Ce livre raconte le voyage d'une goutte d'eau nommée Kaplia (qui veut dire goutte d'eau en russe).
Ce voyage va se révéler bien plus étonnant qu'on ne pourrait s'y attendre.
Tantôt la voilà qui vole sur un nuage, tantôt qui se fait avaler par une baleine dans l'océan, tournoie au-dessus de la ville, devient arc en ciel ou rosée du matin...
Chacun a besoin de la voir apparaître mais voilà qu'elle se fait parfois vapeur, brume ou boule de neige.
Kaplia nous entraîne avec elle dans un drôle de parcours plein de joyeux rebondissements, dans le ciel et l'océan, en ville et sous terre...
Un livre pour découvrir les états et les transformations de l'eau, son importance pour la nature et pour l'homme.
Olia se transforme toute les fois où cela ne va pas, en poule, en éléphant, en chiot, en ours, ou en oiseaux des îles... et puis l'orage éclate.
Voilà ce que dit elle-même Olga Sedakova de la création de son premier livre pour enfants: « Quand nous passions l'été à la campagne, ma nièce Dacha venait me réveiller tous les matins. elle venait d'avoir 5 ans et nous avions fêté son « jubilée » par une représentation du Calife Cigogne de W.Hauff en théâtre d'ombres de fabrication maison. Le thème des métamorphoses était donc dans l'air. Pour retarder le moment désagréable de la sortie du lit, je me mettais à lui parler sans trop réaliser dans mon demi-sommeil ce que disais vraiment. Alors un matin, je lui raconté ces histoires de métamorphoses. Quand je me suis réveillée pour de bon, Dacha a réclamé que j'écrive tout ce que j'avais dit.
Gabriella Giandelli illustre avec la plus grande tendresse ce livre d'extraordinaires métamorphoses, ce conte qui ressemble à une fable ou une fable qui ressemble à un conte. Un livre qui permet aux enfants de se sentir adultes et aux adultes de se sentir à nouveau enfants.
On a beau faire, quelquefois, c'est comme si on avait le monde entier contre soi. Et au collège plus qu'ailleurs. Jugez un peu : Un cahier enfoui pour cacher de mauvaises notes ; le chien du proviseur, Eschyle, qui le déterre pour jouer ; des professeurs qui ont tout sauf le sens de l'humour et de la mesure, et qui tous me désignent comme coupable ; aussitôt, c'est la menace d'une exclusion définitive.Mais à Odessa, en 1895, être exclu du collège, cela veut dire être mis à l'écart de la société. C'est presque être condamné à mort. Alors, moi qui aime apprendre, moi qui veux apprendre, comment pourrais-je échapper à une telle sentence ?
Adjeï, 10 ans, vit en Amérique. Son père est originaire d'Inde et sa mère de Russie. Sa grand-mère russe vit très-très-très loin... à Moscou. Mais tous deux s'écrivent. Au fil de leurs lettres farfelues, ils inventent un nouveau conte de Baba Yaga. Et peu à peu, la grand-mère parle à son petit-fils de son enfance particulière...