Comment expliquer la relation si particulière que les humains entretiennent avec les chiens ? Pourquoi trouve-t-on des chiens depuis les origines dans presque toutes les sociétés, tantôt considérés comme les êtres les plus vils, tantôt traités comme les amis les plus intimes ? D'où viennent-ils ? Qu'ont-ils dans la tête ? Pourquoi leur parlons-nous ?
À ces questions, la philosophie et les sciences ont longtemps donné une réponse catégorique, teintée d'une dédaigneuse indifférence : un gouffre séparerait radicalement la culture de la nature, l'homme et l'animal. Celui-ci serait semblable à une machine, presque une chose. Notre relation avec les chiens s'expliquerait simplement par notre tendance irrépressible à projeter nos sentiments sur des êtres qui en sont dénués.
Pourtant, les connaissances accumulées depuis quelques décennies en biologie et en sciences humaines font voler en éclat cette idée. Il ressort de ces recherches une image du chien surprenante, qui impose d'abandonner l'idée d'une frontière infranchissable entre l'homme et l'animal. Sous bien des aspects, le chien est plus proche de l'homme que ne l'est le chimpanzé. Au total, nous formons avec lui depuis les origines une véritable société, avec ses constantes, ses variations culturelles et son histoire.
« Je n'ai jamais rêvé que de ponts, écrit que d'eux, pensé que sur ou sous eux ; je n'ai jamais aimé qu'eux. Ce livre sur les ponts finit comme le livre de tous mes livres. » Michel Serres Ce livre est un hommage très personnel aux ponts de toutes natures, aussi bien matériels qu'immatériels, qui relient les hommes les uns aux autres. Tantôt amoureux transi, tantôt amant passionné, Michel Serres déclare sa flamme aux ponts et nous entraîne sur leurs tabliers, qu'ils soient de chair ou de métal, de pierre ou de paroles. Une ode virevoltante, profonde et aérienne, qui nous émerveille autant qu'elle nous enrichit.
Que retenir du XXe siècle ? Depuis 1945, la bombe atomique menace l'humanité d'extinction ; nous ne risquons plus la petite vérole, éradiquée en 1970 ; mangerons-nous des OGM ? Munie d'ordinateurs, notre pensée change-t-elle ? Voilà une mort, un corps, une agriculture et des réseaux nouveaux.
Pour résumer ces innovations évolutives, j'ai forgé le mot d'hominescence. Des mots comme adolescence : encore enfant, l'adulte se forme ; ou luminescence : de faible lueur, naît la lumière. éclairent ce néologisme, étrange et exact, qui marque une émergence hominienne.
Quand, par son corps et la mort, il change son rapport à soi, par l'agriculture et le climat, ses relations au monde, et par les communications, son entretien avec les autres, s'agit-il toujours du même humain ? Nous vivons un moment décisif du processus qui nous façonne.
Inquiétante pour certains, cette naissance en enthousiasme d'autres. Nous la suscitons sans savoir quel homme elle crée, assassine ou magnifie.
Michel Serres
Apparue avec la découverte de la structure de la matière, la notion d'antimatière soulève quantité d'interrogations. Pourquoi la Nature a-t-elle créé un monde miroir du nôtre? Pourquoi en a-t-on perdu la trace? Dans cet ouvrage qui fait référence, Gabriel Chardin nous aide à approcher cette "matière qui remonte le temps" !
« Écrites en éloge des professeurs d'éducation physique et des entraîneurs, des guides de haute montagne, des athlètes, danseuses, mimes, clowns, artisans et artistes. ces Variations décrivent les métamorphoses admirables qu'un corps humain peut accomplir ; les animaux manquent d'une telle variété de gestes, postures et mouvements. Souple jusqu'à la fluidité, il imite à loisir choses et vivants ; de plus, il crée des signes.
