La mise en oeuvre coloniale qui en a été faite a fortement discrédité le concept d'universalisme sur le plan politique. Dans le même temps, les idéaux d'une société mondiale cosmopolite, qui vont de pair avec lui, font l'objet d'attaques toujours plus vives des forces nationalistes. Que reste-t-il des idéaux universalistes dans le monde postcolonial ? Comment trouver après l'universalisme européen les approches d'une nouvelle universalité sans laquelle il est impossible d'organiser connaissance et justice dans la société mondiale ? Cette question apparaît comme un problème de mise en forme narrative du monde, ce que certains auteurs de langue française illustrent magnifiquement, à l'instar de Mathias Énard ou Léonora Miano, Camille de Toledo ou Wajdi Mouawad.
Dans la Recherche du temps perdu, Odette et Swann ne disent pas « faire l'amour » mais « faire catleya » : ils recourent à ce que Proust appelle une « langue moins générale, plus personnelle, plus secrète que la langue habituelle ». De même, dans ses lettres à sa fille, Mme de Sévigné invente une langue à part, un chiffre amoureux et secret qu'elle confectionne à partir de citations, de mots étrangers et d'expressions en tout genre.
Durant un quart de siècle (1671-1696), cette langue lui permit d'exprimer de manière spirituelle, authentique et profonde une passion hors du commun que la prose classique était inapte à dire.
Par ailleurs, tout en constituant la clef de voûte des Lettres, cette langue répondait, sans doute pour la première fois dans l'histoire, aux exigences fondamentales du genre épistolaire : celles d'être une « conversation entre absents » et un « miroir de l'âme ». Elle apparaît ainsi à la fois comme le ressort essentiel de l'oeuvre et le couronnement du genre : comme le secret d'une poétique personnelle - celle de Mme de Sévigné - et la clef d'une poétique générique - celle de la lettre
La rhétorique est l'art de persuader par le discours. C'est aussi la théorie de cet art, créée par les Grecs et constitutive de notre humanisme. Après une longue éclipse, elle est revenue en force de nos jours, au point qu'on l'étend à l'image, au film, à la musique, à l'inconscient.
Cette " introduction " se propose cinq objectifs :
1. Une présentation du " système " rhétorique à partir de sa genèse, depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours.
2. Un exposé méthodique des procédés rhétoriques, figures, arguments, types d'argumentation, etc.
3. Une application : la " lecture rhétorique " de textes très divers, montrant ces procédés à l'oeuvre.
4. Un index-glossaire. Ainsi, si l'on veut savoir ce qu'est une hyperbole ou un sophisme, on s'y reportera pour trouver ensuite dans le corps du livre des analyses et des textes contenant ces procédés.
5. Une philosophie de la rhétorique qui, partant du fait qu'on ne peut s'en passer, tente de montrer pourquoi.
" le linguiste moderne qui fait une étymologie ne cherche pas le sens réel du mot, ni même le sens qu'il a eu dans le passé, mais s'efforce de suivre enchaînement des faits de diverses sortes, par lesquelles le mot a pris sa forme et sa valeur.
en pareille matière, le linguiste est historien et n'est qu'historien. " a. meillet in préface. l'objet de ce dictionnaire étymologique, classique indispensable, est d'" expliquer " le vocabulaire de notre langue française, de retracer l'histoire des mots depuis leurs racines les plus embryonnaires jusqu'à leurs acceptions les plus complexes. pour ce faire, le linguiste travaille sur les traces historiques du passé des mots en utilisant également une méthode comparative.
tout vocabulaire exprime une civilisation, ce que les auteurs se sont attachés à montrer, en distinguant ce qui relève soit de la tradition intellectuelle et savante du latin, soit du vieux fonds autochtone, soit d'emprunts étrangers, soit de créations arbitraires dues parfois à un seul écrivain. l'usage de ce dictionnaire éclaire ainsi les variations de sens de chaque mot, il permet de suivre la longue élaboration de notre langue à travers l'histoire de france.
