Notes sur la lecture : journées de lecture (IMPRESSION A LA DEMANDE)

À propos

Ces deux textes peu connus de Marcel Proust sont deux véritables clés pour lire et comprendre À la recherche du temps perdu.
Sur la lecture est dédié à son amie la Princesse de Caraman-Chimay (1860-1952), issue d'une famille d'aristocrates qui fascinait tant Proust, et figure qui inspira à l'écrivain le personnage de la duchesse de Guermantes dans À la recherche du temps perdu. Marcel Proust se souvient avec délectation, mais sans sensiblerie, de ses lectures d'enfant, en famille, le soir au coin du feu, et de ses héros imaginaires. il fut écrit pour servir de préface à la traduction d'un recueil de John Ruskin (Sésame et les lys, traduit par Proust) quand Proust, âgé de trente-cinq ans, est encore inconnu. Proust y met déjà en place ce qui deviendra plus tard la poétique proustienne d'où l'intérêt de se replonger sans cet écrit de jeunesse.
Journées de lecture fut un texte longtemps oublié de Proust. Redécouvert récemment, il y est aussi question de la pratique de la lecture vue par Marcel Proust, c'est-à-dire avec son style déjà reconnaissable entre mille, fait de longues phrases au rythme envoûtant, de réflexions diverses et d'introspection.


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  • Auteur(s)

    Marcel Proust

  • Éditeur

    BOOKS ON DEMAND

  • Distributeur

    Sodis

  • Date de parution

    21/01/2022

  • EAN

    9782322411696

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    66 Pages

  • Longueur

    14.8 cm

  • Largeur

    21 cm

  • Épaisseur

    0.4 cm

  • Poids

    110 g

  • Support principal

    Grand format

Infos supplémentaires : Broché  

Marcel Proust

1871-1922 - Fils d'un médecin réputé, Marcel Proust naît à Paris dans une famille fortunée qui lui assure une vie facile et lui permet de fréquenter les salons mondains.
Après des études au lycée Condorcet, il devance l'appel sous les drapeaux. Rendu à la vie civile, il suit à l'Ecole des Sciences politiques les cours d'Albert Sorel et de Leroy-Beaulieu ; à la Sorbonne ceux de Begson dont l'influence sur son oeuvre sera majeure.
Vers 1900, il part à Venise et se consacre à des questions d'esthétique. Il publie une traduction du critique d'art anglais Ruskin (1904) dont les conceptions le marqueront. Après la mort de ses parents, sa santé se détériore. Il vit en reclus et s'épuise au travail. En 1919, il reçoit le prix Goncourt pour "A l'ombre des jeunes filles en fleurs". Trois ans plus tard, une bronchite l'emporte.

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