Dins l'encastre d'un projècte pedagogic, los escolans bilingues de l'escola rôcaguda d'albi participèron a un talhièr d'escritura e a un talhièr de teatre.
Ives roqueta legiguèt un conte rus qu'avià fach seu e los enfants ne faguèron una adaptacion teatrala. e en genièr de 2004, davant un public nombrôs, tota la classa presentèt tres versions diferentas d'aquel conte. aqueste libre-disc conten io tèxt e l'enregistrament integral del conte, de son adaptacion teatrala e d'un inedit ont i'autor presenta son trabalh de contaire e d'autor de teatre pels drolles.
Après les deux Croisades contre les Albigeois, celle des barons (1209-1215) et celle du roi de France (1226-1229), Raymond Trencavel, revenant l'été 1240 de Cata logne, entreprend la reconquête de ses possessions, soutenu par la petite noblesse des Corbières, du Minervois et du Lauragais. Petit noble, originaire de Salles en Albigeois, Imbert de Salles, participe à cette révolte. Proscrit, il embrasse la foi des bons hommes pour lesquels Montségur devient le dernier refuge. Il a pour fonction de guider et d'escorter les croyants qui s'y rendent, pour consulter les plus éminents d'entre eux, et s'en retournent.
En 1242, il fait partie du commando qui se rend à Avignonet et y massacre les inquisiteurs. Défenseur de Montségur, de mai 1243 à la reddition du château le 16 mars 1244, en tant que sergent d'armes, il est longuement interrogé par les inquisiteurs et nous laisse ainsi un témoignage capital sur le siège.
Après les deux Croisades contre les Albigeois, celle des barons (1209-1215) et celle du roi de France (1226-1229), Raymond Trencavel, revenant l'été 1240 de Cata logne, entreprend la reconquête de ses possessions, soutenu par la petite noblesse des Corbières, du Minervois et du Lauragais. Petit noble, originaire de Salles en Albigeois, Imbert de Salles, participe à cette révolte. Proscrit, il embrasse la foi des bons hommes pour lesquels Montségur devient le dernier refuge. Il a pour fonction de guider et d'escorter les croyants qui s'y rendent, pour consulter les plus éminents d'entre eux, et s'en retournent.
En 1242, il fait partie du commando qui se rend à Avignonet et y massacre les inquisiteurs. Défenseur de Montségur, de mai 1243 à la reddition du château le 16 mars 1244, en tant que sergent d'armes, il est longuement interrogé par les inquisiteurs et nous laisse ainsi un témoignage capital sur le siège.
Tous les grands amoureux, mozarabes et troubadours, mystiques d'Orient et d'Occident, n'ont-ils pas évoqué l'amour comme un feu dévorant ? L'Amour ici encore, en Tradition vivante, danse comme une flamme.
Mais c'est du four d'un poète alchimiste qu'il lance ses incendies. Le sentiment, d'abord tout en tension et en désir obscurs, se mue en plaisir lumineux, aussi fugace que miraculeux. Avant de se déchirer entre la finitude de ce monde et l'orée d'horizons invisibles que seule une joie sans cause permet de percevoir. Comme un feu qui, sans bois, continue de brûler à travers les tristesses du fatidique...
" La rue de l'Aléa ne cesse de descendre, en pente douce, dans les deux sens. C'est très pratique pour patiner. Dommage que l'on ne puisse pas regarder en même temps les horizons opposés. Ils sont tellement bas que cela donnerait la sensation curieuse d'une petite planète. Le lundi, la chaussée en arrive même à se retourner et une pluie de graviers tombe sur le ciel." Une bibliothèque, une boulangerie, une boucherie et un bar. On y trouve de tout, même un local à vendre. Parmi les candidats acheteurs, il y a Marcel, huit ans, et pas un centime en poche, mais aussi Auto-lumière, une multinationale distributrice de cinémind, un cinéma où l'on met sur la tête des spectateurs des électrodes qui projettent leurs pensées sur l'écran. " Vous en avez déjà vu ? - J'ai un cousin qui habite au Japon et qui en a vu quelques-uns, il dit que ça a changé sa vie, qu'il économise à fond pour y aller chaque après-midi. Et j'ai lu que d'ici peu, il y en aura partout, que ce sera le boom, et que le cinéma traditionnel a du souci à se faire. Ça ne m'étonne pas. Imagine : un écran devant toi et tu peux monter des clips, baiser qui tu veux, avec des acrobaties incroyables, ou vaincre une armée entière, ou marquer un but historique, ou n'importe quoi d'autre. C'est toi qui commandes, en temps réel. " La rue de l'Aléa en est toute sens dessus dessous...
Dans La Quimèra, son dernier roman publié de son vivant, et dont il voulait faire l'oeuvre de sa vie, Jean Boudou met en scène un rouergat, Pèire Vaissièr, devenu esclave eunuque à Alger, roumi en terre musulmane aux temps du Grand Siècle.
Jean Boudou, né à Crespin (Aveyron) en 1920, et le plus emblématique des écrivains occitans, passa ses dernières années comme professeur au Collège agricole de L'Arbatache, à quelques kilomètres d'Alger et y mourut en 1975. Malgré la maladie et une situation familiale difficile, il n'a ni déserté ni abandonné. Poursuivant son travail d'écriture (La Quimèra puis Las Domaisèlas), il est confronté outremer aux stigmates d'une histoire coloniale qui n'est pas sans rappeler celle de l'Occitanie.
Et, au plus fort de la lutte, il passe ses vacances d'été sur le Larzac.