Filtrer
Rayons
- Littérature (137)
- Sciences humaines & sociales (101)
- Arts et spectacles (67)
- Tourisme & Voyages (33)
- Policier & Thriller (18)
- Jeunesse (17)
- Vie pratique & Loisirs (15)
- Sciences & Techniques (11)
- Fantasy & Science-fiction (5)
- Parascolaire (2)
- Bandes dessinées / Comics / Mangas (2)
- Religion & Esotérisme (2)
- Entreprise, économie & droit (2)
- Dictionnaires / Encyclopédies / Documentation (1)
- Romance (1)
Langues
Prix
Creer
-
Rien de plus inévitable, mais rien aussi de plus méconnu que nos croix de chemins...
Le département du Cantal, anciennement "Haute-Auvergne", est riche de ce patrimoine à la fois religieux et populaire, qui veille sur les sommets, les ponts, les fontaines, les maisons, les entrèes, et les places de nos villages, qui sacralise nos carrefours et nos chemins creux.
Ce livre nous incite à découvrir près de 700 croix, de la modeste croix paysanne à l'oeuvre d'art aboutie, des premiers monuments du XIIe siècle aux croix jubilaires de l'an 2000. Car toutes les époques et tus les styles se mêlent ici et témoignent de l'enracinement des hommes dans leur terre et dans leur loi.
Cet inventaire décrit le rôle des monuments, examine les causes de leur édification et étudie leur histoire souvent complexe. L'architecture, les symboles populaires ou religieux ainsi que les personnages représentés font l'objet d'un décryptage systématique permettant une lecture précise et contextualisée de chaque croix. L'auteur enfin s'est attaché à retrouver un grand nombre de traditions locales, croyances populaires, légendes ou anecdotes liées à ces témoins majeurs de notre passé.
288 pages, 348 photographies, 68 dessins à la plume et lavis
-
J'avoue, jusqu'à ce que je lise SOFONISBA, le dernier roman d'Anne Comtour, je n'avais jamais entendu parler de Sofonisba Anguissola.Et je me désolais qu'il y ait eu si peu de femmes peintres.Et voilà qu'au sortir de cette lecture, je découvre cette artiste, cette peintresse, jaillie de la Renaissance.En une centaine de pages, légères, précises, enlevées... Anne C. nous entraîne dans un tourbillon de joie. On suit Sofonisba dans ses apprentissages ; on la voit broyer ses couleurs, tendre ses toiles, manier fusains et pinceaux ; on l'entend jouer du virginal ; on assiste à la naissance de ses talents.Par la vivacité et la grâce de ces lignes, j'ai la sensation d'avoir découvert, en plus d'un grand peintre injustement méconnu, portraitiste hardie et virtuose, une nouvelle amie ; et cela n'a pas de prix.Longue vie nouvelle à Sofonisba !À quand une exposition de ses toiles en France ?En attendant, plongeons dans ce récit enjoué, irradié par le soleil d'Italie, comme dans un torrent d'eau vive.Élise Fontenaille
-
La maison rurale en Haute-Auvergne ; contribution à un inventaire régional
Roland Ondet, Patrice Trapon
- Creer
- Cahiers De Construction Traditionnelle
- 30 Novembre 2003
- 9782848190075
-
Ouvrage de photographies noir et blanc présentant la démesure de ce pays vert qu'est le Cantal.
Il en va des pays comme des hommes.
Certains, aimables et hâbleurs, se dévoilent à peine rencontrés, sans retenue aucune, avec faconde, indécence ou générosité. On en connaît d'autres pour la douceur de leur climat ou de leurs roches, pour le cours indolent de leurs fleuves dont les flots égrainent le passage des jours.
Pour chacun d'eux, on se complait à fixer sur le papier les camaïeux éclatants des sous-bois, des champs ou des garrigues, en débordement de nuances et de touches multicolores.
Mais comme le sait l'amateur averti, il n'est de meilleur portrait, quand on désire révéler le caractère d'une personne, capturer son image dans sa vérité nue, que le noir et blanc.
Là, sans faux-semblants, sans artifices, l'homme ou la femme se révèle à l'oeil de celui qui sait les sublimer, les apprivoiser. La couleur bannie, on va à l'essentiel, aux lignes, aux masses, aux saillies et aux creux que se partagent et sculptent ombre et lumière.
