200 pages lignées en papier creme avec un élastique et des rivets pour le maintenir.
Une couverture vintage sur une affiche de Guy Georget en 1960.
Sphères Régions est un magazine de collection trimestriel dont l'objectif est d'explorer, tous les trois mois, un peuple différent. Pour le 4e numéro, nous traiterons d'une communauté estivale Sur 100 pages, nous rencontrons ceux qui font l'âme de cette communauté pour sortir des marronniers et clichés réguliers qui les représentent. Le principe : prendre le temps de rencontrer les grandes personnalités et les anonymes de cette communauté pour raconter qui ils sont et mieux comprendre leur rapport à leur région, à la société et à la France.
Quand ça ne tourne pas rond, il faudrait se voir prescrire l'obligation de parcourir un GR, un chemin de grande randonnée. À écouter ceux qui suivent les sentiers, douaniers ou d'altitude, les pas semblent escortés naturellement par un supplément de sagesse. Dans un coin du Panama, on ne s'y est d'ailleurs pas trompé. Là-bas, pas de prison. Une loi locale impose plutôt à celui qui a commis un délit de s'acquitter de plusieurs jours de marche. « Imaginez donc la confusion quand j'expliquais que je traversais l'ensemble du territoire à pied », écrit la voyageuse Anne Bécel qui contait dans Bouts du monde sa traversée du pays.
Les voyages à pied au long cours sont une plongée dans l'inconnu de l'heure qui vient. Que vais-je trouver au coin du bois ? Où vais-je planter ma tente ce soir ? Quel temps fera-t-il demain ? Peu importe. Quand la mécanique implacable de la marche se met en branle, l'esprit prend le pas sur les contingences matérielles, et le randonneur éprouve le sentiment grisant de la déconnexion.
Avant cela, il déplie des cartes géographiques pour y déceler des itinéraires. Il n'en manque pas puisqu'il suffit de relier un point A à un point B pour réaliser un chemin de randonnée. Les projets, ainsi, peuvent être sans limites. François Remodeau a tracé un trait tout droit, le long du méridien de Greenwich, en se disant qu'il y avait là matière à réaliser une première : personne n'avait jamais pensé à suivre à pied, sans s'en éloigner de plus de quelques degrés, cette ligne géographique qui sépare l'Est et l'Ouest.
Le chemin de Nicolas Darricau fut tout l'inverse : longer strictement le littoral français entre la Belgique et l'Espagne. Il a d'abord douté des relevés qui mentionnaient un parcours de quatre mille kilomètres, puis il a longé les criques et les estuaires, les golfes et les presqu'îles.
La carte qu'a dépliée Christophe Vesco était encore plus grande. Au sud, il a pointé le détroit de Gibraltar, et tout en haut sur la carte, il a marqué le cap Nord. Six cents jours de marche et d'introspection entre l'extrême Sud et l'extrême Nord de l'Europe.
Une semaine suffit pour prendre la clé des champs. Cela a permis à Marie Demont de ressentir l'ivresse de la liberté sur les chemins et routes du Lot. Ou bien à Adeline Terpo sur le chemin de Stevenson. Bouts du monde n° 55 arpente largement les chemins de grandes randonnées en France. Les GR5, GR10, GR20 ou GR34 annoncent la promesse de l'été et sont devenus des noms presque familiers, tout comme les petits traits blanc et rouge qui les jalonnent.
Mais se mettre en marche n'est pas si simple. Il y a tant de choses à apprivoiser. La géographie, l'espace, l'improvisation, la solitude, l'effort. Lucie Raynal s'y est reprise à deux fois avant d'accomplir sa traversée des Pyrénées. La première tentative d'Ouest en Est fut un échec. Il lui fallait absolument repartir, dans l'autre sens. Qu'aurait-elle bien pu faire sinon ?
