L'auteur de ces magnifiques contes apporte sa contribution afin de nous reconnecter à la vie réelle et attirer notre attention sur les dangers de notre société.
Esso effectue un retour dans le temps, à Pagala, un petit hameau entouré de collines de toutes parts. Enfant, il y avait appris que le bonheur n'est rien d'autre que la somme des petites joies éparses qui, prises séparément, ne signifieraient rien. Verra-t-il le même village où la parenté commence par le voisinage, où l'univers et les humains semblent se parler et où le bonheur se frôle ? Les vieux murs pentus racontent-ils toujours des histoires et des amours, des jubilations et des peines, des rires et des larmes à profusion ? L'ombre des beaux jours est un récit au ton poétique qui fait rêver d'un ailleurs et fait entrer dans un monde empli de belles singularités.
L'amour et la haine sont condamnés à se rencontrer, et ce n'est pas la passion de quelques jeunes Rwandais qui en sera épargnée. Vivre avec la peur du futur pousse ces coeurs à prendre des décisions qui les mèneront de catastrophe en catastrophe, et de déshonneur en disgrâce.
L'ouvrage que vient de publier Maha Lee Cassy est un cri du coeur pour son pays natal qui va mal.
« Une guerre civile sévit dans un pays d'Afrique. Ses massacres sont relatés par trois voix différentes : un témoin rescapé, une radio locale et une radio internationale, éloignée du lieu du conflit. La charge émotionnelle qui accompagne ces récits n'est donc évidemment pas de même nature selon la source, même si le son des kalaches et l'odeur de la mort empestent tous les discours. Aux propos chaotiques et saisis sur le vif du témoin direct du massacre, qui peut reconnaître dans les victimes une femme qu'il a pu désirer, une voisine ou un camarade d'enfance, s'oppose le récit structuré, factuel de la radio internationale soucieuse d'informations, certes, mais également de tas d'autres contingences qui brident son implication. Mais bien que la radio locale, rebaptisée radio-trottoir, cherche à maintenir la distance qui lui permet de faire son travail, son studio n'échappe pas aux balles. » Gilles Boulan
Le présent ouvrage se veut pour chacun, une source d'instruction enrichissante et d'ouverture d'esprit, un lieu de découvertes, un encouragement, mais également un avertissement pour ceux qui sont naïfs, négligents ou paresseux.
Je vous en prie est une formule de politesse utilisée au quotidien. L'écrivain et poète congolais, Auguy Ibanga, interpelle, informe et parcourt dans un langage parfois ironique, des sujets sensibles et préoccupants de la vie.
Le présent recueil vient de conforter l'architecture d'une oeuvre qui s'installe, pierre après pierre, dans la durée.
Comme ça, tu t'en es allée...est un texte fortement inspiré de faits réels.
Il donne la parole à un mari qui, au chevet de sa femme mourante, replonge dans treize années de vie commune pour essayer de comprendre ses actes manqués.