Car c'est bien de cela qu'il s'agit ici : un portrait, celui d'un pays, le Cantal, comme on ne vous l'a encore jamais montré. Loin des vues lisses des cartes postales, c'est l'âme, le coeur sauvage et brut du Cantal, que Frédéric Angot a voulu capturer. Secret, tout replié qu'il est dans son manteau de pierre, sous son hirsute tignasse de forêts et de bois, tel un pâtre revêche, notre Cantal ne s'offre qu'à celui qui sait prendre le temps de l'apprivoiser.
Dans le matin frissonnant, en écharpe de brume, même à l'aube du XXIe siècle, il oscille encore entre ce monde et un autre, et il ne faut guère d'effort, au poète ou à l'écrivain, pour basculer au pays des Dracs, des Grands Veneurs et des Galoups. C'est là, en ce lieu ténu entre rêve et réalité, que nous vous convions, au long de sentiers perdus, où la civilisation s'achève, où la raison, celle du nouveau millénaire, des ordinateurs et d'Internet, cesse d'avoir cours. Là vous guettent des arbres qui, de leurs branches noueuses, telles des hydres à cent membres, paraissent vouloir accrocher les nuages, des solitudes ensauvagées rythmées de cairns de pierre qu'on croirait dressés là à l'usage des fées.
La présence de l'homme, dans ce Cantal que Frédéric Angot nous invite à explorer, se fait discrète, pustules de pierres branlantes agrippées à la chair des montagnes en matière de burons, faisant le dos rond quand se lève le vent chargé de neige.
Au détour d'un sentier, d'une grange que les ronces grignotent patiemment, avec l'opiniâtreté tranquille du végétal, vous attendent des visions insolites : épave de voiture qui jamais plus ne roulera, chemin de fer ne menant plus nulle part, l'un et l'autre pareillement digérés par la nature vorace.
Chemins de croix et chapelles perdues rythmeront votre voyage, sous le regard de pierre de gargouilles moqueuses, de lions pétrifiés ou de Christ en croix que les araignées, serviables, habillent de leurs soieries délicates.
Des chevaux fantastiques, qu'un charron fantôme n'eut pas reniés pour tirer son attelage, côtoient ici les reines de nos montagnes, ces vaches de Salers qu'on croirait tout droit tombées, inchangées, des premiers temps de l'humanité, sous l'oeil sorcier d'un matou aux allures de lynx.
Frédéric Angot entrouvre pour nous la porte entre les mondes, pour nous mener en un lieu hors du temps, où la roche et le ciel imposent leur rythme et leurs rêves au monde des hommes.
Tournez la page, et suivez-le, vous ne le regretterez pas.
Jean-Luc Marcastel
-
La mangounhe ; la cuisine familiale du cochon
Claudine Sabatier, Roland Sabatier
- Creer
- 26 Mai 2010
- 9782848191157
La Mangounhe, c'est la cuisine familiale du cochon.
On dit aussi " tripot ", ou alors Saint-Cochon ", pour bien marquer son caractère festif, rituel, et son retour annuel. C'est que le " jour de tuer le cochon" était une si grande fête que le Margaridou, bible de la cuisine auvergnate, rapporte qu'à la question: " Quelle est la plus grande fête de l'année? " que posait M. le curé au catéchisme naguère, il était répondu : " Le jour où on tue le monsieur, Monsieur ".
Ces recettes et tours de main encore bien connus des plus anciens, sont vivaces et toujours présents, mais ils vont en se raréfiant, car ils sont liés à un mode de vie qui tend à disparaître du fait de l'arrivée du congélateur et des nouvelles réglementations. Il se trouve que grâce à une transmission qui s'est faite par ici sans solution de continuité, on pratique encore le découpage du porc par le dos, à la manière ancienne, ailleurs disparue.
-
Comme nous pardonnons aussi... (sicut et nos dimittimus)
Daniel Blanquet
- Creer
- 18 Mai 2011
- 9782848193939
A travers l'enquête du prévôt Quentin Ballade, l'auteur Daniel Blanquet nous fait découvrir la vie quotidienne des habitants riches et pauvres de Saint-Flour, dans la deuxième moitié du XVe siècle.
C'est à une véritable immersion dans le Saint-Flour du XVe siècle que l'auteur nous invite.