Le retour du Tour de France Depuis 120 ans, le peloton du Tour de France arpente régulièrement les routes de Nouvelle-Aquitaine, écrivant l'histoire de la plus prestigieuse course cycliste au monde. Saviez-vous que la première édition avait été parcourue de rumeurs de pots-de-vin ? Qu'il avait fallu douze éditions pour que le Dacquois André Darrigade, pourtant meilleur sprinteur de sa génération parvienne à dompter le vélodrome de Bordeaux ? Que le premier contrôle anti-dopage avait eu lieu dans la capitale girondine ou que la ville de Pau faisait partie des rares candidates d'office pour l'accueil du Tour. Plongée dans les coulisses d'un rendez-vous devenu patrimoine commun.
Sarah Bernhardt à Andernos - Les coulisses d'une guérison Quand Sarah Bernhardt rencontre Samuel Pozzi, elle ignore que cette passion fulgurante se transformera non seulement en amitié sincère, mais aussi que le jeune médecin deviendra son ange gardien. Après avoir supporté de terribles douleurs à la jambe pendant de longues années, la tragédienne se rend à Dax en cure, puis à Andernos où elle trouve refuge après la déclaration de la Première Guerre mondiale. À sa demande et sous le contrôle de son ami, elle est amputée à Bordeaux. Après 18 mois de convalescence en Gironde, elle remonte sur les planches pour la première fois à Andernos, le 15 août 1915. Pour Le Festin, la famille Bourdet, descendante de Pozzi, a ouvert ses archives privées et la correspondance entre la Divine et celle qu'elle surnommait son « Docteur Dieu ».
Le pays des cabanes de plage Situées en bord de côte ou les pieds dans le sable, avec des vues imprenables sur l'océan elles sont une image de l'esprit du Pays basque, un morceau de la carte postale, eldorado pour les estivants et plaisir toujours renouvelé pour les habitants. Paillottes apéritives ou spots branchés, elles s'affirment dans leur diversité. À l'heure où dans les Landes cabanes de restauration et d'école de surf se voient sommées de quitter le domaine public et de remballer leurs transats, tour d'horizon de ces lieux de convivialité emblématiques du littoral basque.
Il y a 100 ans La naissance d'Hossegor En 1923 débutait l'aventure d'Hossegor, avec l'urbanisation des terrains reliant l'océan au bourg de Soorts. Entre lac et mer, au milieu des pins, la nouvelle station balnéaire moderne fonda son image sur un régionalisme architectural élaboré. D'abord dédié à une vie pastorale traditionnelle, célébrée comme un éden par quelques hommes de lettres, Hossegor grandit sous l'impulsion de personnalités entreprenantes comme Alfred Eluère, homme d'affaires et grand sportif. Entretien avec Claude Laroche, à l'origine de la reconnaissance du patrimoine hossegorien au début des années 1990.
Dans l'intimité du phare de Cordouan Le phare de Cordouan protège les marins des dangers de l'estuaire de la Gironde depuis plus de quatre siècles. Soumis à la violence des éléments, il est aujourd'hui entièrement restauré, au terme de 10 années d'un chantier colossal. Après la reconstruction, en 2005, d'une cuirasse en béton armé à l'extérieur du bâtiment annulaire abritant les locaux techniques et le logement des gardiens, les dernières années ont été consacrées à la tour centrale et à la restauration des intérieurs. Les équipes ont mené un important travail de préservation des pierres dégradées par le sel tandis que dans la chapelle, les couches de peinture à l'huile qui étouffaient les murs ont été retirées.
Construit au XIXe siècle sur les ruines d'un ancien hôpital, le château Descas a d'abord été dédié au commerce du vin. Son propriétaire, Jean Descas, vendait des vins aux marchés français, des produits abordables plutôt que des bouteilles destinées aux élites et à l'export. Ainsi le château a-t-il accueilli jusqu'à 1,5 million de bouteilles. En 1979, la famille Descas quitte les lieux. Cabaret, club puis bar à cocktails, l'histoire du château a connu de nombreux épisodes. Le dernier en date, le Point Rouge, offre au visiteur l'opportunité de découvrir une partie de l'aile droite tandis que le reste des 10 000 m2 attendent de pouvoir ouvrir au public.
