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L'Escalier
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Vallée de la Seine en février ; je vais vers Rouen pour la première fois de ma vie.
La Seine c'est mon doux fleuve ni bleu ni vert, une part de mon enfance ; je connais ses courbes longues, son cours paisible parcouru d'écluses et de petites îles vertes abandonnées à un éternel Grand Meaulnes ; j'ai traversé ses ponts, de Monterault-Fault-Yonne jusqu'à Paris ; je connais son odeur fraîche et huilée de poissons sombres et doux.
Vous découvrez ici une série de recueils d'images photographiques dont le propos n'est pas de mettre en avant le sujet choisi d'une façon esthétique traditionnelle, mais de le laisser tel quel, tel que le regard de tout un chacun peut le percevoir.
Ce sont les paysages où nous passons notre vie, tous, qu'ils soient urbanisés ou pas, tels que je les fige avec mon appareil photo. Défauts, laideur, émotion, beauté propre ou composée, tout surgit de lui-même à l'évidence, sans que cela ait été précédé d'une réflexion de prise-de-vue. C'est un choix qui a fini par s'imposer de lui-même en moi, au fil des années que j'ai passées à faire des images.
Je vous montre là ce que vous-même voyez, parfois sans y prendre garde ou sans chercher à le retenir, parce que j'ai mesuré combien nos regards anodins participent à notre mémoire et lucidité collective. SDD. -
Vous découvrez ici une série de recueils d'images photographiques dont le propos n'est pas de mettre en avant le sujet choisi d'une façon esthétique traditionnelle, mais de le laisser tel quel, tel que le regard de tout un chacun peut le percevoir.
Ce sont les paysages où nous passons notre vie, tous, qu'ils soient urbanisés ou pas, tels que je les fige avec mon appareil photo. Défauts, laideur, émotion, beauté propre ou composée, tout surgit de lui-même à l'évidence, sans que cela ait été précédé d'une réflexion de prise-de-vue. C'est un choix qui a fini par s'imposer de lui-même en moi, au fil des années que j'ai passées à faire des images.
Je vous montre là ce que vous-même voyez, parfois sans y prendre garde ou sans chercher à le retenir, parce que j'ai mesuré combien nos regards anodins participent à notre mémoire et lucidité collective. SDD. -
Vous découvrez ici une série de recueils d'images photographiques dont le propos n'est pas de mettre en avant le sujet choisi d'une façon esthétique traditionnelle, mais de le laisser tel quel, tel que le regard de tout un chacun peut le percevoir.
Ce sont les paysages où nous passons notre vie, tous, qu'ils soient urbanisés ou pas, tels que je les ?ge avec mon appareil photo. Défauts, laideur, émotion, beauté propre ou composée, tout surgit de lui-même à l'évidence, sans que cela ait été précédé d'une ré?exion de prise-de-vue. C'est un choix qui a ?ni par s'imposer de lui-même en moi, au ?l des années que j'ai passées à faire des images.
Je vous montre là ce que vous-même voyez, parfois sans y prendre garde ou sans chercher à le retenir, parce que j'ai mesuré combien nos regards anodins participent à notre mémoire et lucidité collective. SDD. -
Vous découvrez ici une série de recueils d'images photographiques dont le propos n'est pas de mettre en avant le sujet choisi d'une façon esthétique traditionnelle, mais de le laisser tel quel, tel que le regard de tout un chacun peut le percevoir.
Ce sont les paysages où nous passons notre vie, tous, qu'ils soient urbanisés ou pas, tels que je les ?ge avec mon appareil photo. Défauts, laideur, émotion, beauté propre ou composée, tout surgit de lui-même à l'évidence, sans que cela ait été précédé d'une ré?exion de prise-de-vue. C'est un choix qui a ?ni par s'imposer de lui-même en moi, au ?l des années que j'ai passées à faire des images.
Je vous montre là ce que vous-même voyez, parfois sans y prendre garde ou sans chercher à le retenir, parce que j'ai mesuré combien nos regards anodins participent à notre mémoire et lucidité collective. SDD. -
D'un bout à l'autre de l'État de New York, les rues sont un pâle reflet de l'Amérique.
Entre lumières, violences, cris, rires, exubérances et pauvreté, le changement de réalité est difficile. Jusqu'au bout, j'ai été étonné des différences entre
le côté d'une rue et d'une autre, entre deux quartiers vidés de leurs sens par la gentrification, entre mon Amérique et cette Amérique.
Loin des clichés habituels, mon chemin s'est voulu comme une succession rapide d'images qu'il m'a fallu assimiler.
Au fil de ces instants le regard change, l'image prend forme et devient une réalité excessive. Rendue tellement belle par ses outrances.