèse, d'ailleurs ? Vecchiali aura abordé tant de sujets, décrit tant de milieux, filmé tant de paysages...
Malgré son titre « musical », Préludes et fugues, parle moins de Jean-Sébastien Bach que de flashs, de brefs tableaux, de souvenirs fugaces : ce que Vecchiali appelle des instantanés. Plutôt énigmatiques, les vingt-cinq proses qui constituent le recueil ressemblent à de surgissements visuels, des images d'enfance, une série de tentatives pour coller au plus près de la mémoire. Il s'agit donc, pleinement, d'une autobiographie fragmentaire, ou, si l'on préfère, de fragments autobiographiques composés dans un style objectif, sinon objectiviste, pour coller au plus près de la vérité. Déroutants, peut-être, ces Préludes et fugues ont de quoi intriguer...
Étienne Ruhaud -
Quand en 1888, James Ensor peint « L'entrée du Christ à Bruxelles », il réaffirme le lien insécable qu'il y a entre la figure du Christ et la peinture, entre le Verbe et la lumière. Mais, dans le même temps, une invention vient à manger peu à peu le monde et sa représentation jusqu'alors dévolue à la seule peinture : c'est la photographie. Et la figure de disparaître aussitôt dans l'insignifiance générale. Et la peinture de redevenir curieusement maladroite et bientôt abstraite (de toute figuration). Quelles conséquences en tirer ? Que la peinture, aujourd'hui ne peut être conçue qu'avec ce qui à la fois l'anime et la remet en question, avec ce qui l'a toujours animée, la lumière, et avec ce qui l'interroge depuis l'invention de la photographie, la figure. Telle est l'ambition du peintre Jacques Cauda qui se confond ici avec l'enjeu de son écrit : redonner un regard au monde aveuglé où rien n'existe plus désormais en dehors de son image aveuglante. Un regard ? C'est-à-dire un nouveau verbe, un verbe de lumière : surfigurer !
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Nous sommes au début du XXIème siècle.
Les Assis sont entrés dans Paris. "Issus du mi-chemin et pensant moyennement pour la classe moyenne dont ils sont issus", ils occupent la ville, calés sur leur vélib. Installés et rassis.
La phantasme des Assis c'est l'Homme Debout. Leur rêve et leur cauchemar. Dressé, droit et déployé. Ils l'imaginent cynique, dépravé et voluptueux. Ou pire. Riche insolent, juif peut-être ou catholique de droite. C'est un monstre ?
Un monstre qui pense avec les dents, mange sans tempérance et tue sans ménagement, le verre à la main et la vérité aux lèvres.
C'est l'histoire de ce monstre que raconte Vox Imago.
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Non seulement la peinture a un corps mais elle est un corps. Elle s'incarne. Elle s'incarne en qui ? Une femme ? Un homme ? Un Dieu ? Pour Jacques Cauda, c'est une femme. Une femme vite nue, provocante et désirée. Le mot est lâché : désir ! Un mot qui plonge ses mains dans la boite de couleurs et dans celle de Pandore. Un mot politiquement incorrect à ne pas mettre entre toutes les mains. Sauf dans celles du peintre. Et du poète. Car, comme le disaient les Anciens, la peinture c'est comme la poésie. Ut pictura poesis. Ce sont deux fleurs. Deux fleurs du mal, évidemment. C'est dire quel bonheur !
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Profession de foi est la confession d'un enfantvoyou du siècle XX. Il y raconte sa vie / sa formation, et la genèse de son oeuvre.
« Vous vous souvenez que le Gilles de Watteau bande sous son pantalon blanc ? C'est pourquoi j'ai choisi pour la couverture de me dessiner dans la tenue de cette âme (âne ?) magnifique. Après ma naissance dans Comilédie publié par Tinbad en 2017, Profession de foi vient avec son cortège de désordres amoureux écrire ma folle jeunesse.
Jacqueline Cloarec, Élisabeth Reine, Michèle de Andrade, Brigitte Poussin, Madame Avon, Véronique, Mademoiselle O., Chanel, Sonia, Juliette, et toutes celles que je n'ai pas oubliées, figurent mon écriture dont la cause est tout d'abord physique : La chambre est ouverte au ciel bleu-turquin ! Comme au blanc de céruse, au rouge d'aréole, au vert Véronèse, au noir de rêve et au jaune Cauda. Moteur ! En route pour le bordel philosophique ! »
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Je joue avec les mots mais d'un instrument : non ! Les notes de musique qui entrent par mon oreille ne ressortent jamais de mon corps comme notes de musique, mais comme lettres, mots, couleurs, traits. J'écris. Je dessine. Je peins.