Alors ces variations annoncent l'esprit, déjà là dans les positions et les transformations du corps. L'intelligence artificielle se fabrique un peu, mais cette virtualité folle de métamorphoses beaucoup moins aisément : le corps se révèle plus difficile à robotiser que l'esprit. Les Cinq Sens ne sont pas la seule source de toute la connaissance qui émerge, en grande part, des imitations que rend possibles l'extraordinaire plasticité du corps entier. En lui, avec lui et par lui commence le savoir.
Du sport à la connaissance, il passe donc de la forme au signe, pour terminer en corps glorieux. Variations, métamorphoses. ainsi tout cela se nomme transfiguration dans le registre de l'Incarnation. » Michel Serres.
Qu'avons-nous vécu ? appris ? Qui sommes-nous ? La mémoire permet de nous souvenir et de décrypter le monde qui nous entoure, mais aussi de faire des choix en fonction de notre histoire et de nous projeter dans le futur.
Ces dernières années, nos connaissances sur la structure et le fonctionnement de la mémoire humaine ont beaucoup progressé. Les maladies de la mémoire (syndromes amnésiques et maladie d'Alzheimer essentiellement) nous renseignent, mieux que toute autre démonstration, sur cette fonction mentale qui se trouve au coeur de notre identité.
Ainsi, ce patient, surpris de voir « les hommes mettre des sapins dans les maisons à Noël », nous rappelle que la mémoire enregistre non seulement à nos souvenirs, mais ce que nous savons sur le monde.
Véritable synthèse des connaissances actuelles - l'imagerie cérébrale y tient un rôle important -, cet ouvrage permet de comprendre la mise en place progressive de la mémoire chez l'enfant comme ses modifications au cours du vieillissement.
Roland Lehoucq se propose d'analyser les grands thèmes de la science-fiction grâce aux outils de la physique. Il tentera ainsi de répondre à toutes les questions que posent ces explorations extraordinaires : peut-on, pourra-t-on, aller au centre de la Terre ? voyager dans le temps ? se déplacer aussi vite que la vitesse de la lumière ? visiter les étoiles voisines ? habiter une autre Terre ?
En grand format, l'ouvrage a reçu le Grand Prix de l'Imaginaire en 2008.
De l'aube néandertalienne à l'époque contemporaine, Pascal Tassy nous narre l'émergence de la paléontologie, son histoire ainsi que son lien inextricable avec les développements de la théorie de l'évolution.
Conteur vif et plein d'esprit, l'auteur nous invite à grimper sur les épaules des plus grands paléontologues et évolutionnistes pour brosser un vaste panorama. Nous découvrons comment, fossile après fossile, la paléontologie s'est constituée en science - se départant des mythes comme des vues finalistes et théologiques, se convertissant à la théorie de l'évolution et retravaillant, d'arbres généalogiques en rameaux phylogénétiques, ses concepts fondateurs -, qui en a été responsable et dans quel contexte.
Aussi bien ancré dans une perspective historique qu'épistémologique, ce livre évoque, au fil des filiations, bifurcations et contradictions entre ses penseurs, la cristallisation de la théorie de l'évolution et l'histoire de la paléontologie comme science de l'évolution ; il retrace également les différents moments de la pensée et les différentes révolutions qui mènent une science à s'affirmer comme telle.
Vous êtes-vous jamais demandé comment, à partir d'une simple mandibule, on peut identifier une espèce disparue ? En véritable détective, le paléontologue reconstruit ici pas à pas la formidable histoire du vivant. Et nous révèle les secrets de son écriture : si à l'époque d'Aristote ou de Léonard de Vinci, les fossiles ne manquaient déjà pas d'alimenter débats et conversations de salons, il faut attendre Darwin et sa théorie de l'évolution pour commencer à y comprendre quelque chose... Et la paléontologie de devenir une véritable science, fondée à la fois sur un ensemble rigoureux de règles et, désormais, sur les outils informatiques.