Cette Nouvelle grammaire de l'espagnol moderne est une nouvelle édition mise à jour de la Grammaire de l'espagnol moderne publiée en 1997 (Puf, « Major ») et bien connue des étudiants d'espagnol français et francophones en général. Fruit d'une expérience enseignante, elle poursuit les mêmes objectifs : faciliter autant que possible l'accès aux normes grammaticales en vigueur et permettre une bonne compréhension des mécanismes de la langue espagnole. L'auteur y adopte une approche originale de la langue à partir des points sur lesquels achoppe l'expression des jeunes hispanisants.
Outre les règles communément admises, sont évoqués de très nombreux usages, le tout étayé et illustré par des exemples tirés de la littérature et de la presse. Conçu pour les étudiants de l'enseignement supérieur (classes préparatoires aux grandes écoles, universités, écoles supérieures), spécialistes ou non, ce livre s'efforce de se mettre à la portée du plus grand nombre.
Lire, aimer, comprendre la littérature grecque de l'Antiquité suppose une familiarité avec les textes et les auteurs, mais aussi une intelligence de leur modernité. Ulysse, Antigone, OEdipe, Électre sont, par certains côtés, nos contemporains ; la guerre de Thucydide est une guerre moderne, la cité de Platon est un mythe créateur, les orateurs attiques sont les avocats d'aujourd'hui.
La structure historique de l'ouvrage permet d'appréhender la continuité de la création :
L'âge épique autour d'Homère, l'âge archaïque avec l'éclat du lyrisme et les présocratiques, l'âge classique autour des grandes oeuvres « athéniennes » (la tragédie, la comédie, l'histoire, la philosophie, l'éloquence), l'âge hellénistique après les conquêtes d'Alexandre et la naissance des « nouveaux mondes » grecs, l'âge romain jusqu'à la fondation de Constantinople puis le temps de l'avènement chrétien et des Pères de l'Église. Le panorama ainsi dessiné est conçu comme une incitation à la lecture des oeuvres constitutives de notre mémoire grecque européenne.
Plébiscitée par les recruteurs, le Certificat Voltaire atteste le niveau de maîtrise, à l'écrit, des difficultés de la langue française. Cet ouvrage accompagne le candidat désireux d'obtenir le meilleur score possible. Dans un langage accessible à tous, il parcourt de façon progressive l'ensemble des difficultés à maîtriser, tant en orthographe professionnelle (sujet 1, sur 700 points) qu'à un niveau plus littéraire (sujet 2, sur 300 points).
Écriture des mots usuels, concordance des temps, accord du participe passé, sens des mots... Pour chaque difficulté sont proposés des exercices d'entraînement et des astuces de mémorisation. Grâce à des tests d'auto-évaluation, le candidat peut mesurer sa progression. Pour finir, des annales complètes permettent de s'entraîner dans les conditions de l'épreuve.
Des vieillards bougons ou suaves, des amants éconduits ou triomphants, des assassins coupables ou innocents, des héros enthousiastes ou fatigués, des histoires véridiques ou invraisemblables, des phrases longues comme des fleuves ou vives comme des cascades, des personnages en quête d'auteurs, des écrivains à la recherche de leur personne ou du temps perdu, des modèles de vertu et des abîmes de vice.
Des courants, des écoles, des genres, des critiques, des querelles, des doctrines, des excommunications et des réconciliations, des triomphes (souvent sans lendemain) et des échecs (parfois sans raison), des rouvres oubliées et retrouvées, des poètes maudits et des romanciers bourgeois, des plumes sans honneur et des gloires sans talent. autant de symptômes ou de signes vivants de la " comédie humaine ", ce théâtre sans frontières de la france littéraire.
Le septième art ne s'y est pas trompé, dès sa genèse, avec l'image et comme une " romance sans paroles ", qui a puisé son inspiration et son expression dans la résonance et la résistance de cette france littéraire. la france littéraire est une construction, une architecture d'hypothèses, une mise en scène (pas en ordre) progressive des représentations. naissances, renaissances. classicismes. modernités.