Un horrible meurtre ayant été commis le 10 novembre 1453, Quentin Ballade, prévôt du lieutenant du bailli, ouvre son enquête. Elle ne se terminera que le 30 novembre 1461.
En suivant le prévôt dans son enquête, le lecteur va s'immerger dans le quotidien de Saint-Flour à cette époque marquée par la fin de la Guerre de Cent Ans et la fin du Moyen Âge.
Il découvrira la vie dans les quartiers besogneux du faubourg du Pont et de la rue de la Coste, où l'on retrouve tanneurs, cardeurs, drapiers, potiers et ferronniers, et la vie dans les quartiers de la ville haute où l'on retrouve la haute société dans ses hôtels particuliers. Seuls les taverniers sont présents dans toute la ville, en haut comme en bas.
De l'évêque aux trois consuls, de la police communale à la justice royale, des processions des corporations aux jeux du Pré de Pâques, de la loge de la recluse à la mayso de las filhetas comunas (le bordel municipal), c'est toute une époque qui revit.
-
Aïe ! aïe ! aïe ! mémoires d'un caïeu auvergnat
Luce Lanfranchi-Rodier
- Creer
- 7 Juin 2011
- 9782848193922
Un retour au pays, la découverte des Grands Goussiers et un étrange tableau du XVIe siècle ont incité l'auteur à se lancer dans ces mémoires d'un caïeu auvergnat. Par cette fantaisie elle invite grands et petits à se promener des confins de la Chine jusqu'à l'Auvergne, à remonter le temps et à déambuler dans les cuisines des Maître queux qui ont honoré de leurs talents culinaires l'histoire de la France. Elle les incite à enrichir leur bibliothèque et engage les cuisiniers et les gourmands curieux à revisiter et à «mettre à leur carte» des recettes d'autrefois dont certaines ont plus de 5000 ans. Les auteurs Luce Lanfranchi-Rodier, Secrétaire général honoraire de l'École du Louvre et ex-chargée de mission au ministère de la culture, friande de bonnes tables, de retour à Saint-Flour, nous convie dans un style agréable et une écriture élégante à découvrir un héros auvergnat très apprécié mais pas toujours discret. (VPimentel=nom d'artiste), Vincente Pimentel est né à Saint-Domingue, ancien professeur de l'université de Saint-Domingue, diplômé des École d'Art et d'Architecture de Marseille et de Paris, vit et travaille à Paris depuis 1976. Ses oeuvres ont fait l'objet de très nombreuses expositions en France et dans le monde entier. Sa peinture abstraite conjugue avec poésie signes, formes, symboles et conceptualise, avec sensibilité, la terre matricielle et nourricière en lui empruntant ses pigments et sa matière pure. Il nous offre dans cet ouvrage des photos originales et délicates d'un des fruits de la terre d'Auvergne.
-
Dans la seconde moitié du XIIe siècle, les bâtisseurs auvergnats mettent en oeuvre tout l'éventail des pierres disponibles dans leur région. L'enthousiasme fouisseur des carriers amène à la lumière une lave jusqu'alors inexploitée : la pierre de Volvic, qui participe localement à la fin de la fièvre constructive romane.
Rapidement reconnue pour ses qualités exceptionnelles, cette pierre séduit dès le XIIIe siècle les trois principaux centres urbains, Clermont, Riom, et Montferrand pour leurs édifices publics, religieux ou privés.
Dès le début, la profession des peyradous (carriers, tailleurs de pierres, sculpteurs) se constitue en une véritable chaîne fourmillante entre Volvic et le bassin de Clermont-Riom.
Au fil des siècles, les usages spécifiques de la pierre - croix, fontaines, monuments funéraires - lui servent d'ambassadeurs au-delà de l'Auvergne, à Paris par exemple.
Le dix-neuvième siècle voit naître l'Ecole d'Architecture de Volvic, unique formation régionale aux métiers de la pierre. À cette époque l'industrie chimique, dans l'Europe entière, devient un débouché important, entraînant une exploitation intense. L'émaillage de la lave, connu au XIXe mais développé au XXe, est une application connue sous la forme de tables d'orientation et de parements décoratifs.
À la Belle Époque, le secteur de la pierre fait vivre 1100 personnes et leurs familles, à Volvic et dans les environs. Que ce soit par des noms illustres d'artistes ou par des milliers d'anonymes, la communauté des métiers de la pierre a su préserver, du XIIIe siècle à nos jours, des traditions à la fois paysannes et artisanales : le vin, le patois, les sobriquets, les fêtes religieuses ou profanes.