L'invraisemblable construction de Fort Boyard Devenu le fort le plus célèbre de France grâce à l'ingéniosité de ses bâtisseurs et l'imagination d'hommes de télévision, son incroyable histoire est finalement peu connue. 66 000 m3 de moellons furent nécessaires à en créer la base sous Napoléon Ier. Mitraillé par les Anglais, le chantier reprit finalement en 1842, mais de nombreuses difficultés durent encore être résolues : l'approche par bateau demeurait notamment plus que périlleuse. Terminé sous Louis-Philippe, le fort renaîtra bien plus tard, dans les années 1960, grâce au cinéma puis au petit écran et à l'intuition de Jacques Antoine. En 32 ans, plus de 350 émissions y ont été tournées et 70 pays en ont diffusé les épisodes ou des répliques tournées à l'étranger, où le fort est presque aussi connu que la Tour Eiffel.
Sur la passerelle d'Holzarte Entre la France et l'Espagne, dans l'arrière Pays Basque, la Haute-Soule déploie ses paysages de forêts, de pâturages, de rivières et de gorges vertigineuses. La commune de Larrau y abrite un site particulièrement spectaculaire : celui des gorges d'Olhadubi traversées par la passerelle d'Holzarte, longue de 70 m et suspendue à 180 m au-dessus du sol. L'histoire de la passerelle remonte à 1920. Jusqu'alors, les bûcherons et les ouvriers du bois devaient contourner les gorges pour acheminer les troncs d'arbres à travers la vallée. Traversée par les hommes et leurs mulets chargés de bois, elle facilita toute l'activité de la filière, avant d'être prisée des contrebandiers cherchant un passage entre la Fr
101 sites et monuments, soit autant de prétextes pour partir à la rencontre des joyaux des Landes. À travers son remarquable patrimoine bâti, au détour de son étonnant folklore, au fil de ses rivières sinueuses, au plus profond de sa pinède secrète et jusqu'au sommet de ses dunes, ce hors-série explore, arpente et célèbre l'incroyable diversité du territoire landais : de la Grande Lande à la Chalosse, du pays de Born au Tursan, de la Maremme au pays d'Orthe, vous êtes ici conviés à une foisonnante balade culturelle au coeur de la Gascogne.
À travers une sélection d'architectures et de lieux remarquables, ce nouveau hors-série du festin met en lumière toute la richesse artistique, culturelle et patrimoniale des Landes. Il revisite les « grands classiques » (clocher-porche de Mimizan, abbaye d'Arthous, villa Mirasol, musée Despiau-Wléricq, l'hôtel Splendid de Dax...), invite à la découverte de lieux insolites, secrets ou peu connus (chapelle Sainte-Thérèse de Labenne, réserve naturelle du Courant d'Huchet, château Woolsack au lac d'Aureilhan, chapelle de Bouricos...), publics et privés, qui racontent ce territoire haut en couleur.
Le succès de la collection des « 101 sites et monuments » Depuis plus de trente ans, la revue le festin permet à un large public de découvrir les richesses artistiques de la Nouvelle-Aquitaine. Elle est aujourd'hui reconnue comme la première publication culturelle et touristique de la région. Les titres de la formule en « 101 sites et monuments » (Bordeaux, le Périgord, le Pays Basque, La Rochelle ou le Bassin d'Arcachon...) font l'objet de rééditions continues. Ainsi, plus encore que des best-sellers, ces numéros sont devenus de véritables long-sellers...
Chacun des 101 sites retenus est mis en lumière par une notice claire et détaillée, rédigée par des spécialistes, et illustrée par des photographes de talent.
- Une souplesse dans le rubriquage qui permet une découverte immédiate du patrimoine culturel avec un vocabulaire précis et accessible.