La perspective retenue donne la direction et s'entend comme un diapason. " naissances, renaissances ". la france littéraire n'a vu le jour ni dans la phrase abâtardie d'un romain plus ou moins gaulois, ni dans une quelconque cantilène, ni dans un texte politico-juridique fondateur - déjà ? - d'un espace européen, ni dans un ordre religieux ; elle est d'abord une mosaïque de " renaissances ". l'oralité, le manuscrit, l'image, les querelles théologiques, le rire des pauvres ou le sourire des riches, les racines hébraïques, arabes, grecques.
Et latines, les vers et la prose, les formes et les genres occupent peu à peu, comme une genèse impressionniste avant l'heure, le temps et l'espace d'un millénaire " français ". " france, mère des arts. ", écrit le poète : c'est bien de maternité, de naissance, de " mise au monde " dont parle d'abord cette france littéraire.
La réflexion s'organise autour d'une série de concepts classiques que l'on retrouve dans tous les débats sémiotiques : signe, métaphore, symbole, code, signifié, étudiés soit par la philosophie du langage soit par la sémiotique. S'interroger sur les rapports entre sémiotique et philosophie du langage impose avant tout une distinction entre sémiotiques spécifiques et sémiotique générale. Une sémiotique spécifique est une grammaire, c'est-à-dire une série de règles pragmatiques, d'un style particulier de signes. La sémiotique générale est de nature philosophique car elle pose des catégories générales. En remontant aux origines du concept de signe, le propos de ce livre est de dépasser cette alternative. Une sémiotique générale a le devoir d'élaborer des catégories qui lui permettent de voir un seul problème là où les apparences encouragent à en voir plusieurs, irréductibles.
Cet ouvrage est paru dans la collection " Formes sémiotiques " en 1988.
Plusieurs fois réédité dans sa collection d'origine " Linguistique nouvelle ", ce manuel est une étude sur deux niveaux : initiation et approfondissement des connaissances, visant à donner, en même temps qu'une connaissance théorique des faits, la capacité de les mettre immédiatement en pratique grâce à des exercices d'application. C'est l'outil indispensable pour comprendre l'évolution de notre langue française.
En vingt leçons, ce manuel propose un parcours à travers la langue, la littérature et la civilisation latines, qui intéressera tant les littéraires que les historiens ou les philosophes. Il s'adresse aux grands débutants, désireux de commencer l'apprentissage de la langue latine dans le supérieur, à l'université comme en classes préparatoires aux grandes écoles.
Des textes authentiques et de nombreux exercices permettent la mise en pratique les connaissances acquises lors des leçons. Pour certains exercices, un corrigé ou des indices sont fournis afin de permettre le travail autonome de l'étudiant. Enfin, les diverses leçons sont l'occasion d'aborder l'histoire de Rome et de la latinité à travers les siècles, depuis la fondation de Rome jusqu'à la période médiévale.
Des vieillards bougons ou suaves, des amants éconduits ou triomphants, des assassins coupables ou innocents, des héros enthousiastes ou fatigués, des histoires véridiques ou invraisemblables, des phrases longues comme des fleuves ou vives comme des cascades, des personnages en quête d'auteurs, des écrivains à la recherche de leur personne ou (lu temps perdu, des modèles de vertu et des abîmes de vice.
Des courants, des écoles, des genres, des critiques, des querelles, des doctrines, des excommunications et des réconciliations, des triomphes (souvent sans lendemain) et des échecs (parfois sans raison), des oeuvres oubliées et retrouvées, des poètes maudits et des romanciers bourgeois, des plumes sans honneur et des gloires sans talent. autant de symptômes ou de signes vivants de la " comédie humaine ", ce théâtre sans frontières de la france littéraire.