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« Il remarqua pour la première fois des petits personnages en bleu, que le sable était rose, et enfin la précieuse matière du tout petit pan de mur jaune. » Proust, n'est-ce pas, écrivant sur Vermeer. Pourquoi écrire (sur) la peinture ? Pour voir. Pour voir des milliers d'images qui ont échappé à nos yeux. C'est l'exercice (spirituel) qui est proposé ici. Il y a une toile pour tous. Autrement dit il y a la main du peintre qui passe le relais à d'autres mains qui l'écrivent. Les yeux passent de mains en mains et le je au nous qui raconte, triture, invente, retourne, oublie, revoit, etc. Une des premières images revues par l'écriture fut celle du bouclier d'Achille dans L'Iliade : « Il y figure la terre, le ciel et la mer, le soleil infatigable et la lune en son plein, ainsi que tous les astres dont le ciel se couronne. » Ainsi le texte se met à la fenêtre et la tête dans les étoiles. Les étoiles fileuses de l'invisible.
Je vous souhaite un très bon voyage.
Jacques Cauda.
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LES NUITS SONT MORTES ET NUL NE CONNAÎTRA PLUS LE JOUR NAISSANT. Il faut transiger avec les éléments, le hasard, le temps, la fatalité. Le 21?juillet 2014, 217?personnes, assises côte à côte, à 10 mètres sous terre, écoutent avec attention les discours inauguraux de L'ANTRE ET DES ARTISTES, un espace culturel souterrain de béton, unique en son genre, avec son dôme-esplanade en damier, dont les cases codées multicolores, reproduisent le message suivant : ÉCLAIRE TA VIE DE LA COULEUR DES MOTS, ÉCRIS TON CHEMIN AVEC L'AUDACE DES ROIS, ÉLÈVE TON OUVRAGE SUR LE SOCLE DE LA PASSION, ET TU PRÉSERVERAS LA SAVEUR DU PASSAGE, L'ESPRIT LIBRE ET SAGE, JUSQU'À L'INSTANT FRAGILE ULTIME, ENCHANTÉ DU MIRACLE D'EXISTER. C'est à ce moment que la catastrophe, tant et tant de fois envisagée, se produit.?Sans préavis.?Un bruit formidable et en quelques secondes, des tonnes de gravats obstruent les issues et toute communication avec l'extérieur est coupée. Comme tout être sensible, chacun des 217 occupants du bunker est affolé, accablé, sidéré, bête aux abois enterrée vivante dans un immense terrier de béton sans aucune issue immédiate. Peut-être sortiront-ils un jour.?Peut-être pas. Auront-ils le courage d'attendre la mort ou un miracle potentiel ? L'espace désormais alloué à leur survie se résume à 3 000 m2 pour une hauteur de plafond de 4 mètres,, soit 12 000 m3 énergétiquement autonomes, répartis ainsi : une grande salle d'exposition accueillant les oeuvres de 28 artistes européens (un par État membre), quatre bureaux spacieux, des toilettes publiques, un accès à une source souterraine d'eau pure - mais pour combien de temps encore ? - , une réserve contenant 78 000 portions journalières de nourriture lyophilisée. Soit un confort pour le moins sommaire et une autosuffisance alimentaire d'une année. La surprise et l'effroi passés, le grondement extérieur étouffé, les 217 personnes se jurent solennellement que, rescapées ou non, elles resteront dignes dans l'épreuve.?Mais la dignité est-elle de mise dans de telles circonstances ? Ils sont les survivants de la catastrophe, et se doivent d'être des survivants créateurs.?Chacun à sa manière, avec son style, témoignera du présent, du passé, du futur hypothétique, de son bonheur d'avoir vécu sur terre ou de sa douleur de la perte des repères et des êtres chers.?Ou peut-être, tout simplement, tracera-t-il la marque de son insondable vanité de puceron éphémère dans un monde terrassé d'avoir été trop loin dans sa folie. Ainsi va la vie, ainsi ira peut-être la mort. Avec ou sans regrets. Ce livre constitue une trace parmi d'autres de cet événement majeur.?Prenez le pour ce qu'il est, l'empreinte instantanée de l'état d'esprit de l'un des témoins de ce moment-clé de l'humanité.