- Son concept : permettre aux lecteurs de parfaire leurs connaissances sur un patrimoine dont ils ne possèdent pas toujours les clés, ou bien d'en découvrir les aspects insoupçonnés.
Des notices complétées par des focus et des dossiers pour GERS une lecture dynamique et une approche didactique : des curiosités patrimoniales, des spécificités du territoire, etc.
- Le mélange réussi d'un livre riche et très illustré que l'on conserve longtemps et d'un guide utilisable au quotidien pour découvrir les lieux et initier des balades imprévues.
Réalisé par les meilleurs artistes de l'époque (Le Vau, Le Brun et Le Nôtre) et destiné au Roi-Soleil, Versailles est le symbole du rayonnement français. La pierre, le marbre, la peinture servent tous à magnifier la « personnalité royale », de Louis XIV à Marie-Antoinette.
Le hors série Terres Insulaires est une invitation à la découverte de la revue îL(e)s et des univers si particuliers que sont les îles du Ponant.
IL(e)S est une revue de photo journalisme entièrement consacrée à la vie sur les îles du Ponant, de l'archipel de Chausey, au large de Granville, à l'île d'Aix, au sud de la Rochelle.
Revue de très haute qualité à laquelle participent 6 à 7 photographes indépendants par numéro, IL(e)S cherche à apporter un autre regard sur ces territoires isolés et la vie de leurs habitants. Très éloignée des images cartes postales que l'on véhicule parfois, notre revue veut prendre le temps de raconter les îles de l'intérieur, et à toutes les saisons.
IL(e)S est une revue de photo journalisme entièrement consacrée à la vie sur les îles du Ponant, de l'archipel de Chausey, au large de Granville, à l'île d'Aix, au sud de la Rochelle.
Revue de très haute qualité à laquelle participent 6 à 7 photographes indépendants par numéro, IL(e)S cherche à apporter un autre regard sur ces territoires isolés et la vie de leurs habitants. Très éloignée des images cartes postales que l'on véhicule parfois, notre revue veut prendre le temps de raconter les îles de l'intérieur, et à toutes les saisons.
IL(e)S est une revue de photo journalisme entièrement consacrée à la vie sur les îles du Ponant, de l'archipel de Chausey, au large de Granville, à l'île d'Aix, au sud de la Rochelle.
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IL(e)S est une revue de photo journalisme entièrement consacrée à la vie sur les îles du Ponant, de l'archipel de Chausey, au large de Granville, à l'île d'Aix, au sud de la Rochelle.
Revue de très haute qualité à laquelle participent 6 à 7 photographes indépendants par numéro, IL(e)S cherche à apporter un autre regard sur ces territoires isolés et la vie de leurs habitants. Très éloignée des images cartes postales que l'on véhicule parfois, notre revue veut prendre le temps de raconter les îles de l'intérieur, et à toutes les saisons.
IL(e)S est une revue de photo journalisme entièrement consacrée à la vie sur les îles du Ponant, de l'archipel de Chausey, au large de Granville, à l'île d'Aix, au sud de la Rochelle.
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IL(e)S est une revue de photo journalisme entièrement consacrée à la vie sur les îles du Ponant, de l'archipel de Chausey, au large de Granville, à l'île d'Aix, au sud de la Rochelle.
Revue de très haute qualité à laquelle participent 6 à 7 photographes indépendants par numéro, IL(e)S cherche à apporter un autre regard sur ces territoires isolés et la vie de leurs habitants. Très éloignée des images cartes postales que l'on véhicule parfois, notre revue veut prendre le temps de raconter les îles de l'intérieur, et à toutes les saisons.
Du Médoc aux Graves, en passant par le Pessac-Léognan jusqu'au Sauternais, cette route des châteaux vous dévoile un patrimoine oenotouristique et architectural exceptionnel avec ses propriétés viticoles, châteaux et demeures anciennes, enrichi récemment de chais contemporains signés de grands noms de l'architecture.