Le septième art ne s'y est pas trompé, dès sa genèse, avec l'image et comme une " romance sans paroles ", qui a puisé son inspiration et son expression dans la résonance et la résistance de cette france littéraire. la france littéraire est une construction, une architecture d'hypothèses, une mise en scène (pas en ordre) progressive des représentations. naissances, renaissances. classicismes. modernités.
La perspective retenue donne la direction et s'entend comme un diapason. " modernités ". aujourd'hui et non hier ou avant-hier. lorenzaccio, cromwell, hernani, lucien leuwen, emma bovary, le père goriot, lucien de rubempré, gervaise, mais aussi le romantisme, le symbolisme, le réalisme, le naturalisme. la critique sociologique, historique, politique, l'introspection psychologique, la " découverte " bientôt de l'inconscient, du " moi ", du " je " que les siècles précédents auraient compris plus qu'éprouvés et ressentis.
Les fleurs du mal ou les fruits du malaise ? les stigmates de la souffrance littéraire, les taches de sueur et de sang qui se voient sans qu'on cherche à deviner, à interpréter, à savoir: voir suffit. les modernités, ou les cauchemars du rêve littéraire. jusqu'à la " nausée ". du temps perdu, du temps retrouvé. du temps écrit et décrit comme de l'espace oú naissent, meurent, vivent - survivent - chuchotent, crient des êtres et des formes plus que des hommes et des personnages.
L'esthétique volant au secours de l'inquiétude. les modernités, ou la dernière figure du sublime.
Des vieillards bougons ou suaves, des amants éconduits ou triomphants, des assassins coupables ou innocents, des héros enthousiastes ou fatigués, des histoires véridiques ou invraisemblables, des phrases longues comme des fleuves ou vives comme des cascades, des personnages en quête d'auteurs, des écrivains à la recherche (le leur personne ou du temps perdu, des modèles de vertu et des abîmes de vice.
Des courants, des écoles, des genres, des critiques, des querelles, des doctrines, des excommunications et des réconciliations, des triomphes (souvent sans lendemain) et des échecs (parfois sans raison), des oeuvres oubliées et retrouvées, des poètes maudits et des romanciers bourgeois, des plumes sans honneur et des gloires sans talent. autant de symptômes ou de signes vivants de la " comédie humaine ", ce théâtre sans frontières de la france littéraire.
Le septième art ne s'y est pas trompé, dès sa genèse, avec l'image et comme une " romance sans paroles ", qui a puisé son inspiration et son expression dans la résonance et la résistance de cette france littéraire. la france littéraire est une construction, une architecture d'hypothèses, une mise en scène (pas en ordre) progressive des représentations. naissances, renaissances. classicismes. modernités.
La perspective retenue donne la direction et s'entend comme un diapason. " classicismes ". le pluriel retenu, celui - descartes et les lumières ne sont pas sans influence - de la volonté éclairée par la raison, ne masque pas un apogée, il marque une passion de l'équilibre, une chorégraphie (baroque ?) des complexités, une recherche de la vérité - scientifique, artistique, morale, divine - fondée sur l'inquiétude et l'incertitude (" le silence éternel de ces espaces infinis m'effraie ").
Vérité politique : le siècle de louis xiv ou les règnes de cinq souverains d'henri iv à louis xvi ? vérité religieuse : le dieu de descartes " inutile et incertain " selon pascal ou le déisme athée du xviii siècle ? vérité morale: celle - désespérée - des maximes de la rochefoucauld ou celle - douloureuse - de rousseau ? vérité littéraire : les " règles " de malherbe et boileau, que les grands auteurs transgressent avec le respect des iconoclastes, ou la "" sensibilité " que les modernes privilégient sans renier leurs pères, les anciens (d'oú l'éclat de leur querelle) ?.