Pascal Tassy nous entraîne dans l'arrière-boutique du scientifique, nous détaille les démarches entreprises, les hypothèses formulées et leurs résultats parfois surprenants : qui aurait pu deviner que la baleine et l'hippopotame étaient de si proches cousins ?
D'où venons-nous ? Comment le vivant a pu surgir au sein de l'ordre minéral ? La question des origines de la vie, loin d'être élucidée, continue aujourd'hui de mobiliser les scientifiques, et de nous fasciner. De la génération spontanée à la « soupe primitive », des théories de l'évolution aux apports de la biologie moléculaire et jusqu'à la découverte de l'ADN, et de l'ARN, certainement apparu en premier, Marie-Christine Maurel retrace ici cette formidable enquête, ses impasses, ses écueils, ses aboutissements.
Pas à pas, nous sommes plongés au coeur des avancées de la recherche, depuis les hypothèses formulées jusqu'aux méthodes d'observations et aux protocoles expérimentaux pour les démontrer ou les infirmer. Un point clair, structuré, bienvenu sur cette question dont les enjeux, historiques autant que philosophiques, dépassent largement le seul cadre scientifique.
Mais pourquoi le coupable s'acharne-t-il à accumuler les preuves contre lui ? Plus que n'importe quel autre élément du dossier, cette attitude inédite fait pressentir au commissaire que, au-delà de ce qu'il a bien voulu avouer, le Grand Maître des échecs cache un secret plus lourd encore.
Mais il est loin d'imaginer que les mathématiques lui permettront de le confondre... Où l'on découvre, en compagnie d'un limier novice aux échecs, d'un célèbre savant grec, d'un retraité aimant guincher, d'un jeune de banlieue fan de jeux vidéo... que la réalité quotidienne est bien plus mathématique qu'on ne le croit. Et pas moins palpitante !
Très valorisé dans notre monde « raisonnable », le raisonnement n'est pas le seul moyen d'accéder à la vérité. Parfois introduit comme un prolongement du calcul, le raisonnement se révèle a posteriori d'une nature très différente : il ne repose pas sur une méthode systématique, de donne pas toujours une réponse, et sa cohérence ne peut pas être démontrée !
Mais comprendre la nature du raisonnement aide-t-il à raisonner ? Selon Gilles Dowek, la réponse est à trouver dans les propriétés mêmes du raisonnement ! La logique, quant à elle est une étape annoncée et nécessaire de la pensée déductive.
Les hommes se succèdent, de génération en génération. Pour les généticiens, ils sont les dépositaires du patrimoine génétique collectif. Selon les pressions exercées par le milieu, selon aussi leur comportement, ce patrimoine se transforme. Ce livre esquisse les modèles théoriques et précise les paramètres qui permettent de décrire cette évolution et de rendre compte des évolutions génétiques collectives.
Les connaissances récemment acquises sur le rôle des gènes et des mécanismes de leur transmission bouleversent notre regard sur nous-mêmes et nous fournissent des possibilités d'action totalement inédites. Pour Albert Jacquard, généticien et démographe, ces connaissances nouvelles - et les moyens d'action qu'elles nous donnent - nous obligent à poser la question de notre futur collectif : quels hommes voulons-nous être ?
L'ouvrage est paru pour la première fois dans la collection « Dominos-Flammarion », en 1994. Il est mis à jour et complété, notamment en ce qui concerne les grands changements induits par les manipulations génétiques et le clonage.
La chimie nous materne-t-elle ? Ou bien nous empoisonne-t-elle?
À ce dilemme familier, Pierre Laszlo trouve une issue. Notre société de consommation est la grande responsable des nuisances imputées à la chimie, à la fois science et industrie. Déjà capable de copier n'importe quelle substance naturelle, elle conçoit toutes sortes de nouvelles molécules, non seulement pour des médicaments, mais aussi pour en faire des machines à l'échelle du nanomètre. De plus, elle s'allie à la biologie pour inventer l'avenir de l'informatique.