Le Festin vous propose ici un véritable guide à travers l'histoire, les appellations et les grands crus de la rive gauche. Chaque château s'accompagne d'un focus sur le vin produit et des conseils sur les sites d'intérêt patrimonial avoisinants. Il sera suivi en octobre 2019 par un hors-série consacré au patrimoine viticole de la rive droite.
Un tour d'horizon en 101 châteaux à (re)découvrir sans modération !
Nombreux sont les héros de roman dont les aventures ont Paris pour cadre.
Pour asseoir leur authenticité, les romanciers leur prêtent une vie on ne peut plus réelle dans la grande cité, les mêlent à des évènements faisant partie de l'histoire de Paris, leurs pas croisent des hommes et des femmes ayant réellement existé. L'occasion pour nous de décrire les Paris de dix périodes successives, de retrouver les adresses fréquentées par ce monde imaginé par Dumas, Zola, Balzac ou Tardi. Cette nouvelle édition suit les pas de D'Artagnan, de Cyrano, de Monte- Cristo, de Rastignac, de Bel Ami, comme de Maigret ou d'Arsène Lupin, tous personnages exploités au cinéma ou à la télévision. Puis vinrent des grands dessinateurs de BD dont les héros ont Paris pour repaire ou lieu d'action : Adèle Blanc-Sec, Nestor Burma ou Black et Mortimer dans un Paris des catacombes dans L'Affaire du Collier...
L'occasion de dîner dans un les bistrots préférés de Maigret, de suivre Swann au Bois de Boulogne...
L'été débute pour Le Festin à la rambarde de l'une des deux cabanes tchanquées du Bassin d'Arcachon (Gironde), ouverte exceptionnellement par son dernier occupant, après près d'un demi-siècle de vie familiale, avant sa restauration annoncée. Du littoral, le charme de Saint-Jean-de-Luz et de Ciboure (Pays basque) se dévoilera au travers d'un portrait de ville alors que les clichés du photographe Fernand Braun nous replongeront au temps où le balnéaire vivait ses premières heures sur la côte charentaise (Charente-Maritime). À l'ombre des pins et des chênes centenaires de Marquèze (Landes), les origines de l'airial seront dévoilées à l'occasion de son cinquantième anniversaire.
Plébiscités par des milliers de visiteurs chaque été, les châteaux de Larochefoucault (Charente) et de Bourdeilles (Dordogne) livreront les secrets d'une histoire surprenante, loin d'être achevée. Les insolites décors du château aux assiettes de Bias (Lot-et-Garonne) et ceux de la maison de la Gaité à Chérac (Charente-Maritime) témoigneront quant à eux du dynamisme d'associations locales engagées dans la sauvegarde d'un patrimoine hérité de l'art populaire largement méconnu.
Un parcours autour des portes de Bordeaux (Gironde), autour du patrimoine thermal de La Roche-Posay (Vienne) ainsi qu'un détour par le quartier du Hédas à Pau (Béarn) illustreront à quel point le tourisme urbain séduit de plus en plus d'adeptes. Enfin, l'histoire du village martyr d'Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne), reconstruit après la guerre, ancrera la dimension d'un tourisme mémoriel, constitutif d'une identité européenne.
Le 3e numéro de Pays prend place dans le quartier parisien de Belleville. À cheval sur quatre arrondissements - les Xe, XIe, XIXe et XXe - ce carrefour de l'Est de la capitale rassemble une multitude de réalités. Terre d'accueil, fief de rebelles en tout genre, la communarde commune rattachée à Paris en 1860 est aussi populaire. Du moins, l'était, jusqu'à ce qu'une nouvelle population s'installe et fasse grimper les prix de l'immobilier. Dans ce territoire gentrifié où se croisent et s'entrecroisent les communautés, nous suivrons des jeunes rappeurs rêvant de briller ou des artistes en quête d'ateliers à prix raisonnables. Nous verrons aussi des habitant·es occupant un immeuble pour éviter la spéculation immobilière et des travailleuses du sexe chinoises qui souhaitent se faire accepter dans le quartier. Du haut de la colline au bas Belleville, de Minelle la chanteuse au club de football antifa nous raconterons la diversité et les fractures qui sillonnent ce village dans la cité.