« Cette analyse suppose des instruments d'investigation : l'étude d'itinéraires, la mise en lumière de générations et l'observation de structures de sociabilité » (J.-F. Sirinelli).
enfin, en ce début de millénaire, un vrai philosophe, un philosophe qui a déjà une oeuvre derrière lui, un travail qui vise à refonder la pensée, michel meyer, dirige sa réflexion vers le théâtre et nous livre un essai qui fera date : le comique et le tragique.
michel meyer n'écrit pas seulement une histoire du théâtre mais une histoire de notre civilisation. si la scène est bien ce lieu oú une société s'observe et se réfléchit, il y a des époques sans la moindre remise en question, donc des époques sans théâtre, et des époques d'intense questionnement, donc des époques de grand théâtre. le théâtre serait le fruit des temps qui voient l'histoire s'accélérer et les repères s'effacer.
on n'en finira pas de rapporter les trésors d'intelligence que contient ce livre qu'il faut lire et déjà relire. il vous donnera des angles nouveaux, des envies de sorties, de lectures, de découvertes et de redécouvertes (pour ma part, je me suis replongé dans l'oeuvre gigantesque d'ibsen). il me paraît difficile de prétendre s'intéresser au théâtre sans consacrer des heures enrichissantes à cet essai, qui, loin du recueil d'anecdotes ou du traité doctrinaire à quoi se limite généralement la littérature sur le théâtre, offre la profondeur d'une réflexion philosophique.
(eric-emmanuel schmitt).
La versification française a subi une évolution considérable au cours des siècles, liée à l'évolution linguistique du français (orthographe, grammaire, lexique), mais aussi à celle de la conception de la poésie et de son rôle, à la fois par les auteurs et les lecteurs. Ce manuel propose une initiation aux techniques de composition des textes versifiés et des outils d'analyse définis sur la base de notions linguistiques usuelles.
Il retrace l'histoire du vers français et des règles le régissant, du Moyen Age jusqu'au XXe siècle, mettant en avant le renouvellement formel progressif, et pourtant radical, de la poésie française en s'appuyant sur l'analyse d'extraits d'oeuvres littéraires et d'ouvrages théoriques, de Ronsard à Eluard en passant par Boileau.
Voilà répertoriés les pièges les plus fréquents dans lesquels tombent trop facilement les étudiants français. À partir de son expérience d'enseignant, l'auteur en a sélectionné plus de cinq cents et propose pour chacune d'entre elles un exemple, une explication, la bonne formule à utiliser ainsi qu'un exercice d'application permettant à chacun de s'entraîner.
Le mot chinois est ici pris au sens de "langue Han", véhicule d'une des plus riches et plus anciennes littératures qui soient. Le chinois classique restera vivant jusqu'au début du XXe siècle. Le début de son agonie date du développement du mouvement culturel du 4 mai 1919, naissance de la littérature moderne. La littérature contemporaine est également présente.
Philosophie, économie, histoire, sociologie, littérature, histoire de l'art, psychanalyse ... autant de sciences humaines qui délimitent les champs du savoir. Autant de disciplines fondamentales présentes de bout en bout dans la collection "Quadrige", à travers les plus grands auteurs, les plus grands titres, les plus grands textes. Quadrige : des ouvrages d'hier et d'aujourd'hui qui sont aussi des textes pour demain.
La collection se divise en quatre sections : -- Références (dictionnaires, histoire générale ...) jaune pantone 116 -- Textes (Bachelard, Bergson, Durkheim ...) rouge 2718 -- Essais (Laplanche, Levinas ...) bleu 2728 -- Manuels (Ellul, Denis ...) vert green c .
Grammaire globale du français contemporain tel qu'il s'écrit et se parle, la Grammaire méthodique du français accorde une place centrale à la syntaxe et à la morphologie, qu'elle articule avec les autres dimensions de la langue, tant formelles (phonétique, prosodie, ponctuation et orthographe) qu'interprétatives (sémantique et pragmatique). Elle constitue un outil de consultation et de travail pratique et efficace pour les étudiants et enseignants français et étrangers, mais aussi pour tous les amoureux de la langue française qui désirent en parfaire la connaissance et la maîtrise. Le texte de cet ouvrage applique les rectifications orthographiques de 1990.