Nourrir, vêtir, soigner, chauffer, transporter l'humanité, les 19 chapitres de ce livre nous permettent de faire la part des risques et des bienfaits d'une industrie trop peu connue.
Les sciences du climat font l'objet d'une médiatisation et d'une instrumentalisation politique extraordinaires. Les débats scientifiques et médiatiques nous interrogent : que savons-nous vraiment ? Que pouvons-nous affirmer et de quoi doutons-nous ? Question subsidiaire : les scientifiques nous disent-ils la vérité ?
Pour la communauté scientifique, il ne fait aucun doute que les activités humaines modifient la composition de l'atmosphère, ni que la surface de notre planète s'est globalement réchauffée depuis le début du xxe siècle. Mais nous vivons sur une planète finie : les ressources fossiles ne sont pas éternelles et les déchets s'accumulent. L'augmentation de l'effet de serre est-elle déjà en train de modifier le climat ? Est-ce le seul facteur qui va contrôler l'évolution du climat ? Quel serait le rythme naturel du climat ? Les scientifiques sont-ils capables de décortiquer les rouages de la machine climatique ? Comment se situe le changement climatique en cours vis-à-vis des turbulences passées ? Qu'est-ce qu'un changement climatique acceptable ? ce petit livre répond clairement à toutes ces questions autant qu'on peut y répondre !
Entretiens avec, par ordre d'apparition : Edgar Morin, Ilya Prigogine, Neil Gershenfeld, Daniel Mange, Jean-Louis Denebourg, Luc Steels, Christopher Langton, Francisco Varela, Brian Goodwin, Stuart Kauffman, Bernard Derrida, Yves Pomeau, Ivar Ekland, Gregory Chaitin, John Barrow, Laurent Nottale, Michel Serres.
Qu'il y a-t-il de commun entre la complexité d'un réseau informatique et celle des insectes sociaux ? Quelles sont les possibilités et les limites de l'intelligence artificielle ? L'humanité est-elle en train de donner naissance à une nouvelle forme de vie artificielle ?
Voici quelques-unes des questions fascinantes que soulèvent ces histoires de sciences, dont l'ambition est de montrer toutes les richesses que la notion de complexité a pu suggérer aux chercheurs depuis une trentaine d'années.
Le livre dresse en outre une galerie de portraits de chercheurs scientifiques à travers laquelle transparaît la qualité des témoignages et surtout la diversité des éclairages recueillis. Derrière quelques-uns des plus grands noms de la science actuelle, des hommes se profilent, montrant leurs sensibilités, leurs différences (et en certains endroits leurs désaccords), leurs limites et leurs espoirs. C'est finalement sa propre histoire que chacun raconte de la sorte, sous le regard tantôt complice tantôt critique de Réda Benkirane.
Cette édition est introduite par une préface de Réda Benkirane où il resitue le livre par rapport à l'état actuel des recherches sur la complexité.
Remarquablement documenté, cet ouvrage décrypte la stratégie qui a été mise en place, en Amérique du Nord, pour semer le doute, dans le grand public et parmi les élus, dès lors qu'une réglementation environnementale était envisagée. Le livre témoigne de l'importance des faits scientifiques dans le débat public, et conduit à une réflexion profonde sur la vulnérabilité de notre société face aux « marchands de doute ».
Où l'on découvre que le plus grand physicien de tous les temps était non seulement un amateur d'alchimie et d'ésotérisme, mais aussi qu'il a puisé son oeuvre à leurs sources !
La théorie de la gravitation universelle telle qu'elle est exposée dans Les Principes mathématiques de la philosophie naturelle est une oeuvre puissamment rationnelle qui fit de Newton le fondateur incontesté de la physique moderne.
L'alchimie, faite de symboles, d'allégories, de parcours initiatiques et d'hermétisme, fut l'un de ses principaux sujets d'études. Il eut une autre hantise, et non des moindres : la quête de la Vraie religion, celle du Dieu unique qui, selon lui, se manifestait tout autant dans la révélation faite à Moïse, que dans le culte païen de Vesta ou dans les prophéties de Daniel.