Les savoir-faire de taille, sculpture, gravure et émaillage de la lave, auxquels il convient d'ajouter des formations récentes axées sur la valorisation du patrimoine bâti, font de Volvic un creuset de compétences séculaires et constamment renouvelées. Une dizaine d'auteurs aux approches complémentaires - géologie, taille de pierre et sculpture, histoire de l'art, sociologie et anthropologie des métiers - ont uni leurs efforts pour rédiger cet ouvrage.
-
-
Avec la Contre-Réforme, l'Église décide de peupler les édifices de toute une iconographie baroque.
Les artisans et artistes locaux sauront assimiler les modèles observés jusqu'à Versailles et les assagir à la mesure de leur province.
« ... Amenée par mes fontions d'archiviste à parcourir le département du Cantal pour inspecter les archives communales, j'en profitai pour visiter les églises qui, à cette époque encore, étaient ouvertes en dehors des offices et je reçus le choc que peut produire sur tout profane la présence, dans des paroisses écartées de montagne, de monumentales boiseries sculptées et peintes dressées derrière les tables d'autel, telles qu'apparaissaient, par exemple, parmi les plus belles celles de Bredons, Apchon ou Cézens, rutilantes d'or et peuplées de tout un monde exubérant et coloré. C'était comme un livre enluminé, ouvert un jour par hasard et qui, s'offrant aux yeux émerveillés, suscite le désir d'en connaître les auteurs et le message... »
-
La maison rurale dans les Landes ; contribution à un inventaire régional
Jean Loubergé
- Creer
- Cahiers De Construction Traditionnelle
- 31 Mai 2002
- 9782909797816
-
Entre Auvergne et Limousin, près des Monts Dore, la neige recouvre la campagne environnante. Seule âme qui vive un cheval avance sur la route principale. Inquiets de ce cheval sans son maître, les villageois remontent les traces de l'animal qui les mènent au milieu d'un bois où. Ils découvrent un homme mort dans la neige.
Ainsi commence en cet hiver de 1886 l'histoire de Léger, tailleur d'habits de son état. « Le sartre » nous invite à découvrir un jeune adolescent qui va se construire en référence à cette fin de XIXe siècle. Il sera partagé entre l'apprentissage de son métier et la remise en cause de l'ordre établi.
Maurice Vigier,auteur et scénariste de l'histoire est originaire de Clermont-Ferrand. En mettant en scène les gens du peuple dans la bande dessinée il produit là son deuxième album après « Mission Rafflésie » Éd. de la Montmarie.
Gerard Ponsing,le dessinateur, habite la Seine et Marne. C'est un passionné de la bande dessinée. Diplômé de l'école Boulle et de l'école ABC de dessin il a réalisé cet album en colorisation directe aquarelle.
-
-
Elle a connu la guerre, l'injustice, la méchanceté, la pauvreté. Elle a connu le Paris des années cinquante, des personnages pittoresques ou prestigieux, l'Auvergne dans toute sa rudesse et sa beauté. Une grande passion a changé sa vie. Voici l'histoire authentique d'une petite fille enfant naturelle qui avait voulu mourir et qui est devenue une grande artiste, pleine d'humour et de générosité. Ces pages magnifiquement illustrées dévoilent une partie de son talent
-
Les principales données concernant l'implantation des maisons et des constructions avec une description des 16 pays qui constituent la Haute-Loire et leurs caractéristiques architecturales détaillées.
Les cahiers constituent une contribution importante à l'inventaire des caractéristiques des maisons rurales traditionnelles des provinces françaises. Ils regroupent de multiples informations concernant les matériaux et les éléments du bâti, les types d'implantation, les styles régionaux et de nombreux conseils pour la restauration. L'explication est apportée essentiellement par l'illustration riche et abondante.
-
À l'image du village gaulois d'Astérix, le Monastier-sur-Gazeille est unique et donc universel. Il a abrité une abbaye célèbre au Moyen Âge dont l'influence s'étendait jusqu'à Turin. Il a inspiré Georges DUBY pour son Temps des Cathédrales et abrité des générations de ruraux et paysans avant que leurs enfants ne soient contraints de devenir des ouvriers voués au chômage dans des banlieues plus ou moins sinistres et que les fermes alentour soient transformées en résidences secondaires. Nous avons tous, au coeur et en mémoire, à travers les existences de nos parents et grands-parents un Monastier inoubliable.