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Je suis arrivé à un âge qui, pour beaucoup, grâce à toutes sortes d'« artifices », médecine, sport, hygiène alimentaire... reste celui d'un homme assez jeune. Heureusement, le destin si cher aux Anciens en a décidé pour moi autrement. Je suis un vieillard de cinquante-cinq ans dont le cas désespère les blouses blanches. Non seulement, je suis vieux mais j'y prends un plaisir qui les comble et d'irritation et d'impuissance ! Je suis devenu grabataire par l'esprit à qui le corps obéit à la perfection. (...)
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Florbelle est un autoportrait que Cauda a écrit dans les blancs du roman de Sade dont nous n'avons que les notes puisque le fils irrévérencieux, à la mort de son père, a brûlé l'ouvrage.
Cauda, le peintre, a son atelier bâti sur une ancienne propriété de la famille Sade, revendue quand Donatien était enfant ! Pour le dire autrement : Florbelle lui était destiné. Restait à en noircir les pages. Ce que Cauda a fait à double titre en dessinant une quinzaine d'encres qui illustrent son autoportrait en miroir du marquis !
Comme un fait exprès, il a écrit et dessiné Florbelle lors du confinement, ajoutant ainsi de l'enfermement à l'enfermement, faisant de son atelier un château (de Shilling) coupé du monde, protégé des regards autres, centré au milieu d'autour sur lui-même face à Sade. La quête dure 19 journées auxquelles s'adjoint un épilogue.
En 2011 une exposition prit comme titre Florbelle (after Sade) ; on y précisait : « L'oeuvre manquante devient prescription ! » Pour parler comme Godard, dans prescrire il y a écrire. Et pour écrire Sade il y fallait Cauda. « Entré au château de Silling à l'âge de 17 ans, je n'en suis jamais sorti. » C'est ainsi qu'il ouvre ses journées, par un enfermement, un lieu coupé du monde propice à toutes les transgressions. Une invitation au voyage intérieur où le corps tient lieu de donjon. Un corps qui figure, dans ce face à face Sade/Cauda, trait après trait, un habit de lumière envisagé comme un abîme de lumière. Autrement dit un autoportrait. -
D'un écrivain l'autre, le vingtième siècle chevauché à sauts et à gambades par Cauda et Pichon.
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Titre incantatoire, roman subversif pour de vrai (si le subversif a à voir avec la bousculade radicale des bourgeoises pudeurs), Fête la mort !, huitième roman de Jacques Cauda, initiateur du courant pictural « surfiguratif », écrivain prolixe et sur-énergique, est l'une de ses oeuvres la plus aboutie et la plus jubilatoire parue à ce jour.
Si fêter la mort semble incongrue dans une société qui tend plutôt à la nier (vanité de la vie terrestre), Jacques Cauda se fait un plaisir de nous rappeler que mourir peut aussi être un art. Fête la mort ! prend à contre-pied, en la « surfigurant », la formule de la pensée chrétienne « N'oublie pas que tu vas mourir ! » - Memento mori - et nous ramène, en artiste, à notre condition de mortel en faisant s'enlacer la fête et la mort dans une joute poétique et macabre. -
Jacques Cauda est peintrécrivain, cinéaste jadis. Artiste polymorphe, il écrit le corps comme le cyclostome élégant écrirait s'il écrivait. Autrement dit, il s'enroule autour des mots en tenant la vie par les lèvres. Les grandes surtout... C'est d'ailleurs ainsi qu'il voit la poésie. En voyeur. Il a reçu le prix spécial du jury Joseph Delteil en 2017 pour Ici, le temps va à pied, Éditions Souffles.
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À la question "Que Faire?" posée par le magnifique Lénine, Jacques Cauda répond: "Quand ?" Quand les Z'uns si pauvres vont-ils manger les Z'autres si riches? Question zutique en diable ! D'autant que Dada s'en mêle et même l'horrible Héliogabale, le sanguinaire !Jacques Cauda peintre, écrivain, photographe et documentariste est à l'origine du mouvement surfiguratif.
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Ce jour-là est une nouvelle écrite dans le cadre du concours Sky Prods 2012, sur le thème «Le jour où tout a basculé».
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Rencontrer l'amour pose pour un adolescent beaucoup de questions. La première d'entre elles a l'évidence d'un constat : "Ensuite ?" Mais c'est déjà une autre histoire...