La rigueur et la rationalité d'une théorie physique sont-elles incompatibles avec l'ésotérisme auquel Newton s'est intéressé tout au long de sa vie de chercheur, ou bien doit-on voir là simplement deux facettes contradictoires de la personnalité du grand Newton ?
Jean-Paul Auffray va plus loin : il propose l'hypothèse, révolutionnaire, que l'oeuvre de Newton physicien est l'aboutissement de la pensée de Newton alchimiste. Le fondateur de la physique moderne serait-il avant tout « le dernier des magiciens » ?
Farouki est philosophe et historienne des sciences ; Jean-Michel Alimi, astrophysicien, Gilles Dowek, mathématicien et Laurence Rolland, biologiste.
Une philosophe et trois scientifiques nous offrent une introduction accessible et impertinente à la science, tout en ouvrant, sous la forme d'interrogations philosophiques, une réflexion particulièrement féconde. La science a quelquefois avoué son ignorance, parfois changé d'avis, le plus souvent oscillé entre le doute et l'affirmation catégorique. Mais l'un des moments les plus riches est sans doute celui où elle a choisi de dire : "C'est impossible !"
Étienne Klein est physicien au Commissariat à l'Énergie atomique (CEA) et docteur en philosophie des sciences. Il est entouré de Gabriel Chardin, physicien, Gilles Dowek, mathématicien et informaticien, Marc Lachièze-Rey, physicien et cosmologiste, et Hervé This, chimiste.
Pour le scientifique, toute rencontre avec le bizarre est une aubaine : elle l'oblige à regarder plus loin, à penser plus haut, à faire preuve d'audace, à dépasser ses idées reçues, à inventer de nouveaux concepts. Mais la science ne fait pas que consommer du bizarre, elle en produit également. Ce livre expose un certain nombre de situations bizarres que la science a rencontrées ou produites, tirées de quatre disciplines : les mathématiques, la physique, la cosmologie et la chimie. Puis cherche à comprendre l'ensemble des rôles que la bizarrerie peut être amenée à jouer dans son histoire.
En 2000, le clay institute annonça l'ouverture d'une compétition historique : quiconque résoudra l'un des sept problèmes mathématiques non encore résolus à ce jour et jugés comme les plus difficiles et les plus importants du siècle gagnera un million de dollars ! cent ans plus tôt, le mathématicien david hilbert avait déjà proposé un ensemble de vingt-trois problèmes qui occupèrent largement les mathématiciens du xxe siècle.
Les problèmes du troisième millénaire choisis par un comité international de mathématiciens reconnus sont de même stature et leurs solutions (ou leur absence de solution) joueront un rôle déterminant non seulement en mathématiques, mais pour les sciences en général. dans ce livre à la fois fascinant et accessible à tout lecteur qui peut se rappeler un peu des mathématiques apprises au lycée, keith devlin présente avec beaucoup de clarté ces " everest " des mathématiques contemporaines qu'il reste à grimper !
En 2000, la fondation Clay annonça l'ouverture d'une compétition historique :
Quiconque résoudra l'un des sept problèmes mathématiques extraordinairement difficiles - choisis par un comité international de mathématiciens reconnus - et dont la solution sera confirmée par les experts, gagnera 1 million de dollars !
100 ans plus tôt, le mathématicien David Hilbert avait déjà proposé un ensemble de 23 problèmes qui occupèrent l'agenda des mathématiciens au XXème siècle.
Les problèmes du 3ème millénaire sont de même stature et leurs solutions joueront un rôle déterminant dans le cours des mathématiques du XXIème siècle.
Dans ce livre, Keth Devlin nous présente avec beaucoup de clarté les Everest des mathématiques contemporaines qu'il reste à grimper ! A la fois fascinant et accessible à tout lecteur qui peut se rappeler un peu des mathématiques apprises au lycée.