-
Philipe ROUCARIE renoue avec ce monde de la campagne profonde qu'il a connu et exploré. Dans son petit village avec ses joies, ses peines, ses inimitiés, ses brouilles, sa vie, ses hommes parfois simples, parfois grands. tout se croise dans ce roman au style amusé, à l'humour discret et à l'attachement viscéral...
-
C'est une histoire qui raconte à grandes enjambées cette fertile Limagne, acharnée à cultiver son immense jardin, gigantesque marais, asséché au fil des temps par les hommes et l'érosion.
Et c'est également de l'histoire, celle de ces hommes qui ont traversé cette terre-carrefour, lieu de partages et d'échanges.
Laurence Salomé continue à parcourir la région pour ramener de nouvelles images, de nouvelles histoires à la recherche du temps perdu, de la petite à la grande Histoire, tout un monde croqué et aquarellé. Entre passé et présent.
Du même auteur dans la même collection " Le Puy de Dôme et puis, en aquarelles ", " Voyage rêvé d'un volcan, en aquarelles " Elle est également illustratrice pour la revue " Éruption ", et animatrice de nombreux ateliers d'aquarelles.
-
La peinture religieuse en Haute-Auvergne, XVII-XX siècle
Pascale Moulier
- Creer
- 12 Octobre 2007
- 9782848190822
Une description méticuleuse et complètement inédite de la peinture sur toile ou panneaux de bois dans le Cantal, du XVIIe au XXe siècle.
Pour la première fois, la richesse artistique, historique et sociologique de ce patrimoine oublié est dévoilée grâce à une visite exhaustive des églises du département.
-
La présentation des pays de la Basse Auvergne, les matériaux et les éléments du bâti (les matériaux des murs, les liants et mortiers, les charpentes et couvertures, les caves), la description régionale (les pays de plaine, les pays de collines, les pays de hauts plateaux, les pays de montagne).
-
Maisons paysannes et vie traditionnelle en auvergne
Breuille/Dumas/Ondet
- Creer
- 1 Octobre 2000
- 9782909797588
Toute au long de cette étude, nous découvrirons une architecture à l'image de l'homme : simple et vraie, mais nullement dénuée d'originalité. Pourtant, la maison paysanne n'est pas un fait exceptionnel, elle est seulement le fruit d'une étroite complicité entre l'homme et la nature. Homme de la terre, le paysan a toujours su tirer parti de ce qu'elle lui offrait ; il y a puisé sa maison. Homme de devoir, respectueux des règles et d'une tradition, il a su perpétuer la forme, tout en l'adaptant à ses nouveaux besoins. Homme de sagesse enfin, il a toujours su concilier un fonctionnalisme obligé avec un certain désir de paraître. Toutefois, sous prétexte d'une réussite confirmée, il serait vain de vouloir calquer nos maisons sur celles d'autrefois. Il faut, au contraire, imaginer une architecture à notre mesure, adaptée à nos moyens et à nos exigences contemporaines, comme l'ont fait en leur temps nos aïeux.
-
L'invention romane en Auvergne ; de la poutre à la voûte, Xe-XIe siècle
Dominique de Larouzière-montlosier
- Creer
- 1 Juillet 2003
- 9782909797861
-
D'après la légende, ce serait les imprimeurs, les ours, qui auraient donné le sobriquet de singe aux compositeurs-typographes. L'ours est un terme ancien. À l'origine il désignait le conducteur d'une presse à imprimer. Plus tard ce fut le surnom du maître-imprimeur. Aujourd'hui le mot désigne le pavé où se trouvent les coordonnées administratives d'un journal. Les années passées au sein d'un journal à Clermont-Ferrand au milieu des singes et des ours sont à l'origine de ce livre sur la presse quotidienne régionale.
-
L'auteur s'interroge. Y a-t-il une solution autre qu'individuelle et multiple ? Son monde était entier, rude, peu influençable. Ses réponses étaient parfois abruptes. Elles étaient instinctives et toujours sans concessions. Elles peuvent déplaire. Elles étaient le résultat d'une façon de vivre millénaire.