Résultat d'un minutieux inventaire du patrimoine couvrant plus de huit siècles, cet ouvrage présente dans leur contexte historique et topographique de nombreux édifices caractéristiques de cette partie orientale de la vallée du Loir sarthoise.
Traversé par la rivière du Loir et bordé de coteaux plantés de vigne, l'ancien canton de La Chartre-sur-le-Loir regroupe autour de cette petite ville les communes de Beaumont-sur-Dême, Marçon, Chahaignes, Lhomme et Loir-en-Vallée (Ruillé-sur-Loir, Poncé-sur-le-Loir, Lavenay et La Chapelle-Gaugain).
Ce territoire vallonné présente un patrimoine d'une variété et d'une richesse étonnantes : églises paroissiales ornées de peintures monumentales, moulins d'origine médiévale, fermes anciennes, demeures « à la manière de la villégiature », ou éléments liés à l'activité toujours vivace de la vigne et du vin.
De la fin du XVe au début du XVIIe siècle, une intense activité architecturale s'est emparée de cette vallée qui prolonge le Val de Loire. Les familles Ronsard et du Bellay ont laissé leur empreinte à La Chapelle-Gaugain et à Lavenay, tandis que le château de Poncé, construit autour de 1540-1544, constitue un témoignage exceptionnel de l'architecture et du décor sculpté de la Première Renaissance.
La collection « Images Patrimoines en région » présente les résultats des études d'inventaire général du patrimoine culturel menées par la Région des Pays de la Loire et ses partenaires.
Du Bassin à la forêt usagère de La Teste-de-Buch, des territoires les plus huppés d'Arcachon ou du Cap-Ferret aux contrées les plus préservées, le Bassin d'Arcachon se dévoile à travers une mosaïque de saveurs, de formes, de goûts, de styles et d'impressions qui rendent cet espace poétique unique au monde. Cette nouvelle formule offre un reflet généreux et dynamique de ce paradis lacustre où Grande et petites histoires se bousculent joyeusement.
Une carte sur laquelle se confrontent les différentes conceptions cosmologiques qui ont marqué l'histoire jusqu'au xviiie siècle, de Ptolémée et Tycho Brahé à Galilée, du géocentrisme à l'héliocentrisme.
Ce numéro spécial vous fera voyager du sommet du phare de Cordouan aux profondeurs de la mystérieuse église monolithique d'Aubeterre-sur-Dronne, déambuler dans les salons de l'hôtel de Ville de La Rochelle ou d'Angoulême, dans l'exceptionnelle galerie du château d'Oiron, à l'ombre des baies du cloître de Cadouin, explorer les coulisses du théâtre Blossac de Châtellerault, les décors de la villa Arnaga à Cambo-les-Bains, l'impressionnant mur de lumière du Splendid hôtel à Dax, parcourir la voûte romane peinte de l'abbatiale de Saint-Savin sur Gartempe, les salles de la cité internationale de la tapisserie d'Aubusson, le boulevard des Pyrénées à Pau et ses formidables points de vue, et bien plus encore...
Si le patrimoine bâti a fait l'histoire de la revue, la richesse des musées régionaux a elle aussi contribué à de nombreuses (re)découvertes, des maîtres régionaux aux grandes figures de l'histoire de l'art. Ainsi, le festin vous propose son « musée imaginaire » mêlant chefs-d'oeuvre, coups de coeur et réalisations inédites regroupant dans un seul et même musée : Michel-Ange, Gustave Moreau, Jeff Koons, Pierre et Gilles, Camille Claudel, Jean-Auguste-Dominique Ingres, Gustave Doré, Edgar Degas, Philippe Starck, Eugène Delacroix... pour ne citer qu'eux.